un simple agrégateur, lecteur de flux rss pour tout suivre .... par: fonds d'écran - Kriss Feed, version : 7 - Google
  • Monday 27 February 2017 - 13:54

    J’ai rencontré un bug sous Ubuntu 16.10 : les logiciels non maximisés s’ouvraient sur le côté gauche de l’écran mais au lieu d’être collés au lanceur, situé à gauche, ils se collaient au bord gauche de l’écran.

    Bonjour la lisibilité et les erreurs de manipulations, notamment pour fermer lesdits logiciels avec la croix en haut à gauche.

    Voici les 2 captures d’écran que j’ai réalisé pour comprendre le problème :

    Terminal Gparted

    Que faire ?

    J’ai d’abord interrogé Google, sans succès, n’ayant pas identifié l’origine du problème, celui-ci étant survenu du jour au lendemain, peut-être après une mise à jour foireuse.

    Réflexe : demander de l’aide sur le forum du principal site francophone sur Ubuntu.
    Une fois arrivé sur le site, je remarque un lien « Support interactif« .
    Intrigué, j’ai cliqué dessus pour arriver sur un canal IRC, via une applet webchat.
    Vous pouvez le voir en arrière-plan des deux images ci-dessus.

    En gros, j’ai posé une question et résolu le problème : remise à zéro de la configuration de Compiz en suivant les instructions de cette page : https://itsfoss.com/how-to-reset-unity-and-compiz-in-ubuntu-12-10/

    Si je n’avais pas eu de réponse (fréquent sur IRC d’après mon expérience personnelle), j’aurai tenté le forum francophone cité plus haut, voire le forum principal en anglais, malgré un souci d’identification.

    Si vous êtes sur Debian, en dehors du fait que les utilisateurs Debian n’ont pas besoin d’aide en général car plus avancés que de simples utilisateurs, vous pouvez essayer Debian-facile.

    Et dans la vie réelle ?
    A part l’excellente idée jamais mise en avant de Parrain-Linux, je ne vois pas.
    Peut-être existe-t’il un Groupe d’Utilisateurs Linux (LUG) dans votre ville, mais comme toute rencontre réelle, c’est plus long pour se dépanner, sans garanties de réussite.

    On connaissait tous un kissikoné sous Windows XP ou Windows 7.
    Windows 10 plante moins… mais il plante quand même, hors le nombre de personnes pouvant dépanner rapidement à drastiquement diminué, soit pour aller sous Linux, soit pour rester sous Windows 7, soit par manque de motivation (syndrome « Je ne suis pas une hotline« ).

    Je ne sais pas si macOS plante, mais j’ai l’impression que le système roule tout seul.
    A quel prix ?
    J’avoue que j’aimerais bien tester un peu beaucoup ce système sur du matériel Apple.
    Un jour peut-être ?

    En attendant, Linux ou Windows sont voués à être liés au fameux Système D.

  • Saturday 07 January 2017 - 13:02

    Je suis tombé sur du rap ce matin, ce n’est pas un genre musical que j’écoute souvent, surtout en ces décennies, le rap étant vraiment symptomatique du c’était mieux avant malheureusement, bref, je vous invite à lire l’article de L’Accroche.net sur ce tourangeau et à écouter ses albums sur Bandcamp, voire à le soutenir en achetant son dernier opus (ou un précédent) sur ledit site.

    Côté référence on trouve du Dragon Ball et des comics, un côté jeune dans tout ça…

  • Monday 02 January 2017 - 11:32

    En cette nouvelle année 2017, il est possible de passer de CyanogenMod à Lineage OS sur le Samsung Galaxy SII (S2/i9100).

    Lineage OS késako ?

    Rappel rapide : Cyanogen Inc., entreprise derrière Cyanogen OS et surtout CyanogenMod a tué le bébé qui a été dérivé (fork en anglais) sous le nom de Lineage OS.

    Pour l’heure, la numérotation des versions suivant son cours,  rien de changé : Android 6 = CyanogenMod 13 = Lineage OS 13, Android 7.1 = CyanogenMod 14.1 = Lineage OS 14.1 !

    Par contre, vu qu’aucune build n’est faite automatiquement, soit on reste sur la dernière de CM 13 soit le téléphone est passé sous CM 14.1, avec des builds non officielles, et maintenant sous Lineage OS 14.1, comme le montre cette capture d’écran.

    Lineage OS 14.1 sur Samsung Galaxy SII I9100
    Lineage OS 14.1 sur Samsung Galaxy SII I9100
  • Saturday 31 December 2016 - 23:59

    Beaucoup de gens disent qu’avant, c’était mieux.
    Moi pas.
    J’ai d’ailleurs eu une révélation : avant, c’était avant !

    Pour ma part, 2016 a été une année assez riche sur le plan « réel » :

    • une naissance ! Le genre d’évènement qui vous change la vie ou plutôt la façon d’avancer.
    • un questionnement sur la viande, merci le quinoa et les burgers végétariens 😉
    • un petit engagement politique, histoire de voir si je veux aider à faire bouger les lignes ou si définitivement mon opinion est aussi utile que pisser dans un violon…
    • je pense bio, local, mais je ne suis pas vraiment consommateur de ces modes de vie, peut-être suis-je trop vieux (et fichu), je compte sur mes enfants pour me foutre un coup de pied au cul quand ils seront acteurs.
    • je pense féminisme, sans m’engager non plus énormément mais je me renseigne, ce qui pour moi veut dire beaucoup, par rapport à avant.

    Le côté « virtuel » du Net et de l’informatique en général n’a pas été dénué d’intérêt non plus :

    • un renouvellement global du parc informatique familial notamment grâce à Orange (et son décodeur TV minable qui d’ailleurs est en rade depuis une semaine sans que ça me gène trop) et à celui dont on ne doit pas dire le nom.
    • un recentrage de mes activités sur les réseaux sociaux, j’ai passé Twitter au premier plan pour ce qui est du suivi d’informations (terme générique), Facebook au deuxième plan pour le côté pragmatique (tout le monde est dessus est un adage vérifié) et je rigole devant la pauvreté technique et d’intégration de Diaspora* (le gris c’est la vie est une devise commune dans l’informatique et c’est bien dommage). Google + est un peu en arrière, c’est ainsi.
    • je cherche de plus en plus la stabilité sous Linux donc j’installe des versions LTS d’Ubuntu sur les ordinateurs autres que le mien (avec au moins 2 Go de RAM), voire Debian (la dernière installation en date a un souci avec le Wifi mais avec du simple cœur et 700 Mb de RAM j’hésite à passer sur Ubuntu, alors qu’Asus a un pilote pour Windows XP).
    • je lis de moins en moins de blog, tourner en rond n’est pas mon fort, je recommande toujours les deux blogs de mon billet sur ma pause, rien de plus.
    • j’ai créé des sites Internet, ou plutôt des ébauches, merci WordPress, il va falloir que je m’améliore côté thème à bricoler pour du site vitrine.
    • j’ai mis un Dolibarr en production, le Libre, c’est gratuit c’est génial 😀 et il n’y a même pas besoin de contribuer. Ou pas ? Reste à suivre et mettre à jour, ce qui est un autre sujet (suivre l’aide que l’on apporte en informatique est un devoir, mettre en pratique cette bonne résolution est une pratique à considérer).
    • j’ai activé le SSL sur mes domaines, merci à mon hébergeur au top AlwaysData. J’ai un doute sur l’utilité et la façon de rendre service à la vie privée mais au moins, c’est fait !
    • j’ai activé l’identification multifactorielle (2FA selon les sites) via mon smartphone (qui roule toujours aussi bien sous Android 7.1 / CyanogenMod 14.1), ce qui augmente la sécurité même si je gère mes mots de passe avec LastPass, c’est-à-dire un tiers… de confiance ?
    • j’ai mis de la publicité sur mon blog, de façon tellement discrète que je me demande si ça va me rapporter quelque chose…

    En 2016, j’ai blogué, j’ai changé, j’ai pensé différemment et fait encore plein d’autres choses.

    En 2017, je souhaite continuer car dans la vie il faut avancer sans cesse et non pas pleurer sur le passé.

    Bonne année !

    Avant, je trouvais ça rigolo, maintenant je trouve ça sexiste.

  • Tuesday 20 December 2016 - 11:25

    L’un des billets le plus consulté de ce blog est celui sur l’installation de CyanogenMod 13 (CM 13 pour les intimes), sauf qu’il n’évoque pas assez complètement les détails de l’installation et du coup, je récolte des demandes d’aides en commentaires ou par e-mail directement, via la page de contact.
    J’ai donc décidé de remettre au propre toute les étapes, en espérant que ça aide du monde 😉 !


    Tout d’abord, il faut bien comprendre que la mémoire interne du Samsung Galaxy SII est de 16 GB mais seulement 512 MB sont dédiés au système Android (plus les Google Apps ou Gapps).

    Hors, CM 13 et suivants nécessitent plus, environ 600 à 700 MB.
    Que faire alors ?
    Il suffit de repartitionner, c’est-à-dire redécouper, la mémoire interne.
    En anglais, c’est opération est appelée « re-pit ».

    Avant de commencer, vérifiez la taille de votre mémoire système, avec par exemple l’application DiskInfo et regardez la taille de la partition « System ».
    Si elle ne fait pas 1 GB, il faut re-partitionner.

    DiskInfo
    DiskInfo montrant une partition « System » de 1 GB

    Pour re-partitionner, il y a deux méthodes, décrites dans ces sujets :

    Vous aurez besoin du logiciel Odin, éventuellement des pilotes Samsung USB et surtout des fichiers de re-pit.
    Ces fichiers se trouvent à la fin du 1er message sur XDA.
    Pour le fichier .pit, je vous suggère celui intitulé I9100_1GB-System_4GB-Data_512MB-Preload.pit ou celui I9100_1GB-System_6GB-Data_512MB-Preload.pit histoire d’avoir de la place.

    Vous aurez également besoin d’un noyau (kernel) au format .tar, je vous suggère celui-ci : Isorec CM12.1 and CM13 Kernel

    Il suffit ensuite, une fois les pilotes installés si besoin, de lancer Odin et de choisir les options (cases à cocher + fichiers à sélectionner) suivant l’image du message sur XDA, que je vous remets ici :

    Options à sélectionner dans Odin pour re-partitionner
    Options à sélectionner dans Odin pour re-partitionner

    Une fois terminé, enlevez la batterie, remettez-là et allumez le téléphone avec les boutons [HOME]+[VOL. HAUT]+[POWER] pendant 5 à 10 secondes, pour redémarrer dans le recovery.
    Formatez ensuite (wipe ou flash) la mémoire interne (si vous avez le choix du système de fichiers, choisissez ext4).

    Si vous ne pouvez ou voulez pas utiliser cette méthode (pas de Windows sous la main par exemple), il est possible d’utiliser la seconde méthode.

    Dans les 2 cas, une fois le re-partionnement effectué, et que vous êtes dans le recovery, il ne reste plus qu’à flasher CyanogenMod 13.

    Pour installer CyanogenMod 13 (et ultérieur) ainsi que les Google Apps (éventuellement), il va falloir flasher 3 fichiers à la suite (cest-à-dire sans redémarrer entre chaque flash).

    Procurez-vous d’abord le recovery ISOREC-TWRP, qui permet d’avoir un recovery qui ne peut pas être remplacé par celui se trouvant par défaut avec chaque compilation de CM (qui a tendance à bugguer).
    Le fichier ZIP se trouve ici : https://www.androidfilehost.com/?fid=24369303960684130

    Téléchargez ensuite la dernière version nightly (qui est stable malgré le nom) sous forme de fichier ZIP : https://www.cmxlog.com/13/i9100/

    Téléchargez enfin, si vous le souhaitez, les Google Apps en sélectionnant ARM/Android 6.0/Mini (ou Nano/Pico au choix).

    Flashez les 3 fichiers (ou 2) fichiers ZIP à la suite et redémarrez.
    Le téléphone va prendre un peu de temps au premier démarrage (jusqu’à 20 minutes) et vous voilà ensuite sous Android 6/CyanogenMod 13 !

    Quelques remarques :

    • vous pouvez mettre à jour CM 13 (passer d’une nightly à une autre) via les mises à jour dans les paramètres ou en flashant via le recovery.
      Dans ce cas, nul besoin de re-flasher l’ISOREC-TWRP ou les Gapps)
    • vous pouvez mettre à jour l’ISOREC-TWRP en flashant le fichier IMG disponible sur le site officiel : https://twrp.me/devices/samsunggalaxys2i9100.html
    • si vous sautez l’étape de re-partitionnement, vous ne pourrez pas flasher CM 13 + les Gapps et vous aurez une erreur ressemblant « Install failed
      insufficient storage space available in system partition you may want to use a smaller open gapps package or consider removing some apps using gapps-config ».
    • CM 14.1 (sur la base d’Android 7.1) est disponible en alpha/beta, il suffit de formater la mémoire interne, flasher le ZIP puis éventuellement les Gapps (ARM/Android 7.1/Pico), mais c’est encore assez buggué.
    • le root est disponible d’office dans les options pour les développeurs, accessibles en tapotant Numéro de build 7 fois de suite.
      Par contre, oubliez supersu.

    A vous de jouer 😀 et n’oubliez pas :

    Je ne suis pas responsable des dysfonctionnements de votre smartphone, même si vous suivez les instructions à la lettre (et vous ne devriez pas en rencontrer).

     

  • Wednesday 07 December 2016 - 11:50

    Au cas où ça intéresserait du monde, j’ai passé l’ensemble de mes noms de domaine en SSL/TLS grâce à Let’s Encrypt et surtout grâce à mon hébergeur AlwaysData.

    Qu’est-ce que ça va apporter pour les visiteurs de mes différents sites ?
    Pas grand chose 🙂 à part le chiffrement de vos commentaires ou coordonnées lors de l’écriture de ces derniers.
    Il y a aussi maintenant le cadenas vert quand vous naviguez sur le site, mais pas le nom de l’entreprise.
    Pour connaître la différence entre les différents niveaux de sécurité, je vous recommande la description des certificats sur ce billet de WP Channel (oubliez juste le discours marketing et publicitaire).

    Dans mon cas, sur tous les sites demandant une identification (blog ou autre), les identifiants seront chiffrés avant de transiter par le réseau.

    Tout cela participe à une meilleure sécurisation, sachant que :

    1. ce n’est pas suffisant en soi (j’ai rajouté un captcha Google par sécurité et une autre mesure dont je parlerai peut-être un jour)
    2. cela ne garanti pas un anonymat de la navigation, juste un échange plus sécurisé des données qui transitent entre le navigateur Internet et le site Internet.

    Les intégristes inutiles argueront que les certificats Let’s Encrypt ne sont pas 100 % sécurisés. Tant pis pour eux 😀 !

  • Friday 04 November 2016 - 14:02

    Derrière ce titre pseudo-rigolo, je fais une mise à plat des derniers mois dans le meilleur contexte existant : celui de la vie réelle.
    A l’heure où des personnes passent leur temps à tourner en rond sur leurs blogs voire à jeter de l’huile sur le feu pour des sujets à côté desquels ils paraissent plus bêtes qu’ils ne sont en réalité (z’avez tout compris ?), j’ai une vie réelle trépidante.

    J’ai fini les travaux de création et aménagement d’une pièce de ma maison.
    Je dit « J’ai », alors que c’est plutôt du soutien moral et un peu logistique que j’ai effectué, 90 % du travail venant d’une autre personne, merci à lui, reconnaissance éternelle, toussa.

    Sitôt ladite pièce terminée, j’ai aidé ma femme a faire du home-staging, M6 inside, qui a consiste à monter des meubles dans la nouvelle pièce, se rendre compte qu’ils ne rentrent pas tous, les démonter, remonter ces meubles dans une autre pièce à l’étage, échanger des meubles, bref la totale, j’en rit jaune encore.
    Je n’évoquerai pas les rangements ou comment vider une pièce sur un palier pour tout encombrer avant de ranger ailleurs, c’est fou ce qu’un gamin de 9 ans et demi accumule comme jouet, heureusement qu’il est fils unique.

    Ha non, en fait, l’autre gros évènement est qu’il n’est plus fils unique, d’où le titre en rapport avec la question qui revient souvent : se remettre à pouponner après 9 ans, ce n’est pas trop dur ?
    Réponse dans ma tête : si, d’ailleurs nous ne savons pas si nous allons continuer ma femme et moi, peut-être que le bébé peut retourner d’où il vient.
    Bien évidemment, la vie se charge de rappeler que la meilleure devise c’est marche ou crève (joli slogan de blog) et que même si changer une couche n’est pas joyeux, quand il faut il faut.

    Dans les autres nouvelles, j’ai retrouvé un ordinateur qui marche grâce à Cyrille, la Wii U est morte et décapitée car elle se pirate les doigts, pardon le bras, dans le nez, j’ai quelques idées d’articles à écrire sur les jeux d’aventure et le retrogaming sous Linux, parce que Linux c’est plus que la vie, c’est carrément la résurrection des vieux coucous en moins de trois jours.

    Et au cas où ça ne se verrait pas, j’ai arrêté de commenter tout et n’importe quoi et surtout n’importe comment, je préfère laisser les gens tourner en rond sur des problèmes virtuels sans solutions viables à long terme ou sans intérêt en dehors de leur cercle, cercle qu’ils jugent moins intéressants mais dont ils continuent à l’entretenir, cercle vicieux ou masochisme ?
    Comme l’a dit l’autre, il suffirait de ne plus en parler pour que…
    Je commente sous XMPP / Jabber quand ça marche, comprendre quand l’interlocuteur utilise des vrais serveurs en béton plutôt qu’en carton-pâte.

    Pour conclure, je rappelle que la modération des commentaires ici est très simple : si je n’aime pas un commentaire, il dégage, sans raison valable souvent.

    Ha et vous savez quel est l’article le plus lu de ce blog qui traite surtout d’informatique et de vie réelle ?
    Je vous laisse deviner, ça vous permettra de vous creuser la tête sur l’intérêt de vos propres écrits 😉 !

    Réveillez-vous !
    Vivez !
    Allez voter !
    Utilisez Firefox de Mozilla !

  • Friday 09 September 2016 - 14:57

    Ces derniers temps, j’ai été amené à tester Chromium (version libre et ouverte de Google Chrome).
    J’ai failli abandonné Mozilla Firefox… pour mieux y revenir.

    Mozilla Firefox (FF pour les intimes) est en berne.
    Il était le navigateur Internet alternatif le plus connu et le plus utilisé mais il ne représente aujourd’hui plus que 16 % environ des navigateurs.

    La faute à qui ?
    Google Chrome se taille la part du lion, Microsoft est revenu dans la course avec Internet Explorer / Edge.

    Firefox est arrivé à une époque où IE régnait en maître sur le Web, pour notre plus grand malheur.
    Rapide, respectant les standards, personnalisable, bref tout pour plaire à cette époque lointaine.

    Et maintenant ?
    Mozilla a fait des choix controversés (inclusions de services propriétaires par exemple) et surtout Google a dégainé son propre navigateur efficace : Chrome.

    Et moi dans tout ça ?

    Je suis utilisateur de FF depuis… le début en fait.
    J’ai toujours adoré le fait de pouvoir le personnaliser avec des extensions diverses, j’ai même toujours trouvé celle qui me servait au bon moment.

    Mais FF a vieilli pourrait-on dire.
    La consommation mémoire est assez importante (à l’heure de 4 Go minimum pour les ordinateur récents, est-ce important ?), les choix d’inclure le support des DRM (Netflix ne fonctionne pas avec Firefox, ils est où le tant décrié support des DRM ?) ou des services propriétaires (Hello, le chat inter-navigateur qui veut concurrencer Hangout et va finalement disparaître ou bien la liaison avec le service obscure Pocket quand une alternative ouverte existe telle Wallabag ?).
    Mozilla a donné le sentiment de se plier aux exigences des utilisateurs « lambdas » tout en oubliant que les utilisateurs qui ont fait son succès sont plutôt les geeks.

    Côté ordinateurs, j’évolue en ce moment, chez moi, sur des vieux processeurs double cœur avec 2 ou 3,5 Go de RAM.
    Hors, de nos jours, FF se lance LENTEMENT.
    Oui, il faut presque 30 secondes à FF pour se lancer sur mes ordinateurs, notamment parce que les extensions sont plutôt nombreuses.
    Et au-delà de ce constat, FF met du temps à afficher le contenu entier des pages voire rame carrément si Flash est inclus par exemple.
    Alors que ma connexion fibre m’assure normalement une vitesse presqu’instantanée pour consulter le Net, FF est à la traîne.

    Alors j’ai testé Google Chrome, ou plutôt son équivalent libre et ouvert : Chromium.

    Le constat est sans appel : il se lance rapidement malgré l’ajout d’extensions (presque 2 à 3 fois plus rapidement que FF) et les pages s’affichent également beaucoup plus rapidement même avec des vidéos en Flash.

    Alors pourquoi je suis retourné avec Firefox ?

    Parce que FF est personnalisable à l’extrême : je n’ai pas trouvé certaines extensions équivalentes sur Chrome (TextArea Cache, garder le dernier onglet toujours ouvert, etc.).
    Parce que Firefox dépend d’une fondation, alors que Chromium dépend de Google. L’éthique des deux n’est pas comparable et je préfère confier mes données à Mozilla plutôt qu’à Google (même si j’utilise à fond Android ou le moteur de recherche Google).
    Parce que si Firefox disparaît, le Web redeviendra moche et inintéressant comme à l’époque du règne de IE.Parce que pour faire connaître son navigateur, Mozilla compte plus sur ses utilisateurs que par l’installation en cachette comme un malware à l’instar de Google Chrome.

    Nous pouvons voter avec un bulletin dans l’urne ou avec notre porte-monnaie.

    Mais nous pouvons également lutter en informatique en résistant.

    Utilisez Mozilla Firefox, parce que vous le valez bien !
    Et parce que vous avez assez de RAM 😉

  • Sunday 21 August 2016 - 10:34

    Je préfère prévenir : je mets mes écrits en pause indéterminée.

    Plusieurs raisons à cela :

    • l’écran de mon Dell E6500 rend l’âme, ou bien la connectique associée. Grosse perte en terme d’utilisation même si j’ai toujours la possibilité peu accessible d’utiliser un écran externe.
    • naissance prévue dans peu de temps, avec des aléas de santé et d’architecture 😀 qui font que j’ai la tête ailleurs.
    • flemmardise aiguë chronique 😉 !

    Je vous conseille néanmoins deux blogs à lire :

    Le reste me paraît être un concentré d’ego peu intéressant.

    A bientôt.
    #oupas

  • Thursday 23 June 2016 - 12:48

    Non, il ne s’agit pas d’une des questions de la prochaine épreuve de philosophie du Baccalauréat mais d’une expérience que nous menons ma femme et moi.
    Plus qu’une expérience, l’haptonomie est en fait d’une méthode de préparation à l’accouchement.

    Quant il a été possible de choisir une méthode de préparation à l’accouchement, il n’y avait pas beaucoup de possibilités :

    • préparation en groupe : déjà expérimentée il y a 9 ans, cette méthode semblait redondante
    • préparation en piscine : impossible car la piscine de l’hôpital est réservé aux kinésithérapeutes et n’est disponible que de 12h à 14h, sachant que cette méthode est réservée aux femmes ayant déjà eu un enfant, on fait quoi du 1er le midi ? On le noie ? Bravo la gestion.
    • haptonomie : dans mon esprit = tripotage de ventre pour faire bouger le bébé, en gros à la limite du charlatanisme genre homéopathie

    Ma femme ayant choisi la dernière méthode, c’était parti pour plusieurs séances dont l’idée, on peut s’en douter, m’enchantait énormément :/ !

    Cette méthode se déroule sur plusieurs séances, obligatoirement en couple.
    Pour faire court, le but de l’haptonomie est de développer le contact affectif des parents (pas seulement la mère) avec l’enfant pour le préparer lui aussi à son arrivée dans le monde.
    Dit comme ça cela paraît un peu étrange mais je n’ai pas d’autres définitions qui me viennent à l’esprit.

    Les séances s’étalent pendant la grossesse mais également après.

    Pour le moment, il s’agit surtout de ressentir l’enfant, en l’invitant à sentir notre présence, quand nous posons la main sur le ventre par exemple.
    Du coup nous apprenons à communiquer avec lui (elle dans notre cas).

    L’haptonomie étant une méthode à vivre plus qu’à écouter/raconter, je ne vais pas vous décrire plus ce qui se passe pendant les séances, qui reste une expérience assez intime à quatre (maman, papa, bébé, sage-femme).

    Plus tard, il y aura une préparation directe à la naissance (comprendre pour guider le bébé vers la sortie ou l’entrée selon le point de vue).
    Paraît même que la femme peut accoucher sans péridurale, je laisserai la personne concernée décider 😉 !

    Pour mon esprit un peu trop carré, j’ai du mal à tout appréhender.
    Au pire, j’ai appris une méthode pour sentir ma fille bouger.

    Et après, quels bénéfices pour le bébé ?
    Il paraît que les bébé hapto sont plus éveillés.
    Quand je vois que mon fils est à la limite de l’hyperactivité, je m’en réjouis d’avance 😀 !

    Je vous propose deux vidéos pour essayer de comprendre :

    Si vous êtes encore là, n’hésitez pas à lire ce témoignage (où j’ai trouvé la 1ère vidéo) : Jessica et Alain : les séances d’haptonomie sont un merveilleux souvenir

    Enfin, deux sites à visiter pour plus d’informations sur cette méthode portée en France par Catherine Dolto :

  • Sunday 19 June 2016 - 10:06

    Dans le précédent billet, je parlais de l’arrivée des ordinateurs envoyés par Cyrille.
    Une fois tout déballé, il a fallu jouer aux chaises musicales avec la RAM et les disques durs pour avoir du matériel à utiliser de façon optimales.

    Pour commencer, j’ai récupéré les barrettes de RAM (DDR2 et DDR3) et les disques durs des ordinateurs déjà à la maison.
    Il a fallu également que je rachète de la DDR3 (1 x 4 Go) et de la DDR2 (2 x 2 Go), n’ayant pas trouvé de 4 Go en DDR2 en occasion.

    Une fois le jeu des chaises musicales pour tout le démontage et remontage terminé, je me suis attaqué aux installations.

    J’ai commencé par le D430, propulsé par un processeur Intel Core2Duo U7600 à 2 x 1,2 Ghz (de quoi rendre jaloux Didier 😛 ) et une carte graphique Intel 945 GMS.
    Côté mémoire vive, la bête est équipé d’1 Go de RAM soudé avec un emplacement DDR2 en plus pour rajouter jusqu’à 1 Go, car le contrôleur Intel n’accepte pas plus de 2 Go au total !
    Pour le disque dur, je suis tombé sur un format que je ne connaissais pas : 1,8 pouces avec un connecteur ZIF.

    Disque dur Toshiba avec connecteur ZIFDu coup, impossible de le remplacer par un autre disque dur mécanique (HDD) ou SSD au vu du tarif prohibitif lié au format (seul avantage pour l’époque : l’encombrement très réduit et le positionnement « dans » la batterie).
    Je résume : 2 cœurs de 1,6 Ghz + 2 Go de RAM + 60 Go de disque dur + Windows XP 😀 .
    Par précaution, j’ai mis à jour le BIOS via la méthode FreeDOS, puis j’ai formaté le disque dur avec GParted.
    Côté Linux, il a fallu réfléchir à une distribution légère mais surtout un environnement de bureau léger.
    Choix cornélien avec au final 2 solutions possible : Xfce (que je n’aime pas) et Mate (qui se rapproche plus d’un environnement moderne).
    Du coup j’ai installé Debian + Mate mais j’ai dû faire quelques réglages pour avoir un bureau utilisable pleinement donc j’ai ensuite installé Ubuntu Mate.
    Reste la place occupée en mémoire par le navigateur, mais c’est une autre histoire !

    Dell Latitude D430 démonté RAM et disque dur sur Dell D430 Connecteur ZIF Dell Latitude D430 Ubuntu Mate 16.04 LTS Place occupée par Ubuntu Mate 16.04 Ressources prises par Ubuntu Mate 16.04

    Je me suis occupé ensuite du E4300, propulsé lui par un processeur Intel Core2Duo P9400 à 2 x 2,4 Ghz et une carte graphique Intel 945 GMS.
    Côté mémoire vive, j’ai passé les 2 Go DDR3 (2 x 1 Go) à 5 Go (4 Go + 1 Go) et le disque dur est maintenant de 160 Go.
    Rien de particulier en fait, j’en ai profité pour également mettre à jour le BIOS, cette fois en crackant avec chntpw le Windows 7 installé.
    Côté Linux, vu que je tournais sur le Fujitsu (2 x 2 Ghz + 4 Go) sans trop de soucis de puissance avec Ubuntu, j’ai directement réinstallé cette distribution.
    Bref, une affaire qui roule, avec une batterie qui donne encore environ 1h30 d’autonomie environ.
    Cet ordinateur, doté d’un écran 13 pouces, est de toute façon destiné à mon fiston et éventuellement à madame selon les futurs besoins.

    Dell Latitude E4300 BIOS d'un Dell Latitude E4300 Mémoire vive dans un Dell Latitude E4300 Ubuntu 16.04 LTS Xenial Xerus Ressources occupées par Ubuntu 16.04 Occupation du disque dur par Ubuntu 16.04

    Et pour finir j’ai mis les mains dans un Dell Latitude E6500 qui tourne avec un processeur Core2Duo P8600 à 2 x 2,4 Ghz et une carte graphique Intel.
    Côté mémoire vive, j’ai passé la capacité de 2 x 1 Go à 2 x 2 Go (DDR2), après avoir également mis à jour le BIOS (même méthode de crackage de Windows XP avec chntpw).
    Le disque dur, récupéré sur le Fujitsu, est passé de 120 Go à 512 Go, et j’ai installé Ubuntu 16.04 LTS en double démarrage avec Windows 10, qui confirme son statut d’OS le plus lourd du monde : ça rame, ça met 3 x plus de temps à démarrer que Linux, etc.
    Du coup, je pense repasser en Windows 7 éventuellement, toujours en deuxième choix de démarrage 😉 !

    Je me retrouve donc avec un petit peu de stock en mémoire et disque dur, et un ordinateur plus puissant.

  • Friday 10 June 2016 - 12:56

    Grâce à Cyrille Borne, j'ai mis à jour le parc informatique familial.
    Voici une présentation de mon matériel informatique.

    Cyrille m'a fait parvenir récemment 3 ordinateurs :

    • 1 Dell Latitude D430 + station d'accueil
    • 1 Dell Latitude E4300
    • 1 Dell Latitude E6500
    • 3 chargeurs (ils sont interchangeables, Dell utilisant les mêmes sur plusieurs modèles, on sent le côté pro)
    • 1 housse 15 pouces
    • du carton pour bien maintenir
    • 1 kilo de scotch

    Je vous fais le tour du propriétaire en terme d'ordinateurs (comprendre hors tablettes, smartphones et autres matériels permettant d'accéder à Internet comme les consoles par exemple) :

    • 1 ordinateur fixe assemblé à base de processeur Intel Core 2 Duo E5200 (2 x 2,5 Ghz) + 4 Go de RAM (pas plus dixit la carte-mère 🙁 ) + SSD 256 Go + 2 HDD (500 Go + 1 To) + Nvidia GeForce 9600 GT (écran 19 pouces) + Windows 7 = ordinateur familial utilisé principalement par madame
    • 1 ordinateur portable Fujitsu Amilo Pi 3540 à base de processeur Intel Core 2 Duo P8600 (2 x 2 Ghz) + 4 Go de RAM (2 Go soudés + 1 barrette de 2 Go) + HDD 500 Go + Nvidia GeForce 9300M GS (écran 15 pouces) + Windows 7 / Linux Ubuntu = ordinateur utilisé principalement par moi-même
    • 1 ordinateur portable Toshiba Satellite L300D-21Z à base de processeur AMD Sempron SI-40 (1 x 2 Ghz) + 3 Go de RAM (2 Go + 1 Go) + HDD 160 Go + ATI Radeon Mobility 3100 (écran 15 pouces) + Xubuntu = ordinateur utilisé occasionnellement par le fiston

    L'ordinateur fixe n'a pas vocation a changer pour l'instant, car il faudrait que je rachète une carte-mère, un processeur et de la RAM.

    L'ordinateur portable Fujitsu a de nombreux défauts comme un bruit d'avion à réaction dès qu'il chauffe (donc très rapidement après l'allumage), une mise en veille qui ne marche pas terriblement sous Linux, une partie gauche du clavier qui montre des signes de fatigue... mais il fonctionne quand même.

    Pour le Toshiba par contre, c'est une autre histoire.
    Un processeur monocore, c'est LENT !
    Mon fils utilise l'ordinateur pour jouer à des jeux en Flash, ça rame comme ce n'est pas permis, du coup on comprend qu'il délaisse l'ordinateur pour la tablette ou le smartphone.
    Je ne suis pas dérangé par cet état de fait, le besoin d'un ordinateur "convenable" viendra plutôt au collège (il est en fin de CE2) mais si j'ai l'opportunité de faire évoluer l'ordinateur, comprendre en changer pour un plus puissant, c'est intéressant.

    Quand à ma femme, qui est une accroc à sa tablette (jeux + lecture numérique via l'application Google idoine), elle m'a fait comprendre qu'avoir un petit ordinateur facilement accessible à disposition ne serait pas du luxe, surtout à un prix défiant toute concurrence.

    Voilà où j'en suis côté matériel.

    Côté logiciel, c'est à la fois simple et compliqué.
    Simple car sur du matériel ancien pour une question de prix, il n'est pas vraiment possible d'installer Windows partout.
    Windows 7 commence à se faire vieux même s'il marche toujours.
    Mais quelle distribution Linux installer sur ces modèles ?

    A cause de bugs récurrents sur Unity et pour tester autre chose qu'Ubuntu, j'ai décidé de réinstaller mon Fujitsu.
    Vu qu'il suffit de sauvegarder sur un support externe le répertoire /home, c'est assez simple.
    J'ai donc installé Linux Mint (saveur Cinnamon).
    J'ai testé l'installation, l'utilisation basique (cliquer partout pour regarder), l'utilisation plus avancée (toujours cliquer partout mais aussi tester l'installation de certains logiciels que j'utilise au quotidien).
    En gros, je n'ai pas aimé 2 choses : le thème (couleur, boutons, etc.) et le fait que sortir des logiciels installés pour en utiliser d'autres risque d'entraîner (apparemment) des problèmes de dépendances (enlever vlc pour mettre mpv à la place par exemple).
    J'ai également testé l'installation de Debian (saveur Cinnamon également, j'aime bien en fait l'explorateur de fichiers Nemo), qui s'est révélée douloureuse (besoin d'avoir une deuxième clef USB avec le microcode de la puce wifi) et finalement qui n'a jamais réussi à démarrer (redémarrage à la fin du chargement).
    Je suis donc revenu chez Ubuntu (saveur Unity + Nemo) mais j'ai testé une clef USB nano Wifi, qui m'a permis apparemment de régler le souci de mise en veille (?).
    Étant de plus habitué à Ubuntu (à force), je pense que le Dell E6500 sera installé avec cette distribution.

    Merci à Frédéric Béziers et Timo van Neerden pour leurs conseils.

    Pour conclure cette introduction, je vous livre une petite photo de famille (la même que celle à la une).

    3 ordinateurs Dell pro

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  • Tuesday 07 June 2016 - 11:44

    Comme souvent en ce moment, j’ai installé la dernière version d’Ubuntu : la 16.04 LTS (Long Term Support), appelée Xenial Xerus.
    Comme ma dernière liste d’installation date un peu et que j’ai changé d’ordinateur, je remets ici pour mémoire ce que j’ai fait après l’installation de base.

    Je commence par modifier dans « Logiciels et mises à jour » les dépôts utilisés.
    Je choisis :

    • Logiciels Ubuntu : tout sauf « Code source ».
    • Autres logiciels : « Partenaires de Canonical » (pas « Code source »). C’est ici que s’ajouteront les PPA ultérieurement.
    • Mises à jour : je choisis les 3 types et je vérifie tous les jours avec affichage.
    • Options de développement : je choisis les mises à jour en « proposed » tant que Ubuntu 16.04.1 n’est pas sorti, car c’est tellement du travail de pro que les bugs mineurs mais gênants sont assez répandus.

    Du coup il faut recharger/mettre à jour : 

    sudo apt update && sudo apt dist-upgrade

    Je redémarre et j’installe si besoin les « Pilotes additionnels » (surtout pour les cartes graphiques), avec un redémarrage ensuite.
    Astuce personnelle : pour Nvidia, j’ai toujours préféré la version la plus récente si elle est indiquée « Testé », histoire de ne pas détruire Ubuntu (comprendre être obligé de reformater/réinstaller).

    Il reste ensuite un paquet d’applications à installer :

    • Installer seulement les traductions francophones des logiciels : localepurge
    • Installer un cloud via mon instance ownCloud avec le client owncloud-client
    • Gérer Grub via grub-customizer (qui aime bien planter 🙁 )
    • Installer un gestionnaire graphique de paquets : gdebi
    • Installer Java 8
    • Afficher des astérisques lorsque l’on tape son mot de passe sudo : http://gilles.wittezaele.fr/liens/?BYm_kg
    • Installer un client FTP : filezilla
    • Installer un logiciel de messagerie instantanée : pidgin
    • Installer un logiciel de gestion des partitions du disque dur : gparted
    • Installer un logiciel de téléchargement d’images ISO Linux : qbittorrent
    • Installer un navigateur alternatif quand Firefox n’affiche pas correctement une page Web : chromium-browser
    • Installer un navigateur anonymisant : tor-browser
    • Installer le support des archives compressées au format 7z : p7zip-full
    • Remplacer le vieillissant et presqu’abandonné explorateur de fichier Nautilus par celui fourni avec l’environnement de bureau Cinnamon : nemo
    • Installer un changeur de fonds d’écran : variety
    • Installer un outil de gestion de l’alimentation et de la batterie des ordinateurs portables : tlp

    Je n’oublie pas ensuite de faire le ménage dans les paquets que les mises à jour ont rendus obsolètes :

    sudo apt autoremove --purge

    Je ne rajoute pas d’office les logiciels que j’installais avant comme Skype, Steam (disponible dans les dépôts officiels sous le nom de steam-launcher), indicator-keylock (qui se trouve maintenant dans les dépôts officiels d’Ubuntu), Flash (flashplugin-installer installé d’office), gnupg2 (aussi installé d’office).

    A noter que récemment, apt a évolué et possède un indicateur de progression, je le préfère désormais à apt-get.

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  • Monday 06 June 2016 - 09:42

    Il y a quelques temps, j’ai commencé à utiliser le moteur de recherche français Qwant.
    Qwocorico !
    Je suis revenu il y a peu sur DuckDuckGo.

    Qwant est un moteur de recherche français qui propose une alternative à Google, notamment pour le respect de la vie privée.

    Cette expérience m’a permis de bien comprendre mes propres pratiques en matière de recherches et de ce que j’attendais d’un moteur de recherche.

    Tout d’abord, il s’avère que 90 % des recherches que j’effectue sont faites sur Google.
    J’ai comparé les résultats sur plusieurs termes et la différence entre Google et les autres moteurs est… incomparable.

    Du coup, si tous les chemins mènent à Google, pourquoi changer d’interface utilisateur, c’est-à-dire ne pas utiliser Google directement ?

    Premièrement parce qu’utiliser QW ou DDG (oui, j’utilise des petits noms, hype inside) permet d’avoir des fonctionnalités EN PLUS de la saisie simple de termes.
    Je veux bien sûr parler des Qwicks ou !bang (chez DDG).
    Ces raccourcis permettent de de lancer une recherche sur un site en particulier.
    Accouplés avec la possibilité (via extension ou selon le navigateur, Firefox chez moi) de lancer la recherche directement sur la barre d’adresse et hop, vous accédez à des résultats très rapidement, sans passer par l’affichage via le site du moteur de recherches.
    Ces raccourcis prennent la forme d’un signe (! chez DDG, & chez QW) suivi d’une forme abrégée du nom de domaine.
    Ainsi, une recherche sur Amazon France est possible avec :

    • sur DDG : !amfr RECHERCHE
    • sur QW : !a.fr RECHERCHE

    Malheureusement, chez Qwant, cette forme de recherches n’est pas toujours au point.
    Ainsi, certains raccourcis fonctionnent mal (la recherche sur la version anglophone de Wikipédia transforme les espaces en %20) voire pas du tout quand certains sites ont changé de de nom de domaine !
    J’ai alors essayé plusieurs fois de contacter Qwant via les formulaires mais ceux-ci eux-mêmes aboutissent parfois à une page d’erreur. Et de toute façon, je n’ai eu AUCUNE réponse ni vu de corrections.
    Alors que chez DuckDuckGo, j’ai déjà proposé des raccourcis et signalés des changements d’URL avec succès dans tous les cas.

    Voilà la première cause de mon retour chez le canard.
    Mais ce n’est pas la seule.

    La seconde raison importante est la façon d’afficher les résultats.
    Parce que oui, j’effectue aussi parfois des recherches directement sur mon moteur de recherche préféré (qui n’est pas le plus utilisé, je rappelle pour celles et ceux qui s’endorment).
    Cela permet des recherches simples avec une augmentation des informations disponibles lors de l’affichage des résultats.
    Ainsi, le fait de chercher un terme affiche soit une définition (tirée de Wikipédia), soit précise quel est le site officiel s’il y en a un, etc.
    Une sorte de réalité augmentée en quelque sorte, plutôt utile.
    Hors, l’affiche de ces résultats est très différent selon ces deux moteurs.
    Je vous mets trois captures d’écran pour bien comprendre.

    Recherche sur DuckDuckGo Recherche sur Qwant Recherche sur Google

    Comme vous pouvez le constater, les résultats attendus n’occupent pas la même place chez DDG et chez QW et c’est là aussi que le bât blesse.
    Sur DuckDuckGo, comme sur Google, les résultats remplissent l’espace de l’écran ou presque.
    Sur Qwant, les seuls résultats qui m’intéressent sont plutôt en bas à droite et du coup tout le reste est occupé par un bazar sans nom inintéressant.
    Si je veux, chez Qwant, n’avoir QUE les résultats de recherche sur Internet, je dois soit cliquer à droite sur Web (et encore, Qwant affiche des images sur une colonne à droite, je n’en ai rien à faire des images, si je veux des images je cherche SPÉCIFIQUEMENT des images, bordel !). Ou alors je crée un compte et je me connecte.

    Avec Qwant, j’ai l’impression de retourner à l’ère pré-Google, avec Yahoo ou Altavista, comprendre des résultats fouillis avec des pages à parcourir pendant de longues minutes pour espérer trouver ce que je cherche.
    Le changement ce n’est pas maintenant, c’était au tout début des années 2000, faut se réveiller chez Qwant !

    Voilà donc pourquoi, à la faveur d’une énième réinstallation d’Ubuntu (et donc de Firefox), j’ai remis l’extension DuckDuckGo à la place de l’extension Qwant.

    Cet article Fin de l’expérience Qwant-ique est apparu en premier sur Parigot-Manchot.

  • Monday 16 May 2016 - 08:59

    Toujours dans l’optique des jeux dématérialisés moins chers sur le magasin canadien, j’ai acheté l’excellent Tomb Raider: Definitive Edition sorti en 2013 auquel j’ai joué sur PlayStation 3.

    Payé moins de 10 €, c’est une affaire pour un jeu qui tourne presqu’à 60 FPS (comprendre bien fluide avec des graphismes HD tout le temps).

    Que de chemin parcouru depuis le premier volet !
    Que de chemin parcouru depuis le premier volet !

    Bizarrement, j’ai été jusqu’au bout du jeu sans mourir aussi souvent que sur la PS3, alors que je ne pense pas que la difficulté ait changée.
    Vu que je suis un bon gaffeur, j’ai échoué sur un trophée qui fait que je devrait recommencer le jeu pour le réussir.

    J’ai beaucoup aimé les graphismes, la jouabilité à la manette est bien pensée (on oubliera le touchpad PS4 inutile) et le scénario est toujours plein de rebondissements.
    L’héroïne avait été dépassé en succès par Uncharted, le reboot de cette vieille série est toujours sympathique, en attendant de me frotter au suivant.

    On notera également la présence d’un mode multijoueurs, aussi utile qu’un mode solo pour un Call of Duty 😀 !

    Prochain remix HD : Beyond: Two Souls.

  • Thursday 12 May 2016 - 08:59

    Je vais tâcher d’approfondir quelques choix personnels et décisions prises par rapport à WordPress, histoire de conclure cette série de billets.

    Doit-on payer pour améliorer WordPress ?
    Une idée très répandue dans la blogosphère WordPress, c’est que les meilleurs thèmes et les meilleures extensions sont payantes.
    C’est peut-être vrai… mais rien n’empêche de commencer avec du tout gratuit.
    Parce que commencer à payer pour tel ou tel service pour un site ou un blog alors qu’il ne s’en dégage aucun revenu, c’est bon pour les grosses institutions ou les grosses entreprises, c’est beaucoup plus délicat pour les petites structures.

    Doit-on faire payer la mise en place d’un WordPress ?
    Si vous faites ça pour des personnes ou des structures très proches de vous (votre famille ou votre association) ET que vous vous proposez : NON (en dehors des frais pour le nom de domaine et hébergement bien sûr).
    Dans le cas contraire OUI… mais cela implique plusieurs conditions :

    • vous êtes responsable (technique) de la gestion du site (sauf précision au départ), donc soyez prêts à intervenir 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour gérer les soucis éventuels.
    • évitez de faire ça au black, ça vous retombera dessus et vos clients auront du mal à cacher qu’ils vous payent 😉 !
    • entraînez-vous avant de faire payer vos services, ça serait dommage d’arrêter tout en plein travail car vous n’y arrivez pas !

    Combien de temps faut-il pour créer un site avec les techniques décrites ?
    Beaucoup, au début.
    Moins après, mais c’est quand même chronophage.
    Comptez une semaine pour tout installer et configurer, sans compter le choix des contenus (textes des pages à rédiger, photos à sélectionner et retailler, etc.).
    Si vous partez de zéro d’un point de vue connaissances techniques, comptez… plus 😉 !

    Puis-je prendre n’importe quelle extension pour améliorer WordPress ?
    Prenez les extensions ayant été beaucoup installées, WordPress vous indique ce nombre pour chaque extension.
    Vérifiez que votre extension est toujours mise à jour (une extension mise à jour il y a plusieurs mois risque de ne pas fonctionner).

    Puis-je utiliser n’importe quel thème pour créer un site vitrine avec WordPress ?
    En théorie oui, mais Tempera est celui que je trouve le plus complet sans mettre les mains dans le code.
    Customizr permet aussi d’avoir une page d’accueil facilement et si vous en trouvez d’autres gratuits et facilement configurable avec une page statique attrayante, je suis preneur.

    Où trouver de l’aide sur Internet ?
    Je vous conseille deux sources :

    Il existe un support officiel francophone mais je le trouve assez peu réactif (avis personnel) et vous trouverez d’abord votre bonheur (plus rapidement) avec les deux sources données ci-dessus.
    Rien ne vous empêche quand même de poser votre question là-bas.

    Que donne un site créé avec ce genre de technique ?
    Voici le site que j’ai réalisé pour une école primaire, grâce à plusieurs tutoriels trouvés sur Internet et pas mal de tests : École Sainte-Jeanne-d’Arc – Cherbourg-Octeville
    Il y a donc une partie site institutionnel, un agenda, une partie blog, plusieurs utilisateurs, bref la totale qui explique la grande liste d’extensions utilisées et montrée dans le billet précédent.

    Qui est responsable du site ?
    Administrativement, le responsable est l’entreprise ou l’association pour qui vous créez le site, mais vous pouvez en rester l’administrateur technique.
    Du coup, je préconise, lors de l’installation de WordPress, de choisir un identifiant plutôt neutre, du type prenom.initial_nom au lieu d’un éventuel pseudonyme.
    Faites attention aussi si vous rédigez un billet d’afficher correctement le nom/pseudonyme dans le compte utilisateur, histoire de toujours rester neutre également (préférez webmestre à votre identité complète).
    Si le propriétaire du site vous laisse gérer la partie technique, il peut vouloir rédiger le contenu lui-même, il vous suffira alors de créer un utilisateur avec le rôle Éditeur pour qu’il n’ait accès qu’au contenu, charge à vous de discuter avec lui de cet accès car en tant que propriétaire, il est en droit d’avoir un accès Administrateur mais il devra assumer la vue du menu complet de l’administration, au risque de s’y perdre 😉 !
    Enfin, n’oubliez pas la page des mentions obligatoires car la Loi française oblige, il me semble, à un minimum d’identification de votre site.
    Vous trouverez un exemple en bas du site dont j’ai mis l’URL dans la question précédente.

  • Monday 09 May 2016 - 08:59

    Voilà, le site est prêt, le thème est réglé et le contenu bien en place.
    Du coup, il faut maintenant finir sa préparation en rajoutant quelques outils qui, s’ils ne sont pas indispensables, faciliteront grandement la vie !

    Je vais donc parler maintenant des extensions.
    Déjà, un petit rappel : si vous installez une extension ET que pour une raison X ou Y vous ne l’utilisez pas pour l’instant, ne l’activez pas, cela alourdit juste le chargement de votre site pour rien.
    Par exemple, je pense à la première extension évoquée précédemment, Maintenance, qu’il suffit d’activer et utiliser seulement si vous faites des changements importants sur le site.
    Sinon, désactivez-la.

    Voici donc une liste des extensions (et par conséquent fonctions) que je rajoute à WordPress :

    • Better WordPress reCAPTCHA : permet d’utiliser le CAPTCHA de Google pour vous identifier dans l’administration ET avec un formulaire de contact. C’est du Google mais c’est le plus efficace que j’ai trouvé pour empêcher une attaque par bruteforce de l’administration.
    • Contact Form 7 : permet de créer un ou plusieurs formulaires de contact facilement.
    • BackWPup : permet de sauvegarder régulièrement et automatiquement le site (fichiers et base de données) sur un hébergement distant.

    En dehors de ces 3 extensions, voici une liste de celles que j’utilise selon le besoin et le site :

    • All-in-One Event Calendar par Time.ly : permet de créer un ou plusieurs agendas, avec des catégories et un affichage sur une page à part ou en widget et le tout en responsive.
    • Simple Lightbox : permet d’afficher les images avec un effet Lightbox.
    • WP-Piwik : permet de relier son site à une installation Piwik pour avoir des statistiques détaillées de fréquentation. Nécessite l’installation du script PHP gratuit Piwik sur votre hébergement personnel.

    Avec ces extensions, vous arriverez à gérer un site Internet sans vous arracher les cheveux.
    Attention cependant car certaines options demandent de la configuration avancée (je pense à UpdraftPlus).

    Ce billet reste assez léger car comme tout site ou blog qui se respecte, si vous surchargez votre WordPress avec des extensions, il deviendra plus long à se charger et vous perdrez en confort de navigation, surtout vos visiteurs en fait, au bénéfice de fonctionnalités dont vous n’aurez peut-être pas besoin.

    Liste des extensions WordPress pour un site avec une partie blog et plusieurs utilisateurs Liste des extensions du moment pour mon blog

    En cadeaux bonus, je vous liste le détail de quelques extensions supplémentaires, à utiliser au cas par cas :

    • Infinite WP Client : permet de mettre à jour, ajouter ou supprimer des extensions, des thèmes ou faire les mises à jour de WordPress. Utile si vous gérez plusieurs WordPress mais nécessite l’installation du script PHP gratuit InfiniteWP sur votre hébergement personnel.
    • Optimize Database after Deleting Revisions : permet de faire du ménage automatiquement dans la base de données (notamment en supprimant les révisions).
    • WooCommerce : permet de créer simplement une boutique en ligne. Plus simple à installer et gérer que PrestaShop et s’intègre à WordPress.

    Je ne recommande pas d’extension de cache, car à moins que vous commenciez dès le début avec 10 000 visiteurs / jour, c’est assez inutile.

    Si vous avez d’autres idées de thèmes TRÈS utiles, n’hésitez pas à commenter, je vous répondrai en expliquant leur inutilité 😛 !

  • Thursday 05 May 2016 - 08:59

    WordPress est en place mais votre site ressemble encore à un blog.
    Vous avez installé le thème Tempera et l’extension qu’il propose.
    Vos êtes parés à mettre les mains dans le cambouis ou presque.

    Tous les réglages suivants se passent dans Apparence > Tempera Settings.

    Pour commencer, il faut définir un ton, une couleur pour l’ensemble de votre site : il faut cliquer sur JEUX DE COULEURS puis choisissez l’un des modèles et valider avec le bouton IMPORTER UN JEU DE COULEURS.

    Jeux de couleurs
    Les jeux de couleurs disponibles dans Tempera

    Pour le reste des réglages, il faut les prendre les réglages dans l’ordre.

    • Mise en page : choisissez comment se présenteront les pages de votre site, sauf la page principale (définie ailleurs). Je vous conseille de ne pas surcharger donc personnellement je préfère donc le 1er ou le 2ème choix (une colonne à droite, le visiteur commencera donc par lire les informations principales à gauche/au milieu, la colonne sera un petit plus moins important).
      Laissez la répartition sur la réglette en dessous et vérifiez que Adaptable à tous les écrans est bien sur Activer et que la case Allow zoom adjacente est cochée.
    • En-tête : rien de compliqué, c’est ici que vous sélectionnez une image d’en-tête, un logo ou un favicon si vous en avez. Si vous n’avez aucun des trois, ce n’est pas important.
    • Page de présentation : c’est ici que tout se décide pour la page d’accueil donc il faut bien sûr Activer celle-ci.
      L’option juste en dessous permet d’afficher vers le bas de la page d’accueil les derniers billets que vous écrivez si vous décidez de bloguer. Si vous présentez juste votre activité, Désactiver, sinon Activer en choisissant le nombre de billets affichés avec Show (il suffit au visiteur de cliquer sur un bouton pour en afficher plus) et sur combien de colonnes avec Posts per row (je préfère 2).
      Laissez les Réglages du slider (le diaporama de l’accueil) par défaut.
      Réglez ensuite les images affichées dans le Diaporama (oui, le slider des options précédentes, vous noterez la cohérence de la traduction) en choisissant Vos slides dans le menu déroulant puis vous pouvez choisir jusqu’à 5 images qui défileront, avec, pour chaque image, un titre, un texte et un lien hypertexte. Personnellement je laisse tout vide, car je trouve plus intelligent de choisir directement des images parlantes. Si vous voulez utiliser moins de 5 images, ne mettez rien dans les slides au-delà de vos images. Vos images devront faire la taille définie au début de l’option précédente, par défaut 1150 x 400, je trouve que c’est un bon choix et de toute façon le diaporama s’adapte sur les écrans mobiles.
      Le dernier groupe d’options Colonnes page de présentation concerne les pages que vous voulez mettre en avant via une vignette sous le diaporama. Avec Colonnes par rang, choisissez le nombre de vignettes (comprendre le nombre de pages que le visiteur verra d’emblée présentées, je conseille 3 pages mais vous pouvez grimper à 4). Notez la taille des images que vos devrez sélectionner (201 x 318 par défaut) et traduisez le texte en dessous qui est un lien pour afficher la page.
      Enfin, les options en Extras permettent d’afficher un titre et texte entre le diaporama et les pages mises en avant, HTML possible, pensez au <br />.  Vous pouvez également Cacher les zones inutiles.
      C’est fini pour la page de présentation !
    • Les réglages Texte et Couleurs sont assez explicites pour que vous les régliez vous-mêmes, moi je laisse tout par défaut car c’est prédéfini par rapport au jeu de couleurs choisi précédemment, mais rien ne vous empêche de tout personnaliser.
    • La partie Graphique n’a pas beaucoup de réglages donc laissez tout par défaut pour débuter.
    • Articles et pages : les options touchent aussi bien les billets que les pages. Laissez la barre de métadonnées en haut et ne gardez seulement pour les billets les informations Auteur, Date et Catégorie, rien pour les pages et laissez les 3 options suivantes en Cacher.
      Le but du site vitrine est aussi de rester propre/épuré.
    • Extraits des articles : traduisez le texte pour Texte « Continuer à lire » et ne changez rien d’autres.
    • Le reste des options est aussi explicite, notamment pour les réseaux sociaux.

    Il faut ensuite SAUVEGARDER LES MODIFICATIONS et vous aurez PRESQUE fini.

    Il ne reste plus qu’à définir les pages que vous mettez en avant sous le diaporama.
    Direction Apparence > Widgets et trouvez l’emplacement Colonnes page de présentation pour y glisser-déposer autant de widgets Cryout Column que de pages que vous aller mettre en avant. Ce nombre a été défini dans les options de la Page de présentation (Colonnes par rang).
    Pour chaque widget, vous allez définir la vignette, le titre, le texte d’accroche et le lien vers la page.
    Si jamais vous avez défini un design général des pages avec une colonne, c’est ici aussi que vous allez placer d’autres widgets.

    Et voilà, cette fois-ci les réglages pour Tempera terminés.
    Commencez à remplir vos pages et à sélectionner vos images puis tester l’aspect général du site en fonction de vos modifications.
    N’oubliez pas non plus de régler vos menus (haut, principal et bas de la page).
    Rassurez-vous, le plus dur est passé.

    Je vous mets une galerie des options du thème, histoire que vous ayez un peu de support…

    Mise en page En-tête Page de présentation Texte Couleurs Graphiques Articles et pages Extraits des articles Images à la une Réseaux sociaux Divers
  • Monday 02 May 2016 - 07:59

    Madame lit.
    Madame lit sur tablette.
    Madame lit via Google Livres.
    Et des fois les livres de Madame sont mal importés en ligne.

    Quand Madame me demande un livre numérique, le cheminement du fichier n’est pas des plus simple.

    Je commence par le récupérer.
    Tout simplement 8) en le téléchargeant le fichier, de préférence au format ePub.

    Sa tablette étant sous Android, elle a essayé plusieurs applications de lecture numérique et son choix s’est porté sur Google Livres.
    Choix judicieux pour le geek que je suis car pour importer un e-book sur sa tablette c’est assez facile.

    Je me rends d’abord sur le site du PlayStore, dans la partie dédiée à la librairie du géant américain, identifié avec le compte Google de Madame.
    Je peux voir dans la partie « Importation » les livres précédemment importés, tout du moins les couvertures et des bouts de titres et noms d’auteurs.

    J’en profite au passage pour râler : le classement et l’affichage des livres numériques sur le site du PlayStore est à chier.
    On ne peut rien trier et aucune recherche ne semble possible dans lesdits titres.

    La suite est simple : je clique sur le bouton « Importer » et je sélectionne ensuite (via une fenêtre ouvrant l’explorateur ou via un glisser-déposer depuis l’explorateur jusqu’au navigateur) les livres à importer.

    Au bout de quelques secondes (merci la fibre optique), les livres, ou plutôt leur couverture, apparaissent sur l’écran de la librairie numérique personnelle.

    Sauf que parfois Google n’arrive pas à afficher ni importer le contenu d’un e-book et vous vous trouvez avec un message d’erreur.
    Bien évidemment, sur l’ordinateur, aucun problème pour ouvrir le livre en question 😡 !

    playstore-probleme-ebooks

    Du coup, j’ai trouvé la solution ultime : convertir le livre numérique (format ePub ou PDF) vers le format ePub (même s’il est déjà dans ce format).

    Pour ce faire, le très moche et très anti-ergonomique Calibre m’aide dans cette tâche.

    Voici la démarche à suivre :

    1. J’ouvre Calibre.
    2. J’importe un ou plusieurs livres numériques posant problème.
    3. Je sélectionne (en cliquant dessus) le(s) livre(s) à problème et je fais un clic-droit pour choisir « Convertir ».
    4. Je vérifie que le format de sortie en haut à droite est bien sur « EPUB ».
    5. Je clique sur « Convertir » et j’attends.

    Une fois terminé, le plus « difficile » reste à trouver le livre converti, qui ne se trouve pas dans le même répertoire que le livre original (ça serait trop simple et pas dans la tradition Libre du « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? »).

    Sous Linux, plus particulièrement Ubuntu, le répertoire par défaut pour une installation française :

    /home/UTILISATEUR/Bibliothèque Calibre/

    Sous Windows, je vous laisse chercher le répertoire « Library » ou équivalent.

    Une fois le répertoire trouvé, les livres étant classés par dossier au nom de l’auteur, on retrouve dans le bon sous-répertoire le fichier original (utilité de faire une copie vu que l’original est aussi dans le répertoire dans lequel il se trouvait avant l’import dans Calibre ?) noté comme tel et le résultat de la conversion.

    Du coup, il suffit, après avoir supprimé le livre à problème dans le PlayStore, d’importer cette version « réparée.

    Et voilà !

    Note : cet article parle bien évidemment de livres numériques sans DRM et libres de droits, cela va de soi !

     

  • Sunday 01 May 2016 - 08:59

    J’ai récemment mis à jour trois appareils faisant tourner Linux.
    Le résultat est plutôt inégal !

    Pour commencer, j’ai essayé une ROM alternative différente de CyanogenMod sur mon Samsung Galaxy S2 : la DirtyUnicorns.
    Vous n’imaginez pas les noms que l’on peut trouver pour ces systèmes !
    Au final, je suis revenu sur CyanogenMod 13, malgré ses bugs récurrents mais qui changent régulièrement.
    Ainsi, la nightly du 30 avril 2016 empêche d’utiliser la fonction Téléphone qui crashe dès qu’on l’appelle, humour Android.

    Sur l’ordinateur du fiston, j’ai installé la dernière version d’HandyLinux.
    Ici tout fonctionne, aussi bien ou mal qu’avec la Xubuntu d’avant, mais au moins le système est à jour, relativement stable et suivi.
    Flash n’est pas à jour à l’installation, pas d’écran de chargement au démarrage (problème matériel identifié insolvable), pas de gestion de la mise veille/hibernation (même problème hardware, la carte-mère n’est pas à jour niveau BIOS), les touches Fn ne fonctionnement pas (même problème matériel toussa).
    La documentation étant relativement complète, j’ai trouvé comment mettre à jour Flash ici, humour linuxien (j’aurai pu demander de l’aide sur le forum de support mais les forums ne respectant pas la nétiquette, ça m’embête un peu).
    De toute façon, Linux ou Windows, c’est dépassé, le point d’entrée informatique se situe au niveau du navigateur et HL 2.4 inclut Firefox, vu que mon fils a un compte Firefox Sync, aucun souci, j’ai juste rajouté un raccourci Xfce pour FF, là on arrive dans de la bidouille un peu pointue pour l’utilisateur lambda comparé à du Windows qui fait la même chose en glisser-déposer (ou Ubuntu/Unity).
    Tant que ça marche et que ça reste à jour, Xubuntu n’est pas loin de toute façon, au pire.

    Le gros morceau était le passage d’Ubuntu 15.10 à Ubuntu 16.04 sur mon ordinateur portable (qui reste mon ordinateur principal à domicile).
    Comme toute bonne version nouvelle d’Ubuntu, je passe désormais par une sauvegarde de /home (avec sélection du contenu) sur un disque dur externe ou une clef USB (formatage ext4), un suppression/formatage de la partition par Gparted via le LiveUSB de la nouvelle version d’Ubuntu et une installation propre.
    Le plus « long » se situe ensuite au niveau de l’installation des logiciels et réglages à effectuer pour personnaliser le tout, mais j’ai déjà fait un mémo pour me rappeler et retrouver ce qu’il faut rapidement.
    Des petits changements sont arrivés cependant, donc je referai un billet rapide sur tout ce que je fais APRÈS avoir installé Ubuntu 16.04 !

    Et voilà, c’est reparti comme en 40 (sacrée expression !).
    A noter que sur l’autre ordinateur fixe familial (dont se sert madame 90 % du temps), pas besoin de mettre à jour, Windows 7 fonctionne toujours bien et il n’est pas envisagé d’installer Windows 10… pour le moment.

  • Wednesday 27 April 2016 - 08:59

    Votre WordPress est en ligne et vous pouvez y accéder avec une adresse Internet ?
    Le plus dur est fait ! Ou presque.
    Reste plus qu’à le personnaliser.

    Pour le moment, vous avez un blog, c’est-à-dire que votre site est constitué de billets (articles dans la terminologie WordPress) qui s’empilent chronologiquement les uns en dessous des autres.
    Enfin au départ, il n’y a qu’un seul billet en exemple, avec un commentaire.
    Idem pour les pages statiques, qui constitueront l’ossature principale de votre site : une seule a été créée pendant l’installation.

    Normalement, vous avez pu vous familiariser avec le menu de gauche de l’administration WordPress, si ce n’est pas le cas, allez-y maintenant !

    Avant toute chose, comme toute construction, je trouve qu’il est important de cacher les travaux aux visiteurs, donc commencez par installer l’extension Maintenance et activez le mode idoine.
    Ainsi, seuls les utilisateurs connectés pourront accéder au site, via le cadenas sur le côté droit.

    Passons aux réglages de base qui sont assez… basiques !
    Je vous suggère d’effectuer ceux-ci dans l’ordre du menu :

    • Général : renseignez ici le nom de votre site et éventuellement le slogan ou l’accroche.
    • Écriture : Ne changez rien.
    • Lecture : Ne changez rien.
    • Discussion : Décochez les 3 premières options, même si vous voulez rédiger des billets en mode blog afin de ne pas à vous rajouter du travail de modération supplémentaire.
    • Médias : Décochez la case Organiser mes fichiers envoyés afin de ne pas éparpiller inutilement vos images.
    • Permaliens : En cas de rédaction de billet, choisissez Mois et titre ou Date et titre.

    Si vous souhaitez bloguer, régler la catégorie dans laquelle seront classés vos billets, je vous conseille de n’en utilisez qu’une.
    Il suffit de se rendre dans Articles / Catégories pour changer le nom par défaut de celle déjà existante (en cliquant sur le nom).
    Conseil : intitulez-la Nouvelles sans plus et ne mettez rien dans la case Identifiant, WP s’en chargera automatiquement (et proprement), idem pour les cases suivantes, inutiles.

    Vous pouvez, voire devez, faire ensuite du ménage dans les articles, commentaires et pages de votre site.
    Par défaut, WordPress rédige un billet avec un commentaire et prépare une page statistique comme exemple.
    Supprimez-les, ils sont inutiles bien sûr.
    L’article se trouve dans la partie Articles (si, si) et la page… je vous laisse deviner 😉
    Le fait de supprimer un article supprime automatiquement les commentaires associés, sachant que WP expédie le tout en Corbeille, vous pouvez les y laisser pour l’instant.

    Voilà, votre installation WordPress est prête à être modelée.

    WordPress
    Présentation d’un nouveau blog WordPress

    Pour que votre WordPress ressemble à un site plutôt qu’à un blog, j’utilise le thème Tempera, de Cryout Creations.
    Vos pouvez l’ajouter via Apparence / Thèmes puis Ajouter.
    Lors de l’activation, il est proposé d’installer l’extension Cryout Serious Theme Settings, je vous conseille de le faire, sans ça pas de réglages possibles du thème.

    La partie réglages va d’ailleurs nécessiter un billet à part…

  • Sunday 24 April 2016 - 08:59

    J’ai regardé le film Docteur Frankenstein (Victor Frankenstein chez les québécois, qui n’ont pas changé le titre comme chez nous, on applaudit les stupidités de ce genre, il y a un gars payé pour traduire les titres de films même quand c’est inutile ? o.O) et je l’ai bien aimé, surtout pour ces décors et son univers, moins pour l’histoire franchement minimaliste.

    Daniel Radcliffe (mais si, le boutonneux des films Harry Potter) est bossu, boiteux et laid, grimé en bête et clown de cirque, maltraité. Heureusement, il est doué pour la médecine (10 ans d’études de nos jours, très surfait), grâce aux livres.

    Daniel Radcliffe
    A gauche dans Harry Potter, au milieu dans l’excellent Horns et à droite dans Docteur Frankenstein.

    Débarque alors Victor Frankenstein qui le libère et le transforme en bogosse de l’ère victorienne, lui donne un nom (Igor) et le prend comme aide médical pour l’aider à son grand projet : redonner la vie à un cadavre grâce à l’électricité (un peu comme les élections chez nous).
    On rajoute une amourette, des méchants, un poil de religion et de philosophie et on s’interroge sur ce qui m’a plu dans le film.

    Vous vous doutez, chers lecteurs-rices (parait qu’il faut écrire comme ça, je vous souhaite bon courage pour le lire, je trouve ça discriminant de mettre le féminin en second, oui je trolle et j’aime ça), que ce n’est pas le scénario qui est à mes yeux le point fort du film.

    Petit aparté : je déteste les séries télévisées anglaises (à part celles traitant de mon héros littéraire préféré : Sherlock Holmes, et aussi Black Mirror, parce que j’aime l’humour grinçant, bref), molles à souhait.
    Par contre, j’aime beaucoup les films anglais, récents de préférence, comprendre que j’ai adoré les deux films sur Sherlock Holmes avec Robert Downey Jr, de Guy Ritchie (je vous laisse consulter sa très bonne filmographie sur Wikipédia) par exemple.
    C’est frais, plein d’action et surtout plein de petits effets spéciaux en surimpression pour apporter des précisions, comme des notes de bas de page dans un roman.
    C’est un effet de style que j’ai vu sur certaines productions et je trouve que ça apporte un cachet.

    Du coup, voir ça dans cette adaptation très libre du roman de Mary Shelley est assez intéressant (on voit en fait des effets sur l’intérieur des corps humains).
    Les décors victoriens sont aussi très sympathiques, c’est une époque que j’aime bien et du coup l’esthétisme du film m’a beaucoup plus.

    L’humour est au rendez-vous (Igor n’est plus bossu, grâce à l’intervention de Victor, assez peu orthodoxe), la romance aussi, point trop n’en faut.

    Les acrobaties d’Igor et de son « maître » (dans ce film c’est plutôt son « ami ») sont assez étranges (influence Matrix et films d’action ?) mais cela ne gâche rien et même si le film tire en longueur (la scène du bal est à mourir d’ennui), vous pouvez vous laisser tenter et Daniel Radcliffe montre qu’il n’est plus un simple sorcier hollywoodien.

    Remarque: Il y a un sondage inclus dans cet article, veuillez visiter le site pour participer à ce sondage.
  • Thursday 21 April 2016 - 18:19

    J’ai plusieurs ordinateur à mettre à jour sous Linux dans les prochains jours.

    Tout d’abord, mon propre ordinateur en Ubuntu 15.10 qui va passer en Ubuntu 16.04.
    La version 16.04 est une version LTS, comprendre avec un support très long et je pense que je vais rester en LTS plutôt qu’en version évolutive qui change tous les 6 mois, vu que les logiciels se mettent à jour pendant la période de support étendue, donc pas de risque que le navigateur ou le traitement de texte soit obsolète après 6 mois.

    Deuxièmement, l’ordinateur du fiston est sous Xubuntu 15.04, donc plus à jour depuis février 2016.
    Vu la difficulté à installer une version stable sur cette machine préhistorique, je vais essayer de le passer sur HandyLinux et sinon Xubuntu 16.04.
    Dans le pire des cas, une tentative sur Xubuntu 14.04, le support allant jusqu’en 2019 et j’ai bon espoir qu’il ait un ordinateur plus récent d’ici là.

    Enfin, et j’aurais dû commencer par là, mon smartphone Samsung Galaxy S2 (i9100) va peut-être changer de ROM, passant d’une CM13 en nightly (comprendre avec des bugs tout le temps, pas énormes mais chiants à force) à une ROM DirtyUnicorns qui a l’air plus stable et tout aussi à jour côté base Android AOSP (Android 6.0.1_r30 = avril 2016 il me semble).
    Oui, Android = Linux :p

    Au boulot !

  • Thursday 21 April 2016 - 09:10

    J’ai exposé précédemment pourquoi WordPress.
    Aujourd’hui, je vais détailler ma vision du coût pour avoir un site avec WordPress, que ce soit le coût financier de base ou bien le coût humain.

    Entendons-nous bien : si vous gérez la création de A à Z de votre site WordPress, vous pouvez vous en tirer avec un coût TRÈS réduit au niveau technique.
    Le script WordPress est gratuit et téléchargeable sur le site officiel.
    Certains arrivent à installer WordPress sur un hébergement gratuit.
    Les extensions et thème que j’utilise sont gratuits.

    Mais vous ne pourrez pas faire abstraction du coût en temps que nécessite la compréhension et la mise en place du site.
    Sauf si vous payez un prestataire extérieur.

    Il existe deux manière d’héberger son blog WordPress :

    • soit vous utilisez le site https://www.wordpress.org mais vous n’avez pas la main sur les fichiers. Vous pouvez tester un avant-goût de WordPress mais sans plus.
    • soit vous hébergez votre WordPress chez un hébergeur. C’est cette méthode que je vais aborder.

    Pour commencer, avant de se lancer sur Internet, vous devez définir quelques éléments de votre site Internet :

    • un nom
    • un logo ou une identité visuelle, même basique
    • un slogan éventuellement, un site c’est de la communication donc une accroche peut être intéressante
    • savoir si vous voudrez ajouter au site une petite partie blog pour donner des nouvelles d’un projet par exemple ou si vous voulez rester en mode vitrine (sans connotation péjorative)

    Le nom du site, découlant probablement du nom de l’entreprise ou de l’institution (association par exemple) que vous voulez présenter, va permettre de décider du nom de domaine.
    J’ose espérer que vous savez ce qu’est un nom de domaine (le mien ici est parigotmanchot.fr), sachez qu’il va falloir en acheter ou plutôt en louer un.
    Traditionnellement vous allez louer votre NdD pour une durée d’un an, auprès d’un bureau d’enregistrement des noms de domaine (registrar en anglais).
    Le plus connu en France, et l’un des plus fiables par la même occasion, est Gandi, dont la grille des tarifs vous donnera une idée du coût annuel, comptez 12 € environ pour un .fr ou un .com.
    Vous pourrez trouver moins cher ailleurs, par exemple chez 1&1 mais pour débuter, choisissez la qualité made in France 8) et rien ne vous empêche au bout d’un an de changer de fournisseur.
    Point important : n’oubliez pas de renouveler votre nom de domaine au bout d’un an, sinon vous risquez de le perdre ainsi que le référencement et les visiteurs qui vont avec…

    Le deuxième point technique à aborder est la question de l’hébergement de votre site, comprendre des fichiers qui le composent.
    Un site Internet, avec ou sans WordPress, c’est un ensemble de fichiers et une base de données éventuellement.
    Donc il faut un ordinateur (serveur) relié à Internet et qui permet aux visiteurs de voir le site, on parle d’hébergement Internet.
    Au départ, vous allez recevoir dans les 10 visiteurs par semaine, c’est la joie, c’est tellement peu que vous n’avez pas besoin d’un hébergement très important, comprendre là que n’aurez pas à payer un serveur dédié, juste un hébergement mutualisé donc une capacité raisonnable (pas besoin de 10 Go de place ni d’un ordinateur avec de la mémoire dédiée, etc.).
    Vous allez accéder à cet ordinateur distant via différents moyens (FTP ou SSH).
    Vous avez donc besoin d’un hébergeur et pour faire simple, je vous conseille o2switch qui pour la modique somme de 5 € HT / mois (72 € TTC / an) vous assurera un hébergement lui aussi made in France (Clermont-Ferrand) de qualité, avec le support client qui avec.

    Ensuite, vous allez devoir télécharger WordPress, la dernière version est disponible sur le site officiel, avec la langue française bien entendu intégrée et disponible dès l’installation.
    Coût : 0

    Voilà pour les coûtes techniques.
    Pour calculer le coût humain, c’est plus long.

    Pour chacune des étapes, vous allez devoir apprendre à gérer ce que vous voulez.
    L’achat du nom de domaine se fait simplement, mais une fois l’hébergement payé, il va falloir « relier » le nom de domaine à cet hébergement (configuration assez simple si on suit la documentation de l’hébergeur).
    Cela va permettre, quand un visiteur tape votre nom de domaine dans la barre d’adresse de son navigateur, d’arriver sur votre site.

    La deuxième étape à suivre est de configurer votre hébergement pour accepter le nom de domaine que vous avez payé.
    Vous allez donc le « déclarer » et en général en même temps renseigner dans quel dossier de votre hébergement il va se situer.

    Et après, il va falloir mettre en place le site en envoyant (upload en anglais) sur l’hébergement les fichiers de WordPress.
    C’est simple : téléchargez WordPress, décompressez le fichier ZIP (clic-droit dessus puis « Extraire ») et utilisez un logiciel FTP comme FileZilla pour transférer les fichiers chez l’hébergeur.

    Filezilla
    Fenêtre principale de FileZilla

    La dernière étape consiste à créer une base de données MySQL (et un utilisateur pour cette base de données) dans le panneau d’administration de l’hébergeur.
    Ainsi, une fois l’opération effectuée, il ne vous reste plus qu’à vous rendre vous-même sur l’adresse de votre site avec votre navigateur.
    Normalement, l’installation va débuter, avec un questionnaire vous demandant de renseigner les informations techniques liées à votre hébergement et à votre base de données.

    Installation de WordPress
    Renseignements sur l’hébergement et la base de données
    Installation de WordPress
    Renseignements sur le principal utilisateur de WordPress

    Vous avez compris qu’il va donc falloir apprendre !
    Car chaque étape nécessite un apprentissage, heureusement assez facile.
    Plusieurs pistes s’offrent à vous :

    • Google (ou tout autre moteur de recherche)
    • la documentation de votre hébergeur ou son support technique (e-mail ou téléphonique, voire un forum)

    Vous allez passer du temps à apprendre mais ça ne sera pas perdu, croyez moi !
    Et si la tâche vous rebute, bonne nouvelle, vous pouvez soit laisser tomber soit payer un prestataire. Cher.

    Petite astuce : essayez de vous faire la main sur des hébergements gratuits, pour débuter cela fera l’affaire, sans avoir à payer le nom de domaine ou l’hébergement.

  • Sunday 17 April 2016 - 16:59

    Je rédige un billet rapidement comme aide-mémoire !

    Premièrement, pour mettre à jour ownCloud quand aucune mise à jour n’est proposée dans l’administration :

    • sauvegarder une copie des répertoires config et data
    • renommer l’ancien répertoire
    • télécharger et décompresser le fichier ZIP de la dernière version
    • copier les anciens répertoires config et data dans le nouveau répertoire
    • retourner sur l’instance ownCloud qui doit lancer la mise à jour

    En SSH, pour aller plus vite, j’effectue une copie complète du dossier original, en le changeant simplement de nom :

    • mv owncloud/ owncloud.bak/
    • wget https://xxxx/owncloud-xxx.zip --no-check-certificates
    • unzip owncloud-xxx.zip
    • cp -rv owncloud.bak/config/ owncloud/ + cp -rv owncloud.bak/data/ owncloud/

    Pour installer Epoptes sur l’ordinateur du fiston pour mieux le surveiller, il y a deux étapes à effectuer.

    D’abord installer la version serveur sur mon ordinateur :

    • sudo apt-get install epoptes
    • hostname -I (pour récupérer l’IP locale)
    • sudo gpasswd -a $USER poptes
    • Redémarrage (logout puis login en fait)

    Puis installer le client Epoptes sur l’ordinateur du gamin :

    • sudo apt-get install epoptes-client
    • sudo nano /etc/default/epoptes-client (pour remplacer #SERVER=server par SERVER=IP_locale_serveur)
    • epoptes-client -c
    • Redémarrage

    Source : http://cyrille-borne.com/article594/epoptes-ou-le-moment-de-solitude

  • Saturday 16 April 2016 - 08:59

    L’intérêt de WordPress en tant que CMS (gestionnaire de contenu), c’est que le moteur interne de ce script permet de faire BEAUCOUP plus de choses que tenir un simple blog.
    Il est en effet possible de créer un site que j’appellerai vitrine, c’est-à-dire un site mettant en avant une entreprise, une association ou un particulier afin d’assurer a minima une communication sur Internet.

    A la base, pour moi en tout cas, WordPress est un script PHP permettant de tenir un blog.
    Un script, c’est comme un logiciel sauf qu’au lieu de l’installer sur son ordinateur, il faut l’installer en ligne, sur Internet, plus particulièrement chez un hébergeur de site Internet.
    Il se lance ensuite tout seul (oui, je simplifie légèrement :D) quand un visiteur arrive dessus.

    Ce script possède donc une partie visible pour tout le monde, communément appelée front-office et une partie permettant de gérer le contenu, une sorte d’administration (back-office pour les anglophones).

    Administration de WordPress
    Panneau d’administration de WordPress ou back-office

    Dans le cadre d’un blog, l’administration permet d’ajouter d’effectuer les réglages de base (nom du blog, thème, extensions éventuelles, etc.) mais aussi de rédiger et publier des billets ainsi que de gérer les commentaires.
    Vous pouvez également publier des pages statiques (ma page Contact est une page statique, comprendre à part et sans lien avec les billets qui s’affichent chronologiquement).

    Sauf que si vous décidez de n’utiliser que des pages (ou principalement) en faisant abstraction de la fonction de publication chronologique des billets, vous obtenez un site Internet que je qualifie moi de vitrine.
    Vous pouvez habiller WordPress aux couleurs que vous voulez grâce à des thèmes ou à de la manipulation de code en interne.
    Vous pouvez modifier le ou les menus de votre site.
    Vous pouvez, grâce aux extensions, rajouter des fonctions allant jusqu’au clonage de Facebook ou de forums ou tout simplement transformer WordPress en portfolio pour photographe averti via une galerie.

    Évidemment, monter un vrai site demande quelques connaissances à acquérir et pas mal de tests avant la mise en place définitive, notamment sur les réglages internes de WordPress.

    Dans ma grand bonté, vu que j’ai sous le coude quelques sites montés de façon… identique (non, ce ne sont pas les mêmes mais ça y ressemble au niveau interne), je vais détailler en quelques billets ce que j’ai mis en place.

    Pour la petite histoire, WP est utilisé dans 25 % des cas de création de sites Internet, cela ressemble à du pifomètre mais je veux bien croire en la présence massive de ce CMS qui se dissimule partout.

    Et pourquoi WordPress plutôt que l’un de ses petits camarades ?
    Car dans le monde de l’informatique (et pas que), plus un système est utilisé, plus la documentation et l’aide disponible sont abondantes.
    Pas forcément de qualité mais dans le cadre de WordPress, une recherche Google ou un tour sur le forum de support officiel amèneront une solution.
    Rien n’empêche de regarder si l’herbe est plus verte dans le pré du voisin, mais par expérience personnelle, j’ai tendance à dire que l’on revient à WordPress dès que l’on veut aller plus loin que le simple blog, à moins de maîtriser un CMS complet concurrent.

  • Thursday 14 April 2016 - 08:59

    Si vous en avez marre des blockbusters avec des super-héros qui castagnent à tout va, passez votre chemin car lundi soir, j’ai été voir Batman v Superman : l’Aube de la Justice.

    Remettons les acteurs dans le contexte.
    Non, je ne vais pas vous résumer 80 ans de comics américains, je vais vos parler de deux géants de l’audiovisuel : Disney et Time Warner.

    D’un côté Disney possède Marvel, c’est-à-dire Iron Man, Spiderman, Captain America, X-Men, etc.
    De l’autre côté Time Warner possède DC Comics, c’est-à-dire… presque tous les autres comme Batman, Superman, Flash, Green Arrow, etc.

    Cela fait un bout de temps que les super-héros Marvel sont sur grand écran alors que les licences DC Comics… hé bien non.
    Green Arrow et Flash sont bien apparus à la télévision, j’ai d’ailleurs pas mal apprécié leurs débuts ces dernières années mais l’arrivée sur grand écran en dehors des têtes d’affiche Batman et Superman tardait à venir.
    Je parle d’arrivée récente, on oublierai les vieilleries des années… d’il y a longtemps quoi 😉 !

    Bref c’est chose faite et la guerre est déclarée entre les deux géants.
    Oui, là je parle des 2 super-héros donnant le titre du film, vous ne suivez pas ou quoi ? 😀

    Le scénario par contre est bizarrement tiré par les cheveux (encore plus que les allers-retours de Wolverine dans le dernier X-Men).
    L’action se passe quelques années après le dernier film avec Superman : les méchants kryptoniens sont morts, le monde est sauvé, merci Superman.
    De nos jours, Superman en a marre que Batman joue à Judge Dredd avec des criminels, mêmes des pédophiles !
    Et Batman trouve que Superman est trop puissant et que s’il venait à devenir un vrai méchant, ça craindrait un max.
    Les deux vont donc se rentrer dans le lard, à pas feutrés au début puis à grand coups poings dès que Lex Luthor aura mis son grain de sel dans l’affaire.

    Pas de quoi pavoiser côté scénario mais on découvre d’autres super-héros, je ne vous dévoile rien.
    Le pitch du film tient surtout à la morale américaine à deux balles : Superman a des comptes à rendre ou pas ?
    Dans le dernier film, pas mal de terriens innocents sont morts et on ne parle pas du coût des dégâts.
    Et pire que tout, Superman ne rend pas de compte à Dieu.
    Vous avez compris le malaise chez les coincés du bulbe…

    En dehors de ça, le film est plaisant à regarder, genre effets spéciaux, costumes, bastons, etc.
    Pas trop de temps morts, sauf le putain d’entracte de 10 minutes imposé après une heure de projection, à croire que Warner Bros pense que je ne sais pas me retenir de pisser !

    Bref, un bon moment en famille tout seul 😀 pour un prix modique (5,50 € + 1,50 € de taxe 3D inutile, comme d’hab.), ça ne vaut pas plus.
    Et inutile d’attendre la fin du générique pour connaître le prochain film, on est pas chez Marvel ici !

  • Saturday 09 April 2016 - 09:16

    Le dernier album de Renaud vient de sortir, 7 ans après Molly Malone.
    J’ai acheté la version collector (avec un livre pour 2 € de plus, comprendre que le CD seul vaut 15 €, je comprends mal le concept) mais avant j’avais entendu et vu le single Toujours debout qui passe peu je trouve dans les médias.
    Une résurrection en forme d’interrogation pour moi.

    J’aurais pu intituler ce billet Toute la musique que j’aime #2 : Renaud.

    Renaud, ce n’est pas mon enfance, c’est mon adolescence et ma période jeune adulte, une période de rébellion (non, on ne rigole pas !), liée également à Charlie Hebdo (j’ai dit ON NE RIGOLE PAS !).

    J’ai été beaucoup marqué par Renaud, par ses idées, par ses positions.
    Hexagone restera toujours une chanson forte pour moi.

    Finalement, autant j’aime chantonner et renauder autant j’ai du mal avec les positions du nouveau Renaud.

    Embrasser les flics, non, j’ai du mal et je ne suis pas le seul !

    Voter Fillon contre Marine Le Pen, non je ne pourrai pas !

    Renaud, c’était mieux avant ?
    Je préfère me rappeler ses engagements, même sur un fond nostalgique, merci à BFNTV de faire un article/billet…

    Renaud, c’était fort, c’était beau.
    Renaud, c’est beau mais moins fort…

    C’est pas tout, mais l’album en lui-même, que vaut-il ?

    Plutôt que de vous chroniquer toutes les chansons une par une, je vous laisse lire ce bon papier du Monde qui finalement n’est pas très éloigné de ce que je ressens à travers les chansons de Renaud.

    J’aime bien ce disque musicalement parlant, moins ce qu’il véhicule sur Renaud, un endormissement que je mets sur le compte de l’âge et de l’alcoolisme…

    Un petit mot pour terminer sur les 2 € pour un livret en plus.
    Appelé ça un livre est un bien grand mot, mais il contient beaucoup de photos en couleur sur ses tatouages, des photos personnelles, les paroles, des petits aphorismes.
    Du coup je ne trouve pas ça excessif, contrairement au prix de base, on sent les intermédiaires, j’aurais préféré payer 12 € à Renaud directement !

    Remarque: Il y a un sondage inclus dans cet article, veuillez visiter le site pour participer à ce sondage.
  • Monday 28 March 2016 - 08:59

    Entre deux épisodes de séries télévisées, je regarde quand même quelques films, seul ou accompagné, et j’ai parfois des surprises, bonnes ou mauvaises.

    Je commence par deux tentatives infructueuses de regarder un bon film, avec tout d’abord De@th on Live qui raconte comment des adolescents deviennent youtubeur(se)s en mettant des lentilles de contact connectées.
    Un jeune enquête sur la mort de son frère, youtubeur de l’extrême.
    Je ne vais pas vous raconter la fin, j’ai arrêté avant.
    A noter l’inexistence de fiches sur Wikipédia ou Allociné (merci IMDb) !


    On continue avec le très médiatique Love de Gaspar Noé.
    L’histoire et simple : Murphy est prévenu par répondeur interposé que son ancienne petite amie Electra a disparu. Il se remémore alors le bon temps, entre baise et romantisme, amour et soirées dégénérées (et plan à 3, alors que sa vie quotidienne lui semble sans intérêt (il a mis en cloque la 3ème du plan à 3 et a perdu donc Electra au passage). Puis il nous embarque dans ses souvenirs pour rechercher Electra.

    J’ai regardé environ 1h30, en me faisant violence.
    Le rincipe du film à sa sortie était simple : un film d’auteur (comprendre chiant, même si ce n’est pas toujours le cas avec ce genre de films, heureusement) dont les scènes de sexe ne sont pas éludées, le tout en anglais sous-titré français, alors qu’il s’agit officiellement d’un film français, on saluera l’importance des dialogues.
    Donc oui, d’habitude, 2 personnages s’embrassent et ça coupe (en gros).
    Ici, pas de coupe, mais rien d’aussi voyeur que dans les films pornographiques (j’imagine :D), juste la réalité.
    Du coup l’addition d’un film ennuyeux et des scènes de sexe explicites donnent… un film ennuyeux.
    Sans intérêt pour moi, je ne sais pas si Electra réapparaît à la fin, mais je lui conseillerais de rester cachée…


    Le dernier film vu récemment est The Captive (en français c’est Captives mais il  n’y a qu’une seule prisonnière, WTF !) qui raconte en parallèle la séquestration de Cassandra par son geôlier dans une pièce aménagée en appartement et l’enquête de police pour la retrouver 8 ans après son enlèvement, grâce à une photo trouvée sur Internet.
    Le père de Cassandra est aussi de la partie, sa mère elle essaye de se raccrocher à la vie, tout en travaillant dans un hôtel dont les chambres dont elle s’occupe sont vidéo-surveillées… par le geôlier de Cassandra qui lui retransmet les images.
    C’est donc un huis-clos bien glauque, avec du bon syndrome de Stockholm… ou pas, je n’ai pas vraiment compris ce point.
    Le tout finit en happy end… ou pas.
    Oui, le film laisse des question en suspens et ce n’est pas évident de s’y retrouver car le réalisateur intercale les moments de flashbacks d’une scène à l’autre sans prévenir, merci la date en bas de l’écran.
    Le rôle le plus intéressant à mes yeux reste celui du kidnappeur.

    Remarque: Il y a un sondage inclus dans cet article, veuillez visiter le site pour participer à ce sondage.
  • Monday 21 March 2016 - 07:59

    Ça fait 6 ans que je rédige des billets sur ce blog.
    6 ans que j’écris parce que j’ai envie, sans chercher autre chose que l’épanchement.
    J’ai 38 ans, mon fils a dépassé les 8 ans et je vais être papa fin septembre…

    J’écris à mon rythme (les billets sont souvent planifiés) genre rien pendant plusieurs semaines (mois ?) puis plusieurs d’un coup.

    Je rêve d’un monde tellement connecté que mes billets seront rédigés par télépathie (Allez Google, on se dépêche).

    Je ne suis pas le seul à bloguer depuis « aussi longtemps », même si la blogosphère, au lieu de mourir comme le clame haut et fort les vieux blogueurs influents à l’insu de leur plein gré, se renouvelle.
    Les médias traditionnels s’intéressent à des épiphénomènes mais je, nous, vous… les rédacteurs et les lecteurs se croisent et perdurent.

    Ça fait 6 ans que j’aime bien écrire et que je conjugue ça avec mon amour de la bidouillabilité (hack en anglais).

    L’âge aidant, le pragmatisme fait que j’ai tendance à moins bidouiller ce qui marche : je resterai sûrement avec WordPress jusqu’à sa mort (ou la mienne).

    J’écris pour moi.
    Ça a toujours été le cas, les commentaires sont un plus que je m’autorise, avec une hache à censure avec une assiette large : si votre commentaire ne s’affiche pas ou plus, c’est normal, ne me remerciez pas 😉 !

    En 6 ans j’ai changé, avec tout ce qu’il se dit sur les blogs et Internet c’est normal (merci @ Iceman pour parler normalement de sujets qui fâchent).
    J’ai juste arrêté de parler autant aux autres (les réseaux sociaux ne sont pas intéressants pour moi, quelque soit leur forme (Shaarlo, Facebook, etc.).

    Je vais continuer, à mon rythme, car dans la vie, on ne peut qu’avancer.
    Je vais continuer sous cette forme, car le plus gros blog multi-utilisateurs ne m’attire pas même si j’y ai un compte…

    Pas sûr que la relève viendra du côté des enfants… mais est-ce important ?

    Bloguer est un onanisme intellectuel 😉 !