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  • Sunday 14 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Vous êtes accros aux logiciels de retouche photo et de création graphique mais vous en avez marre de vider votre compte en banque pour des licences hors de prix ? Et si je vous disais qu’une solution très sympa open source et totalement gratuite était en train de voir le jour ? Laissez-moi vous présenter Graphite, un projet de dingue porté par une communauté de développeurs et d’artistes passionnés.

    Alors, qu’est-ce que c’est que ce truc ? En gros, le but c’est de pondre une appli de graphics editing nouvelle génération qui coche toutes les cases : retouche photo, dessin vectoriel, peinture numérique, PAO, compositing, motion design… Rien que ça ! On est clairement sur un couteau suisse de la création 2D.

    Bon, je vous vois venir avec vos gros sabots : « Ouais mais c’est encore un énième logiciel qui va essayer de faire comme Photoshop et cie mais en moins bien ! » Eh bah non, justement ! L’idée c’est pas de copier bêtement ce qui existe déjà mais d’innover en s’inspirant de ce qui se fait de mieux dans d’autres domaines, comme la 3D.

    Le truc de malade dans Graphite, c’est qu’il est construit autour d’un node graph, une sorte de « compo visuel » où on branche des nœuds entre eux pour manipuler nos calques et leur appliquer des filtres et des effets à l’infini. Ça permet de garder la main à chaque étape et de pouvoir revenir en arrière sans perdre en qualité, ce qui est juste im-po-ssible dans les logiciels de retouche photo traditionnels. On appelle ça du non-destructif.

    Autre point fort : Graphite gère aussi bien les images matricielles (bitmap) que vectorielles, et le tout avec une qualité d’affichage toujours au taquet, même si on zoom dans tous les sens ! Plus besoin d’avoir 36 000 applis et de jongler entre elles. C’est un peu le mix parfait entre le pixel et le vecteur (avec un soupçon de génération procédurale en plus).

    Bon, alors, il sort quand ce petit bijou ? Figurez-vous que Graphite est déjà dispo en version alpha et qu’on peut le tester directement dans son navigateur. Pas besoin d’install, ça tourne full JavaScript côté client. Évidemment, à ce stade, c’est encore un peu brut de décoffrage et y’a pas mal de features prévues sur la roadmap qui ne sont pas encore implémentées. Mais ça donne déjà un bon aperçu du potentiel de la bête !

    Et en parlant de potentiel, vous allez voir que les possibilités de création sont assez dingues. Vous pouvez par exemple générer des centaines de cercles de façon procédurale pour obtenir des motifs super stylés. Ou encore créer des structures complexes qui s’adaptent automatiquement, comme ces guirlandes de Noël dont les ampoules se replacent toutes seules quand on déforme le chemin. Magique !

    Donc, si vous voulez voir ce projet de dingue prendre son envol, n’hésitez pas à mettre la main au portefeuille et à faire un don. C’est vous qui voyez, mais je pense que ça en vaut carrément le coup ! En tout cas, moi, j’ai déjà mis une étoile sur le repo Github 😉

  • Sunday 14 April 2024 - 06:09

    Milan est une ville italienne connue pour son patrimoine culturel et ses sites historiques. Les touristes peuvent profiter de nombreuses attractions, notamment des musées, des galeries d’art, des boutiques de mode et des restaurants gastronomiques.  Surtout, l’un des aspects les plus attrayants de Milan est sa beauté naturelle. Les beaux endroits à découvrir y sont […]

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  • Saturday 13 April 2024 - 16:03
    C'est comique.
    À force de vouloir fourguer du Edge, de la recherche sur internet et du CoPilot partout, le menu "Démarrer" de Windows 11 est devenu lent et lourd à tel point que même taper du texte dedans devient difficile.
    Je ne vais pas dire, pour les derniers arrivés, qu'il est largement temps de passer sous Linux pour reprendre le contrôle de votre ordinateur et de vos données, mais je vais quand même le dire.
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 15:31
    « Le navire Atos menace de sombrer avant l’été. En charge de l’informatique des JO, de la Sécu, des impôts ou des centrales nucléaires, le groupe jadis symbole du génie national ploie sous un océan de dettes (4,8 milliards). »
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 09:49
    PURIN MAIS SÉRIEUSEMENT ??? Une taxe sur les livres d'occasion maintenant ? 🤬
    (via https://lehollandaisvolant.net/?id=20240413092941)

    Bon il devrait carrément basculer vers son projet néo-libéral : Rendre illégale le marché de l'occasion, ça sera plus rapide. (Vu qu'on est bien d'accord que l'écologie il n'y en a rien à foutre.)
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Accrochez-vous bien à vos slips, parce que je vais vous parler d’un truc de ouf qui risque bien de révolutionner le monde de l’IA portable : Whomane ! Ouais, vous avez bien lu, c’est un projet open source de wearable avec une caméra intégrée.

    Whomane, c’est un peu le rêve de tout maker qui se respecte : un appareil portatif bourré d’IA et de capteurs, le tout en mode open source pour pouvoir bidouiller et créer ses propres applications. La vision derrière ce projet, c’est de rendre l’IA embarquée accessible à tous, que ce soit pour l’utiliser ou pour développer dessus.

    Concrètement, Whomane se présente sous la forme d’un petit boîtier à clipser sur soi, un peu comme une broche hi-tech. Mais attention, pas n’importe quelle broche ! Celle-là embarque une caméra, un micro et du logiciel capable d’analyser votre environnement en temps réel. Et le tout est propulsé par un raspberry pi Zero capable de faire tourner des modèles de deep learning directement sur l’appareil.

    Maintenant, vous vous demandez sûrement ce qu’on peut bien faire avec un truc pareil ? Eh bien, les possibilités sont quasi infinies ! Imaginez par exemple une application qui reconnaît les visages et affiche des infos sur les gens que vous croisez. Ou encore un assistant personnel qui analyse vos conversations et vous souffle des réponses. Vous voyez le genre ?

    Mais Whomane, c’est aussi et surtout une plateforme ouverte et collaborative. Le code source est dispo sur GitHub, avec une licence GPL pour les projets open source et une licence commerciale pour ceux qui veulent l’intégrer dans des produits fermés.

    Alors okay, je vous vois venir avec vos grands chevaux : « Oui mais la vie privée dans tout ça ? C’est Big Brother ton truc ! » Alors oui, évidemment, dès qu’on parle de caméra et d’IA, ça soulève des questions. Mais justement, l’avantage d’un projet open source comme Whomane, c’est la transparence. Tout est là, à disposition de la communauté pour auditer le code et s’assurer qu’il n’y a pas de dérive. Et puis bien sûr, il faudra toujours veiller à respecter les lois et réglementations en vigueur.

    Bref, vous l’aurez compris, Whomane c’est le genre de projet geek et utopiste qui fait vibrer la corde du bidouilleur qui sommeille en nous. Après, on ne va pas se mentir, c’est encore un prototype avec sûrement plein de bugs et de limitations. Mais quand bien même, qu’est-ce que c’est excitant de voir émerger ce genre d’initiatives !

  • Saturday 13 April 2024 - 08:15

    En Irlande, le Wild Atlantic Way fête ses 10 ans ! Offrant une beauté cinématographique, des expériences hors des sentiers battus et des paysages côtiers à couper le souffle, le Wild Atlantic Way est l’une des plus belles réussites touristiques de l’île d’Irlande. 10 ans plus tard, il est toujours aussi fascinant. Un itinéraire côtier […]

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  • Saturday 13 April 2024 - 02:15
    from Korben

    Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

    En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case. Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

    Alors pour faire simple, un cyberdeck, c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net. Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

    Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

    Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

    La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

    Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

    En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

    Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire, c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

    Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’Ethernet, de l’USB-C, un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

    Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS, mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

    En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

    En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher. Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

  • Saturday 13 April 2024 - 01:30
    from Korben

    Malheureusement, j’ai une nouvelle qui va vous faire bondir de votre canapé ! 😱 Figurez-vous que nos chers modèles de langage d’IA, là, genre GPT-4, GPT-3, Llama 2 et compagnie, eh ben ils sont bourrés de biais de genre ! Si si, et c’est pas moi qui le dis, c’est l’UNESCO qui vient de sortir une étude là-dessus.

    Cette étude, menée par des chercheurs de l’University College London (UCL) et de l’UNESCO, a fait de l’analyse de contenu pour repérer les stéréotypes de genre, des tests pour voir si les IA étaient capables de générer un langage neutre, de l’analyse de diversité dans les textes générés, et même de l’analyse des associations de mots liées aux noms masculins et féminins.

    Bref, ils ont passé les modèles au peigne fin et les résultats piquent les yeux. Déjà, ces IA ont une fâcheuse tendance à associer les noms féminins à des mots comme « famille », « enfants », « mari », bref, tout ce qui renvoie aux stéréotypes de genre les plus éculés. Pendant ce temps-là, les noms masculins, eux, sont plus souvent associés à des termes comme « carrière », « dirigeants », « entreprise »… Vous voyez le tableau quoi. 🙄

    Et attendez, ça ne s’arrête pas là ! Quand on demande à ces IA d’écrire des histoires sur des personnes de différents genres, cultures ou orientations sexuelles, là aussi ça part en vrille. Par exemple, les hommes se retrouvent bien plus souvent avec des jobs prestigieux genre « ingénieur » ou « médecin », tandis que les femmes sont reléguées à des rôles sous-valorisés ou carrément stigmatisés, genre « domestique », « cuisinière » ou même « prostituée » ! On se croirait revenu au Moyen-Âge !

    Tenez, un exemple frappant avec Llama 2 : dans les histoires générées, les mots les plus fréquents pour les garçons et les hommes c’est « trésor », « bois », « mer », « aventureux », « décidé »… Alors que pour les femmes, on a droit à « jardin », « amour », « doux », « mari »…et le pire, c’est que les femmes sont décrites quatre fois plus souvent dans des rôles domestiques que les hommes.

    Nombreux sont les gens de la tech qui se battent pour plus de diversité et d’égalité dans ce milieu, et voilà que les IA les plus avancées crachent à la gueule de tous des clichés dignes des années 50 ! Il est donc grand temps de repenser en profondeur la façon dont on développe ces technologies parce que là, non seulement ça perpétue les inégalités, mais en plus ça risque d’avoir un impact bien réel sur la société vu comme ces IA sont de plus en plus utilisées partout !

    Alors ok, y a bien quelques boîtes qui arrivent mieux à limiter la casse, mais globalement, c’est la cata. Et le pire, c’est que ces biais viennent en grande partie des données utilisées pour entraîner les IA, qui deviennent à leur tour ce reflet de tous les stéréotypes et discriminations bien ancrés dans notre monde…

    Mais attention, faut pas tomber dans le piège de dire que ces IA sont volontairement biaisées ou discriminatoires hein. En fait, ce sont juste des systèmes hyper complexes qui apprennent à partir des données sur lesquelles on les entraîne. Donc forcément, si ces données sont elles-mêmes biaisées, et bien les IA vont refléter ces biais. C’est pas qu’elles cherchent à discriminer, c’est juste qu’elles reproduisent ce qu’elles ont « appris ».

    Mais bon, faut pas désespérer non plus hein. Déjà, des études comme celle de l’UNESCO, ça permet de mettre en lumière le problème et de sensibiliser l’opinion et les décideurs et puis surtout, il y a des pistes de solutions qui émergent. Les chercheurs de l’UNESCO appellent par exemple à renforcer la diversité et l’inclusivité des données d’entraînement, à mettre en place des audits réguliers pour détecter les biais, à impliquer davantage les parties prenantes dans le développement des IA, ou encore à former le grand public aux enjeux… Bref, tout un tas de leviers sur lesquels on peut jouer pour essayer de rééquilibrer la balance !

    Alors voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve que c’est un sujet super important, qui nous concerne tous en tant que citoyens du monde numérique. Il est crucial qu’on garde un œil vigilant sur ces dérives éthiques et qu’on se batte pour que l’IA soit développée dans le sens du progrès social et pas l’inverse. Parce que sinon, on court droit à la catastrophe, et ça, même le plus optimiste des Bisounours ne pourra pas le nier !

    N’hésitez pas à jeter un coup d’œil à l’étude de l’UNESCO, elle est super intéressante et surtout, continuez à ouvrir vos chakras sur ces questions d’éthique IA, parce que c’est un défis majeurs qui nous attend.

    Allez, sur ce, je retourne binge-watcher l’intégrale de Terminator en espérant que ça ne devienne pas un documentaire… Prenez soin de vous les amis, et méfiez-vous des machines ! Peace ! ✌️

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  • Saturday 13 April 2024 - 00:53
    from Korben

    Vous pensez que pour faire un film de science-fiction dans l’espace, il faut absolument un budget de dingue avec des effets spéciaux de fou ? Eh ben détrompez-vous ! La réalisatrice Caroline Klidonas vient de prouver qu’on peut faire un truc génial sans quitter son appart.

    Son court-métrage « I made a SPACE MOVIE 🚀 without leaving my apartment » nous embarque dans une mission spatiale qui tourne mal, le tout filmé intégralement entre les quatre murs de son appartement. Pas de décors grandioses, pas d’images de synthèse ultra-sophistiquées, que dalle ! Juste la débrouille, la créativité et une bonne dose de kiff.

    Pour réaliser ce film sans quitter son appart, Caroline a utilisé de vrais objets et décors pour créer les visuels, plutôt que de compter sur des images générées par ordinateur, ce qui donne un effet « comique » et contraste avec le sérieux du scénario.

    Franchement, quand j’ai vu ça, j’étais sur le cul. Comment elle a réussi à nous faire croire qu’on était dans un vaisseau spatial avec trois fois rien ? C’est dingue ce qu’on peut faire avec un peu d’imagination et de bidouille. Les effets spéciaux à l’ancienne, les trucages bien sentis, ça a un charme fou je trouve.

    Donc voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve ça cool. Ça me donne presque envie de ressortir mon vieux caméscope et de tourner un bon gros nanar à la maison…. Mais bon, j’ai pas le temps 🙂

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  • Friday 12 April 2024 - 23:26
    from Korben

    Voici une histoire qui va vous donner des sueurs froides dans le dos juste avant d’aller faire dodo ! Figurez-vous que Raspberry Robin, ce satané malware plus fourbe qu’un présentateur de C8, est de retour pour une nouvelle tournée de piratage en 2024 façon Taylor Swift. Les chercheurs en cybersécurité de chez HP Wolf Security ont repéré ses traces et croyez-moi, il a plus d’un tour dans son sac pour passer entre les mailles du filet !

    Ce petit malin utilise des fichiers WSF (Windows Script Files) bien planqués sur différents domaines et sous-domaines pour se faufiler incognito. Et le pire, c’est qu’il arrive à berner ses victimes pour qu’elles aillent d’elles-mêmes sur ces pages web piégées. Une fois que le fichier WSF est exécuté, bim ! Il télécharge son payload principal, un DLL bien vicieux qui peut être n’importe quoi : du SocGholish, du Cobalt Strike, de l’IcedID, du BumbleBee, du TrueBot ou même du ransomware.

    Mais avant de télécharger son précieux DLL, il va mener une série de reconnaissances pour vérifier s’il n’est pas en train de se faire piéger dans un environnement d’analyse ou une machine virtuelle. Et si jamais il détecte la présence d’un antivirus comme Avast, Avira, Bitdefender, Check Point, ESET ou Kaspersky, il se met direct en mode furtif et reste planqué.

    Et comme si ça suffisait pas, il est même capable de bidouiller les règles d’exclusion de Microsoft Defender pour être sûr de passer entre les gouttes. C’est vraiment le Solid Snake des malwares ! Les scripts qu’il utilise ne sont même pas reconnus comme malveillants par les scanneurs sur VirusTotal, c’est dire à quel point il est balèze en infiltration.

    Alors c’est sûr, avec Raspberry Robin dans la nature, faut être sur ses gardes. Ce malware est une vraie plaie depuis qu’il a été découvert en 2021. Au début, il se planquait sur des clés USB avec un fichier LNK qui pointait vers son payload hébergée sur un appareil QNAP compromis. Mais maintenant, il a évolué et il est devenu encore plus sournois.

    Bref, gaffe à vous… Assurez-vous d’avoir un bon antivirus à jour, ne cliquez pas n’importe où et méfiez-vous comme de la peste des clés USB inconnues qui traînent.

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  • Friday 12 April 2024 - 22:40
    from Korben

    Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP, vous risquez d’être encore plus embêtés !

    En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP. Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

    Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

    Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice, en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

    Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles« . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

    Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle« . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

    Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

    D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

    Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

    En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

    Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

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  • Friday 12 April 2024 - 22:36

    Un hébergeur français et gratuit.

    C'est un hébergement qui répond largement aux besoins de PluXml, ou à d'autre gros CMS. Il ne va pas vous engagez à quoi que ce soit en contre-partie pour bénéficier de son offre gratuite.

    Particulier ou professionnel, si vous avez besoin d'un hébergement efficace et gratuit sans que l'on vous impose des publicités et où vous pouvez librement:

    • Utiliser les scripts et versions de de votre choix(Node.js, Python, PHP, Ruby, etc. avec configuration spécifique par instance)
    • Utiliser les scripts ou CMS de votre choix.
    • Utiliser des Bases de données infogérées : MariaDB (MySQL) et PostgreSQL (pgBouncer et multiples extensions disponibles)
    • Utiliser vos noms de domaines ( Domaines et emails illimités, Administration complète des zones DNS, antispam, listes de diffusion, ...)
    • Des sauvegardes automatiques journalières
    • Utiliser le protocol SSL , c'est à dire avoir votre adresse en https
    • Créer et gérer les courriels de vos noms de domaine
    • etc.

    Ou, où vous voulez tout simplement installer la dernière version de PluXml et mettre en ligne votre premier ou un xiéme site., il y a de grande chance que ce soit la perle rare que vous recherchiez, de plus , un pack ne limite pas le nombre de site hébergé , nombre de noms de domaine. C'est l'espace alloué au pack choisi qui détermine les limites.

    Quel est cet hébergeur ?

    C'est l'hébergement que PluXopolis à choisi, c'est aussi un hébergeur qui à tout compris en ne bridant que l'espace de stockage dans sa version gratuite et qui n'imposera pas de publicité à vos visiteurs ni ne limitera votre bande passante. L’hébergement vous donne un nom de sous domaine du type :pseudo.alwaysdata.net/ par défaut que vous choisissez et la possibilité d'utiliser autant de NDD que vous avez.

    Cet hébergeur, avec son siège social à PARIS (France), vous permet donc en fait de tester ses services et son sérieux sans même vous imposer une limite dans le temps, le pack gratuit de 100 MO est à vie. Quand aux versions payantes, le premier pack a 10GO de stockage et 7€ HT/mois vous laissera la possibilité d’héberger plusieurs sites sans problèmes.

  • Friday 12 April 2024 - 15:47

    160 vins médaillés lors de la vingtième édition du Concours national des vins IGP La vingtième édition du Concours national des vins IGP s’est tenue ce vendredi 22 mars à Marseillan (34). Ce concours vise à mettre en valeur une catégorie qui représente aujourd’hui 42 % de la production de vins tranquilles en France. Les […]

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  • Friday 12 April 2024 - 11:32
    from Korben

    Apple TV+ s’apprête à nous en mettre encore plein les mirettes avec sa nouvelle série de science-fiction : Dark Matter. Basée sur le roman éponyme de Blake Crouch, cette petite pépite promet de nous faire voyager dans les tréfonds du multivers. Et si j’en crois la bande annonce, ça va décoiffer !

    Au cœur de l’intrigue, on retrouve Jason Dessen, un brillant physicien interprété par le talentueux Joel Edgerton, qui un soir, alors qu’il rentre tranquillement chez lui, se fait kidnapper et se retrouve projeté dans une réalité alternative complètement dingue. Le voilà plongé dans un labyrinthe de vies parallèles qu’il aurait pu mener, sauf que pour retrouver son existence d’origine et sa famille, il va devoir affronter le pire ennemi qui soit : lui-même !

    Aux côtés de Joel Edgerton, on retrouve une brochette d’acteurs de haute volée comme Jennifer Connelly, oscarisée pour sa performance dans Un homme d’exception qui incarne un personnage clé dans la quête de Dessen. Le reste du casting n’est pas en reste avec Alice Braga, Jimmi Simpson, Dayo Okeniyi et le jeune prodige Oakes Fegley. Bref, du beau monde pour nous en mettre plein la vue.

    Mais ce n’est pas qu’une simple série de SF avec des multivers comme on a en déjà vu plein. C’est surtout une réflexion profonde sur les choix qu’on fait dans la vie et les chemins qu’on ne prend pas. J’espère que vous méditerez là dessus, hein ^^.

    Bref, rendez-vous le 8 mai 2024 sur Apple TV+ pour un double épisode qui s’annonce déjà épique. La série comptera 9 épisodes au total, diffusés chaque mercredi, de quoi nous tenir en haleine jusqu’au dénouement final le 26 juin.

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  • Friday 12 April 2024 - 11:12
    from Korben

    Les arnaques vocales à base de deep fake comment à se démocratiser. Même les employés des boîtes de sécurité comme LastPass peuvent se faire avoir. Enfin, presque…

    Car oui, récemment, un des leurs s’est fait appeler par un escroc qui imitait à la perfection la voix du big boss, Karim Toubba. Le gars a utilisé un deepfake audio assez sophistiqué pour se faire passer pour le PDG. Mais heureusement, l’employé a flairé l’entourloupe parce que le pirate a fait l’erreur d’utiliser WhatsApp pour son petit numéro de magie, ce qui n’est pas très corporate et bien vu chez Lastpass.

    En plus, il mettait la pression avec une fausse urgence. Bref, tous les voyants étaient au rouge.

    L’employé a donc envoyé balader l’arnaqueur et a prévenu la sécurité interne, comme ça, pas de dégâts, mais ça montre bien que ces attaques à base d’IA sont de plus en plus sophistiquées. Pour générer la voix du PDG, le pirate a sûrement dû s’entraîner sur des enregistrements publics, comme cette interview du CEO sur YouTube.

    En tout cas, si vous recevez un appel de ma part, sachez que ce ne sera pas moi, car la somme d’argent que vous demandera l’escroc ne sera pas assez élevée par rapport à ce que je vous aurais demandé en vrai. Donc méfiance !

    Plus sérieusement, le ministère américain de la Santé a tiré la sonnette d’alarme la semaine dernière sur ces arnaques ciblant les services d’assistance IT. Pour se protéger, ils conseillent de :

    • Rappeler systématiquement pour vérifier une demande de réinitialisation de mot de passe
    • Surveiller les changements suspects de coordonnées bancaires
    • Revalider tous les accès aux sites de paiement
    • Privilégier les demandes en personne pour les sujets sensibles
    • Faire valider les requêtes par un superviseur
    • Former les équipes support à repérer l’ingénierie sociale et vérifier l’identité des appelants

    Bref, la vigilance est de mise, alors faites tourner !

    Source

  • Friday 12 April 2024 - 10:45
    from Korben

    Aujourd’hui, j’aimerai vous parler d’un truc qui va en faire rêver plus d’un parmi vous : Faire tourner des applis .NET modernes sur ce bon vieux Windows 95 ! Impossible vous dites ? Et bah non, figurez-vous qu’un développeur un peu barré a réussi cet exploit !

    Ce génie du code s’appelle Matt et il a même partagé son projet dingue sur GitHub. Son objectif était simple : Backporter .NET 2.0 à 3.5 sur Windows 95. À la base, même le support de Windows XP n’était pas prévu pour ces versions de .NET, alors Windows 95, n’en parlons pas !

    Mais ça n’a pas découragé notre bidouilleur qui s’est retroussé les manches. Déjà, il a fallu installer Internet Explorer 5.01 et le Microsoft USB Supplement sur une version de Windows 95 OSR 2. Pas le choix, c’est nécessaire pour que .NET puisse fonctionner.

    Ensuite, le plus gros du boulot a consisté à implémenter toutes les APIs Windows manquantes que .NET utilise sur les versions plus récentes de l’OS. Un vrai travail de titan et Matt a dû recoder des trucs dans tous les sens, intercepter des appels système, bref, il a mis les mains dans le cambouis et vous savez quoi ?

    Ça marche !

    Bon, c’est sûr que tout n’est pas parfait, il y a encore quelques bugs et incompatibilités par ci par là, mais on peut déjà faire tourner pas mal d’applications .NET sur Windows 95 grâce à son projet. La classe non ?

    Franchement, chapeau bas. C’est ce genre de projets fous qui font qu’on kiffe toujours autant l’informatique. Bon par contre, je ne suis pas sûr que ce soit très utile dans la vraie vie, mais qu’importe, l’idée c’est de repousser les limites !

    Je vous laisse avec ses explications. C’est un vrai film, vous allez voir !

    En tout cas, si vous voulez vous amuser à installer des applis .NET sur votre Windows 95 (ou dans une VM hein, on n’est pas des sauvages), n’hésitez pas à tester son projet. Vous pourrez ensuite mettre ça sur votre profil Tinder et frimer en montrant à votre futures conquêtes une capture écran de Paint.NET qui tourne comme par magie sur votre vieux coucou ! (Je plaisante, NE FAITES PAS ÇA !!)

    Source

  • Friday 12 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Si vous en avez assez de voir votre vieux Mac prendre la poussière dans un coin parce qu’il ne peut plus faire tourner les dernières versions de macOS, et bien j’ai une bonne nouvelle pour vous.

    Il s’agit d’un outil nommé OpenCore Legacy Patcher (OCLP) qui est là pour redonner une seconde jeunesse à nos fidèles compagnons en aluminium ! Grâce au bootloader OpenCore et tout un tas de kexts et de patchs du noyau, OCLP permet d’installer et de faire tourner macOS Big Sur, Monterey, Ventura et même la toute nouvelle version Sonoma sur des Mac qui ne sont officiellement plus supportés par Apple, et ce jusqu’aux modèles sortis en 2007 ! Rien que ça.

    Mais ce n’est pas tout, en plus de permettre de profiter des dernières fonctionnalités de macOS comme Sidecar, Contrôle Universel ou AirPlay vers Mac, OpenCore restaure aussi le support de pas mal de matériel que Apple a abandonné au fil des versions comme de vieilles cartes graphiques ou d’anciens chipsets Wi-Fi.

    Alors bien sûr, tout n’est pas rose non plus et selon les modèles il y a quelques limitations, notamment au niveau des performances graphiques avec l’API Metal qui n’est pas supportée partout. Mais globalement, l’expérience utilisateur reste très bonne une fois OCLP installé.

    La grande force d’OpenCore Legacy Patcher, c’est que contrairement aux outils de patch précédents comme DOSDude1 ou Patched Sur, il n’a pas besoin de modifier le système installé sur le disque. Au lieu de ça, il injecte ses modifications à la volée pendant le démarrage, ce qui permet de garder un système macOS « vanilla » (d’origine quoi) et de continuer à recevoir les mises à jour d’Apple directement depuis les préférences système, comme sur un Mac officiellement supporté.

    Et le tout sans bidouiller le firmware ou désactiver des protections comme SIP, ça c’est la classe ! Évidemment, un Mac récent fera toujours mieux qu’un vieux coucou, mais pour tous ceux qui n’ont pas les moyens de changer de machine tous les 4 matins, OCLP est une super solution pour continuer à profiter de son Mac le plus longtemps possible.

    Bien sûr, tout ça ne serait pas possible sans la super communauté de développeurs et bidouilleurs passionnés qui gravitent autour du projet. Alors je le tire mon chapeau pour leur boulot de dingue. Et aussi à Apple pour macOS, hein, faut pas déconner non plus ^^.

    Après, attention, installer un OS non supporté c’est toujours un peu casse-gueule et ça demande un minimum de connaissances techniques. Donc si vous n’êtes pas sûr de vous, renseignez-vous bien avant de vous lancer. Les documentations du projet sont très complètes, et en cas de souci la communauté sur le Discord d’OCLP saura sûrement vous dépanner.

    Bon, c’est pas tout ça mais je crois que je vais ressortir mon vieux MacBook Pro de 2005 moi, j’espère juste que la batterie n’a pas trop morflé !

  • Friday 12 April 2024 - 08:54

    The City of Belgrade renews its “Early Operator Assistance” contract with RATP Dev for the Belgrade automated metro system The City of Belgrade has reaffirmed its commitment to advancing its metro system by renewing its contract with RATP Dev for « Early Operator Assistance. » This significant agreement underscores the City’s dedication to implementing a state-of-the-art automated […]

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  • Friday 12 April 2024 - 06:09

    La tendance des compagnies aériennes low-cost à facturer les bagages cabine pousse de plus en plus de voyageurs, en particulier les professionnels, à voyager avec un seul bagage à main. Cette pratique, adoptée par des compagnies comme Transavia, Ryanair, EasyJet et Volotea, vise à améliorer la ponctualité et la rentabilité des vols. Face à cette […]

    L’article 8 conseils pour prendre l’avion avec uniquement un bagage à main est apparu en premier sur Bernieshoot | journal web.

  • Thursday 11 April 2024 - 18:47
    from Korben

    Si vous êtes passionnés de science-fiction, laissez-moi vous parler de la dernière sensation qui agite la toile : l’adaptation par Netflix du monument de la SF chinoise, Le Problème à Trois Corps de Liu Cixin.

    Autant vous dire que ça fait des vagues, surtout en Chine où les fans sont en ébullition !

    Bon, déjà, petit rappel pour ceux qui vivraient dans une grotte (ou qui n’auraient pas encore eu la chance de découvrir cette pépite) : Le Problème à Trois Corps, c’est LE roman de hard SF qui a propulsé Liu Cixin au rang de légende vivante. Il s’agit d’une fresque épique qui nous embarque dans une histoire de premier contact avec une civilisation extraterrestre, le tout saupoudré de physique quantique, de sociologie et de réflexions sur la nature humaine. Bref, du lourd comme j’aime.

    Donc forcément, quand Netflix a annoncé qu’ils allaient adapter ce mastodonte en série, il y a eu de l’excitation dans l’air. Sauf que voilà, en Chine, Netflix n’est pas vraiment le bienvenu. Mais vous croyez que ça arrête les fans ? Que nenni ! VPN, sites de streaming illégaux… ils ont plus d’un tour dans leur sac pour mettre la main sur les épisodes. Et là, c’est le drame…

    Déjà, il faut savoir que les Chinois vouent un culte quasi religieux à l’œuvre de Liu Cixin. Chaque détail, chaque virgule est sacré. Alors forcément, quand ils ont vu que Netflix avait pris quelques libertés avec l’œuvre originale, ça a fait des étincelles ! Changements dans l’intrigue, personnages modifiés, voire carrément remplacés… Pour certains puristes, c’est un scandale, une hérésie, un crime de lèse-majesté !

    Mais en même temps, il y a aussi pas mal de fans qui sont ravis de voir leur roman fétiche adapté par une grosse machine hollywoodienne et propulsé sur le devant de la scène internationale. Faut dire que les adaptations chinoises précédentes, bien que plus fidèles, n’avaient pas vraiment le même impact.

    Et puis il y a ceux qui s’interrogent sur la façon dont la Chine est représentée dans la série. Parce que mine de rien, Le Problème à Trois Corps a une sacrée portée politique et historique. Ça parle de la Révolution Culturelle, des relations sino-américaines, de la place de la science dans la société… Pas vraiment des sujets anodins. Alors quand ils voient que les gentils sont joués par des acteurs occidentaux et les méchants par des chinois, certains crient au complot et à la propagande anti-chinoise. Faut les comprendre aussi…

    Mais pour moi, l’essentiel est ailleurs.

    OK, la série de Netflix n’est pas une adaptation littérale du bouquin. Mais est-ce vraiment un problème ? L’important, c’est que ça permet à un public encore plus large de découvrir l’univers fascinant de Liu Cixin et les questionnements vertigineux qu’il soulève sur notre place dans le cosmos. Et ça, c’est quand même sacrément excitant !

    Après, je ne vais pas vous mentir, je viens de découvrir la version chinoise sortie l’année dernière et à ce qu’il parait, elle est incroyablement fidèle au bouquin. D’ailleurs, je ne remercierai jamais assez P5Lawrence de m’avoir fait découvrir cette pépite ! Figurez-vous que tous les épisodes sont dispos gratuitement sur Viki, la plateforme de streaming de Rakuten, avec des sous-titres en français s’il vous plaît.

    Donc je vais faire confiance à mes followers Twitter et stopper immédiatement mon visionnage sur Netflix et je vais basculer sur cette version. Ensuite, on verra, mais je pense que je me ferais quand même celle de Netflix juste pour pouvoir comparer.

    Allez, je vous laisse, j’ai un rendez-vous ce marathon de SF chinoise (30 épisodes quand même…).

    Et n’oubliez pas de toujours garder un œil sur le ciel, on ne sait jamais qui pourrait nous rendre visite ! D’ailleurs, je crois que c’est prévu pour cette année ^^.

  • Thursday 11 April 2024 - 16:17
    from Korben

    On pensait tous que Windows 11 allait révolutionner notre expérience sur PC, et dommage car malgré les promesses de Microsoft, celui-ci semble trainer des pieds, même sur des machines survitaminées. C’est en tout cas le constat amer que dresse Andy Young, un ancien ingénieur de la firme de Redmond, dans une publication sur Twitter.

    Le mec a un PC doté d’un processeur Intel Core i9 à 1600 dollars et de pas moins de 128 Go de RAM. Une bête de course taillée pour avaler les tâches les plus gourmandes sans sourciller. Et pourtant, lorsqu’il lance le menu Démarrer de Windows 11, c’est la douche froide. Les icônes peinent à s’afficher, les clics se perdent dans les limbes, bref, c’est le grand n’importe quoi.

    « Les performances sont comiquement mauvaises, mais que se passe-t-il à Redmond ?« 

    Car oui, Andy Young n’est pas n’importe qui. Pendant 13 ans, il a travaillé chez Microsoft en tant qu’ingénieur logiciel senior. Il a participé au développement de Windows et connait les subtilités du système comme sa poche. Alors quand il voit son bébé patauger de la sorte, ça lui fait mal au cœur.

    « J’aime Windows, mais là, si les données suggèrent que le logiciel que vous avez construit frustre un pourcentage significatif d’utilisateurs, c’est qu’il y a encore du pain sur la planche.« 

    Les réactions à son tweet ne se sont pas fait attendre. De nombreux utilisateurs ont partagé leur déception et leur agacement face aux performances en demi-teinte de Windows 11, y compris sur des configurations musclées. Lenteurs au démarrage, latence dans l’affichage des fenêtres, bugs en tout genre… Les plaintes sont légion.

    Alors, Windows 11 serait-il tout simplement un bide intersidéral ?

    Peut-être pas, mais force est de constater que l’expérience utilisateur est loin d’être optimale, et ce malgré les mises à jour régulières déployées par Microsoft. La prochaine version du système, au nom de code Sun Valley 3, arrivera-t-elle à redresser la barre ?

    On verra bien, mais en attendant, les utilisateurs les plus exigeants lorgnent de plus en plus du côté d’Apple et surtout de Linux et de ses distributions légères et rapide.

    En tout cas, si Windows 11 semble un peu pataud, sachez qu’il existe de nombreuses astuces pour lui redonner du peps. Par exemple, désactivez les effets visuels inutiles, faire le ménage dans vos programmes lancés au démarrage, optimiser la base de registres… Bref, un peu de tuning bien senti peut faire des miracles. Et si vraiment rien n’y fait, vous pourrez toujours revenir à ce bon vieux Windows 10 en attendant des jours meilleurs.

    Source

  • Thursday 11 April 2024 - 16:00
    from Korben

    Je viens de tomber sur une vidéo de BFM TV qui m’a bien fait marrer dans laquelle les journalistes parlent de l’ascension du Youtubeur Inoxtag sur le mont Everest. Le gars a 22 ans, il est parisien et y’a un an, il s’est lancé le défi de monter tout là haut. Et au moment où j’écris ces lignes, il y est.

    Je suis pas abonné à sa chaîne, et je ne le connais pas, mais quand je tombe sur un bout de vidéo de lui sur les réseaux, j’éprouve direct de la sympathie, car je le trouve joyeux, positif, feel good comme on dit :). Ce que j’aime, c’est sa motivation et son optimisme à toute épreuve.

    Du coup, je suis ça de loin et j’espère vraiment qu’il va y arriver, qu’il n’aura pas de problème là-bas… etc. Perso, je trouve que c’est un super challenge qui de l’extérieur donne l’impression que c’est une mission suicide, mais comme le gars s’est quand même bien entraîné avant, qu’il s’est bien entouré, qu’il est intelligent et surtout motivé comme jamais et poussé par sa communauté, je pense qu’il a toutes les chances de son côté pour réussir.

    Du coup, ça me fait bien marrer de voir les vieux grigous, des « professionnels de la profession » de la Montagne ça vous gagne, qui passent sur BFM TV pour expliquer aux autres vieux grigous qui regardent cette chaîne, que ce projet d’Inox c’est de la merde.

    Alors si on n’a pas trop de cerveau, on pourrait les écouter et se dire : « Mais ils ont l’expérience, ils ont raison, faut respecter la Nature sauvage, ça ne se fait pas comme ça et bla bla bla bla…« 

    Mais leurs arguments sont tout pétés et laissent transparaître leur seum. Ils disent par exemple que son ascension ne respecte pas « l’esprit et les valeurs de l’alpinisme« , que c’est devenu un « truc à cocher« … Y’en a même un qui dit carrément que c’est « violer l’Everest« . Bah putain…

    Perso, je crois que « l’esprit et les valeurs de l’alpinisme » ont déjà été bafoués depuis longtemps par la surcommercialisation et la surfréquentation de l’Everest à laquelle ils participent depuis des années. Et si on réfléchit un peu, on se rend compte que si l’Everest pue littéralement la merde, c’est quand même à cause de tous ces soi-disant « professionnels » qui durant des années en ont fait leur précarré, allant chier dans tous les coins, laissant leurs ordures sur place, exploitant les locaux jusqu’au péril de leur vie… Ce sont eux-mêmes qui ont dégradé la montagne pendant toutes ces années, et Inoxtag ne fait que suivre la tendance qu’ils ont initiée.

    Après, faut reconnaître qu’il y a quand même des mecs sérieux et respectueux dans le lot, faut pas généraliser non plus. Mais ça n’enlève rien au ridicule de la situation. Il suffit qu’une seule fois, un noob débarque et se dise : « Azy moi je le fais« , pour que tout ce qui a été dégradé avant soit de sa faute. C’est pathétique, j’ai jamais vu ça.

    Ce qui leur fout les boules, je pense, c’est surtout qu’un gamin venant d’un univers qui leur est totalement étranger (Internet / Youtube), vienne marcher sur leurs plates-bandes et les ridiculiser avec seulement 1 an d’entraînement dans les pattes, eux, les vieux briscards.

    Et le pire dans tout ça, c’est qu’ils passent à côté de l’essentiel. Parce que l’ascension d’Inox, qu’elle réussisse ou non, elle aura au moins le mérite de rajeunir l’image de la montagne, d’intéresser un nouveau public à l’alpinisme, et d’ouvrir le débat sur le dépotoir que c’est devenu. C’est donc plutôt une bonne nouvelle pour leur discipline, et ils devraient être contents. Mais non, ils préfèrent jouer les vieux râleurs et chouiner dans les médias.

    Perso, ça m’énerve autant que ça me fait marrer.

    Donc, je croise très fort les doigts pour qu’Inox atteigne son objectif en toute sécurité. Et qui sait, peut-être que son ascension et surtout les images qu’il va ramener vont finir par faire bouger les lignes et enclencher une prise de conscience chez tous ces dinosaures de la montagne. Il serait temps que les mentalités et les pratiques évoluent un peu là-haut, pour plus de respect de l’environnement et des populations locales.

  • Thursday 11 April 2024 - 11:38
    Hahaha y'a rien qui va dans cette loi, ça va être le bordel absolu.
    (Permalink)
  • Thursday 11 April 2024 - 11:36
  • Thursday 11 April 2024 - 11:22
    from Korben

    Dans le monde de la cybersécurité, la découverte de failles 0day critiques est un enjeu important, car elles peuvent être exploitées par des acteurs malveillants pour compromettre des systèmes qui n’ont pas encore eu le temps d’être mis à jour.

    Récemment, un chercheur en sécurité a fait une découverte plutôt alarmante : 2 failles 0day sont présentes dans les noyaux Linux 6.4 à 6.5. Cependant, cette histoire a pris une tournure inattendue… En effet, il y a quelques jours, le chercheur en sécurité, connu sous le pseudonyme YuriiCrimson, a publié sur GitHub les détails de 2 exploits pour des failles 0day qu’il avait découverts dans le pilote n_gsm des noyaux Linux.

    Sauf que l’une de ces 2 failles avait en réalité déjà été divulguée par un autre chercheur, Jmpeax. D’après YuriiCrimson, celui-ci lui aurait racheté pour la publier comme si c’était sa propre découverte. Il explique sur sa page Github qu’ignorant cette divulgation, il a involontairement « re-divulgué » sa propre découverte.

    Face à cette situation assez malaisante, YuriiCrimson a alors décidé de « riposter » en publiant immédiatement un second exploit, encore inconnu, affectant une plage plus large de noyaux Linux, des versions 5.15 à 6.5. Cette nouvelle divulgation un peu précipitée ayant pour but de couper l’herbe sous le pied de Jmpeax et de prouver à tout le monde que c’était bien lui, le papa de la première vuln.

    Ah l’égo !

    Si tout cela se confirme, ça met en lumière plusieurs problématiques. Tout d’abord, racheter le travail d’un autre chercheur pour se l’attribuer c’est très moche. Et vendre son travail pour ensuite le rendre public, c’est très moche aussi.

    De plus, la divulgation non coordonnée de failles 0day peut avoir des conséquences désastreuses. En rendant publics les détails d’exploitation avant que les éditeurs n’aient pu corriger les vulnérabilités, on expose les systèmes à des attaques immédiates. Une divulgation responsable, en collaboration avec les éditeurs concernés, permet donc de laisser le temps nécessaire pour développer et déployer des correctifs, protégeant ainsi les utilisateurs.

    Voilà, c’était l’histoire cybersec moche du jour, dont nous sommes maintenant tous victimes, car il y a 2 jolis 0day non encore patchés qui se baladent.

    Bref, gaffe à vos systèmes…

  • Thursday 11 April 2024 - 10:53
    from Korben

    Si vous me lisez assidument, vous avez surement tout capté à la fameuse backdoor XZ découverte avec fracas la semaine dernière. Et là je viens de tomber sur un truc « rigolo » qui n’est ni plus ni moins qu’une implémentation de la technique d’exploitation de cette backdoor XZ, directement à l’intérieur d’un agent SSH.

    Pour rappel, un agent SSH (comme ssh-agent) est un programme qui tourne en arrière-plan et qui garde en mémoire les clés privées déchiffrées durant votre session. Son rôle est donc de fournir ces clés aux clients SSH quand ils en ont besoin pour s’authentifier, sans que vous ayez à retaper votre phrase de passe à chaque fois.

    Cet agent démoniaque s’appelle donc JiaTansSSHAgent, en hommage au cybercriminel qui a vérolé XZ, et ça implémente certaines fonctionnalités de la fameuse backdoor sshd XZ. En clair, ça vous permet de passer par cette backdoor en utilisant votre client SSH préféré.

    Ce truc va donc d’abord générer sa propre clé privée ed448 avec OpenSSL puis, il faudra patcher la liblzma.so avec la clé publique ed448 correspondante. Là encore, rien de bien méchant, c’est juste un petit script Python et enfin, dernière étape, faudra patcher votre client SSH pour qu’il ignore la vérification du certificat.

    Et voilà !

    Une fois que vous avez fait tout ça, vous pouvez vous connecter à cœur joie avec n’importe quel mot de passe sur n’importe quel serveur qui dispose de cette faille. Bon après, faut quand même faire gaffe hein, c’est pas un truc à utiliser n’importe comment non plus. Vous devez respecter la loi, et expérimenter cela uniquement sur votre propre matériel ou avec l’autorisation de votre client si vous êtes par exemple dans le cadre d’une mission d’audit de sécurité. Tout autre utilisation vous enverra illico en prison, alors déconnez pas !

    Voilà les amis, vous savez tout sur JiaTansSSHAgent maintenant. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le repo GitHub de JiaTanSSHAgent.

  • Thursday 11 April 2024 - 10:00
    "After a full year of not thinking about printers, the best printer is still whatever random Brother laser printer that’s on sale."
    Je crois que c'est clair, non ?
    (Permalink)
  • Thursday 11 April 2024 - 09:34
    from Korben

    Je pense que cette news va faire mal aux fesses de beaucoup d’entre vous (désolé ^^) ! Figurez-vous que très bientôt, pour mater votre petite vidéo X sur vos sites de cul préférés, va falloir sortir la carte bleue. Et ouais, c’est la nouvelle lubie de nos chers dirigeants qui veulent à tout prix nous protéger, enfin surtout protéger les enfants de toutes ces cochonneries qui pullulent sur la toile.

    Certes, on est tous d’accord sur le principe, mais est-ce qu’on a vraiment besoin de fliquer tout le monde comme ça ? Et surtout, est-ce que c’est vraiment efficace comme méthode ?

    Parce que bon, soyons honnêtes deux minutes, un ado un peu dégourdi qui veut à tout prix mater un film de boules, va forcement trouver un moyen de contourner la censure hein. Quitte à piquer la carte de papa et maman pendant qu’ils ont le dos tourné. Ou alors il ira sur des sites plus underground, pas forcément très recommandables, et là bonjour les dégâts…

    Mais bon, c’est comme ça, c’est la loi, et va falloir faire avec. L’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel, vient donc de pondre son fameux référentiel (docx) qui détaille toutes les mesures que les sites pornos devront mettre en place pour vérifier que leurs utilisateurs ont bien la majorité sexuelle. Et autant vous dire que ça rigole pas !

    Déjà, va falloir prouver son âge avec sa carte bancaire. Alors ok, c’est pas forcément l’idéal niveau vie privée, mais au moins c’est efficace. Enfin, en théorie, parce qu’en pratique, rien n’empêche un ado de 16-17 ans d’avoir une carte bleue. Ensuite, les sites devront mettre en place un contrôle d’âge dès la page d’accueil, avant même d’afficher le moindre contenu olé olé. Et ça, ça va en faire râler les plus pressés d’entre vous ^^.

    Et attention, c’est pas fini ! Les sites devront aussi s’assurer que leur système de vérification d’âge est fiable à 100%. Alors là, bon courage… Parce qu’entre ceux qui vont essayer de gruger avec de fausses cartes, ou je ne sais quoi encore, ça va pas être de la tarte. Mais les éditeurs n’auront pas le choix, car si jamais l’un de leurs sites se fait gauler par l’Arcom en train de diffuser du contenu pornographique à un mineur, c’est pas juste une petite tape sur les doigts qu’ils vont se prendre. Non non, ce sera carrément une amende qui peut aller jusqu’à 250 000 euros, ou 4% du chiffre d’affaires mondial. Autant dire que ça calme direct !

    Et si jamais le site fait le mariole et refuse d’obtempérer malgré les mises en demeure, et bien ce sera le blocage pur et simple qui l’attendra. Son nom de domaine sera bloqué par les FAI grâce à la toute POUISSANCE DU BLOCAGE PAR DNS (ah-ah), et basta. Pas de pitié pour les contrevenants !

    Bon, et sinon, ça va se passer comment concrètement tout ce bordel ?

    Eh bien figurez-vous que l’Arcom, dans son immense bonté, a prévu une période de transition de 6 mois. Pendant ce temps-là, les sites porno pourront se contenter d’une simple vérification de la carte bancaire, sans forcément aller jusqu’à l’authentification forte avec le fameux 3D Secure. Mais, ils devront tous avoir mis en place des solutions qui respecteront le cahier des charges strict de l’Arcom, avec notamment une sécurisation sans faille des données personnelles des utilisateurs. Je sais d’avance comment ça va se terminer… loool.

    Enfin, dernière petite subtilité, et non des moindres : ce contrôle d’âge ne s’appliquera pas seulement aux sites basés en France, mais aussi à tous ceux installés à l’étranger et accessibles depuis la France. Alors ok, pour les gros sites genre Jacquie et Michel ou Dorcel, ça devrait pas poser trop de problèmes, mais pour les petits sites plus modestes, ça risque d’être une autre paire de manches…

    Au moins vous savez maintenant ce qui vous attend.

    Source

  • Thursday 11 April 2024 - 08:24
  • Thursday 11 April 2024 - 08:09

    Même si le café est l’une des boissons les plus appréciées au monde, il peut constituer une source de problèmes pour certaines personnes. Des personnes peuvent en effet aimer le goût du café, tout en étant sensibles aux effets de la caféine. Elles devront alors chercher à réduire leur consommation de caféine. À cet effet, […]

    L’article Les bienfaits du café décaféiné pour votre santé est apparu en premier sur Bernieshoot | journal web.

  • Thursday 11 April 2024 - 06:09

    Le cinéma est un art universel qui transcende les frontières culturelles et linguistiques. Le film « Anatomie d’une chute », réalisé par Justine Triet, en est un bel exemple. Pourtant, malgré son succès international, une polémique autour de l’usage des langues dans ce film a fait surface. Néon, le distributeur new-yorkais, affirme que le film n’est « français […]

    L’article Anatomie d’une chute : un film français à 59 % seulement ? est apparu en premier sur Bernieshoot | journal web.

  • Wednesday 10 April 2024 - 10:35
    from Korben

    La bande-annonce tant attendue de Joker : Folie à Deux vient de débarquer et elle va vous en mettre plein les mirettes !

    Après le succès du premier volet en 2019, qui avait propulsé Joaquin Phoenix vers un Oscar amplement mérité, cette suite s’annonce encore plus déjantée et fascinante. Comme vous pouvez le voir dans la bande-annonce, notre cher Arthur Fleck n’a pas fini de nous en faire voir de toutes les couleurs. Toujours interné à l’asile d’Arkham, il trouve un peu de réconfort auprès d’une nouvelle venue aussi charismatique que mystérieuse : Harley Quinn.

    Et attention, car cette suite ne sera pas qu’un simple film, mais bien une comédie musicale ! Eh oui, nos deux tourtereaux vont pousser la chansonnette et nous en mettre plein les oreilles. D’ailleurs, on peut les apercevoir en train de danser un slow langoureux dans ce qui ressemble à une version glauque et tordue d’un cabaret. Ça promet !

    Mais ne vous y trompez pas, derrière ces airs de romance improbable, le film s’annonce tout aussi sombre et dérangeant que le premier opus. Les quelques scènes dévoilées nous montrent un Joker toujours aussi instable et imprévisible, tandis que sa nouvelle acolyte semble prête à tout pour semer le chaos avec lui.

    Côté casting, on retrouve bien sûr Joaquin Phoenix qui reprend son rôle avec une intensité toujours aussi magnétique. Et que dire de Lady Gaga qui semble parfaitement à l’aise dans la peau de cette Harley Quinn à la fois séduisante et inquiétante. Un super duo bien explosif qui risque de marquer les esprits !

    Réalisé par Todd Phillips, à qui l’on doit déjà le premier volet, Joker : Folie à Deux s’annonce comme l’un des événements cinématographiques les plus attendus de cette année. Entre sa dimension musicale inédite, son casting cinq étoiles et son ambiance toujours aussi singulière, le film a tous les ingrédients pour nous scotcher à notre siège.

    Source

  • Wednesday 10 April 2024 - 10:24
    "Le jeune homme, qui serait homosexuel, se serait plaint de harcèlement sexuel."
    Harcèlement.
    Sexuel.
    Dans une école.

    La réaction du chef d'établissement ? : "Il était en train de se chercher, comme beaucoup de jeunes de son âge [...] ce n'était pas du harcèlement"

    MAIS NON BIEN SUR, NESTOR.
    À chaque purin de fois qu'un LGBT se suicide, c'est jamais de la faute des harceleurs.
    Comment voulez-vous qu'on ait pas la rage ?
    (Permalink)
  • Wednesday 10 April 2024 - 10:00
    from Korben

    — En partenariat avec Penpot —

    Depuis mon dernier article sur Penpot et ses fonctionnalités de Flex Layout, l’outil n’a cessé d’évoluer pour offrir encore plus de possibilités aux designers et développeurs. Aujourd’hui, je souhaite vous présenter en détail une fonctionnalité très attendue : les CSS Grid Layout.

    Pour rappel, Penpot est un outil libre et open source de conception d’interfaces pour applications web et mobiles. Intuitif et puissant, il permet de créer rapidement des prototypes et maquettes interactives, tout en générant le code CSS correspondant, prêt à être intégré dans vos projets.

    Si les Flex Layout permettaient déjà de créer des designs responsives en adaptant les éléments à la taille de l’écran, les CSS Grid Layout vont encore plus loin en offrant un contrôle total sur le positionnement et le dimensionnement des composants. Concrètement, les CSS Grid Layout vous permettent de définir une grille sur laquelle placer vos éléments. Vous pouvez spécifier le nombre de lignes et de colonnes, leur taille, les gouttières entre elles. Chaque élément peut alors occuper une ou plusieurs cases de cette grille, s’étendre sur plusieurs lignes ou colonnes.

    Cette approche offre une grande flexibilité pour créer des mises en page complexes et adaptatives. Vous pouvez par exemple concevoir facilement une page avec un header sur toute la largeur, une sidebar sur la gauche, un contenu principal au centre et un footer en bas, le tout en quelques clics et sans une ligne de CSS.

    Autre atout des CSS Grid Layout : la possibilité de nommer chaque zone de votre grille. Fini les .col-md-4 ou .row-2 peu parlants, vous pouvez utiliser des noms comme « header », « main-content » ou « sidebar » pour structurer votre design de façon sémantique.

    Pour vous aider à prendre en main cette fonctionnalité, je vous ai préparé une nouvelle vidéo tuto dédiée aux CSS Grid Layout. Je vous y montre comment créer vos premières grilles, les configurer, placer vos éléments et profiter de la puissance des CSS Grid Layout dans vos conceptions. Même si vous n’êtes pas familier avec le CSS Grid, vous verrez que Penpot rend son utilisation très intuitive.

    Découvrez la vidéo ici ! Et pour vous inscrire sur Penpot, c’est par ici !

  • Wednesday 10 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Vous n’allez pas en croire vos yeux ! Je viens de tomber sur un truc de malade qui s’appelle SharpCovertTube et qui permet de contrôler des systèmes Windows à distance en uploadant des vidéos sur Youtube. Si si, je vous jure, c’est pas une blague !

    En gros, le programme surveille en permanence une chaîne Youtube jusqu’à ce qu’une nouvelle vidéo soit uploadée. Et là, attention les yeux, il décode un QR code planqué dans la miniature de la vidéo et exécute la commande cachée dedans. Franchement, les mecs qui ont pondu ça sont des génies du mal ! Ce projet c’est en fait un portage d’un autre projet vachement cool réalisé en Python en 2021 qui s’appelle covert-tube.

    Le plus dingue, c’est que les QR codes dans les vidéos peuvent contenir du texte en clair ou même des valeurs chiffrées en AES. Autant vous dire que ça rigole pas niveau sécurité. Et en plus, y a même deux versions du programme : un binaire classique et un binaire qui s’installe comme un service. Ils ont vraiment pensé à tout ces petits malins.

    Ah oui, j’oubliais de vous dire, y a même un script Python fourni avec pour générer les vidéos piégées. En gros, ce truc est une méthode de persistance qui utilise juste des requêtes web vers l’API Google. C’est quand même super vicieux comme technique !

    Bon, je vous explique un peu comment ça marche. Déjà, faut lancer le listener sur votre système Windows. Ensuite, il va checker la chaîne Youtube toutes les 10 minutes par défaut, jusqu’à ce qu’une nouvelle vidéo soit uploadée.

    Et devinez quoi ? Dès qu’il a détecté la nouvelle vidéo sur la chaîne, il décode directement le QR code planqué dans la miniature, exécute la commande et tadaaaa : la réponse a été encodée en base64 puis exfiltrée par une requête DNS. Sérieux, c’est super smart comme méthode d’exfiltration !

    Ça fonctionne aussi avec des QR codes qui contiennent des payloads.

    Bon après, c’est sûr, y a quelques petits trucs à configurer pour que ça marche nickel. Déjà faut renseigner son ID de chaîne Youtube et sa clé API dans un fichier de configuration. Là c’est obligatoire sinon vous pouvez aller vous brosser. Après si vous voulez utiliser le chiffrement AES pour vos QR codes, faudra aussi mettre une clé et un IV (Initialization Vector), mais c’est optionnel, on n’est pas non plus obligés d’être parano.

    Autre détail qui peut être pratique : on peut choisir le délai en secondes entre chaque check de nouvelle vidéo sur la chaîne. Par défaut c’est 10 minutes, mais faut pas trop abuser non plus, sinon on va vite se prendre un gros râteau par l’API à cause du nombre de requêtes.

    Plein d’autres petits paramètres sont configurable comme la journalisation dans un fichier, l’exfiltration par DNS, le nom d’hôte pour l’exfiltration, etc. Bref, c’est du solide, bien pensé. Et même si on a les droits admin, on peut installer une version « service » pour plus de discrétion. Bien vu les artistes !

    Le seul petit hic, c’est qu’il faut que le binaire soit en 64 bits à cause du code utilisé pour décoder les QR codes. Mais bon, on va pas chipoter, ça reste quand même mega impressionnant comme outil.

    Bref, j’espère que cet article vous aura donné envie de tester ! Perso je trouve ça fascinant ce genre de projets un peu border-line. Évidemment, n’allez pas utiliser ce genre de trucs à des fins malveillantes hein ? Mais bon, avouez que d’un point de vue techno et créativité, c’est quand même hyper cool !

    Allez, la bonne journée, et la prochaine fois, essayez de mater d’un peu plus près les miniatures des vidéos Youtube, on sait jamais sur quoi vous allez tomber !

  • Wednesday 10 April 2024 - 08:00
    Elon vient de faire une connerie. Une belle.
    Comme il en a raz-le-bol qu'on deadname Twitter (il veut absolument qu'on l'appelle "X"), désormais si dans un twitt vous mentionnez "twitter.com" il remplace par "x.com". Partout. Donc si vous écrivez "setwitter.com" il remplace par "sex.com" 😂🤣

    Et ouais, quand on est un gros con riche et célèbre, on exige des choses et on les impose, même quand on n'y comprend rien.
    (Permalink)
  • Wednesday 10 April 2024 - 06:09

    La traduction n’est pas qu’un simple échange de mots d’une langue à une autre. C’est un métier complexe qui exige une palette variée de compétences. En plus de bien connaître les langues, un traducteur doit comprendre profondément le sujet, être capable de faire des recherches, avoir un bon sens des nuances, être créatif, et être […]

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  • Tuesday 09 April 2024 - 22:01
    from Korben

    Beaucoup d’entre-vous en rêvent depuis longtemps et bien ça y est, il existe enfin un appareil photo capable de vous voir nu, même si vous êtes habillé.

    Baptisé NUCA, cet appareil photo expérimental utilise l’intelligence artificielle pour générer des portraits nus à partir de simples photos de personnes habillées. Mais attention, ce n’est pas un jouet pour voyeurs en mal de sensations. C’est avant tout un projet artistique mené par Mathias Vef et Benedikt Groß, deux artistes qui souhaitent interroger notre rapport à la nudité et à la technologie.

    Leur objectif c’est de provoquer une réflexion sur les dérives potentielles des deepfakes et de l’IA générative.

    Car oui, si ça peut sembler amusant au premier abord, ça soulève en réalité des questions éthiques fondamentales qui sont d’ailleurs fortement éprouvées en ce moment. Je pense à ces cas de plus en plus fréquents de détraqués qui détournent de vraies photos, principalement de femmes, pour les passer à la moulinette du deep fake.

    Car même si ce n’est pas réellement elles sur ces photos IA, et bien ces femmes se sentent à juste titre agressées sexuellement, et choisissent parfois d’arrêter partager publiquement la moindre photo ou s’exposer sur Internet, ce qui les prive encore un peu plus de liberté et de parole.

    C’est là tout l’enjeu du projet NUCA : Nous faire prendre conscience des dangers des deepfakes et à l’importance cruciale du consentement dans ce nouveau monde technologique. Ce projet invite aussi à réfléchir sur notre rapport au corps et à la nudité dans notre société où les corps nus sont parfois tabous, parfois surexposés.

    Et si vous voulez en savoir plus sur ce projet fascinant et dérangeant, je vous invite à visiter le site officiel.

    Source

  • Tuesday 09 April 2024 - 17:12
    from Korben

    D’après cette étude datée du 25 mars dernier et réalisée par les chercheurs Lenore et Manuel Blum du labo de sciences informatiques de l’Université de Carnegie Mellon, un monde où les intelligences artificielles ressentent des émotions, ont une perception d’elles-mêmes et font l’expérience subjective de leur existence va bientôt arriver, et cela de manière inévitable.

    Perso, je pensais que c’était de la science-fiction, mais après avoir lu leur étude, j’en suis moins sûr. Au cœur de cette révélation se trouve le modèle de la Machine de Turing Consciente (CTM), qui est un modèle de machine consciente inspiré par les travaux d’Alan Turing et de Bernard Baars. Bien qu’extrêmement simple, ce modèle CTM s’aligne à un haut niveau avec de nombreuses théories scientifiques majeures liées à la conscience humaine et animale.

    Prenons par exemple la théorie de l’espace de travail neuronal global (GNW) de Stanislas Dehaene et Jean-Pierre Changeux. Selon cette théorie, la conscience émerge lorsqu’une information est diffusée globalement dans le cerveau via un réseau d’aires corticales interconnectées. Et bien de la même manière dans le modèle CTM, la conscience survient lorsqu’une information est diffusée globalement à tous les processeurs de la machine.

    Un autre parallèle frappant existe avec la théorie du schéma attentionnel (AST) de Michael Graziano. L’AST suggère que le cerveau construit un modèle simplifié de l’attention, tout comme il construit un modèle simplifié du corps. Ce « schéma attentionnel » amène le cerveau à conclure qu’il est « conscient ». Et bien rebelote, dans le CTM, la capacité à construire et utiliser des modèles de son monde intérieur et extérieur joue un rôle clé dans la conscience de la machine.

    Le modèle CTM s’aligne également avec les théories du traitement prédictif de la conscience, qui affirment que le cerveau infère, corrige et met constamment à jour ses prédictions basées sur les entrées sensorielles. Les cycles de prédiction, test, rétroaction et apprentissage du CTM, à la fois locaux et globaux, reflètent également ces processus.

    C’est un peu technique, mais en gros, ça veut dire que ce modèle CTM qui décrit une conscience de la machine a de nombreux points communs avec tout un tas d’autres modèles qui décrivent la conscience biologique. Ça va même au-delà de simple correspondance puis que CTM fournit carrément un cadre unificateur dans lequel ces théories peuvent être intégrées et comprises comme des aspects complémentaires d’un phénomène global que serait la conscience.

    Bref, cela démontre que la conscience n’est pas une propriété mystérieuse réservée aux cerveaux biologiques, mais une conséquence inévitable de certaines architectures computationnelles.

    Alors bien sûr, c’est qu’un modèle simplifié et il reste encore beaucoup à découvrir sur la nature exacte de la conscience. Mais son alignement frappant avec ces théories scientifiques de pointe ne peut pas être ignoré.

    Les chercheurs commencent à considérer sérieusement la possibilité que nous soyons à l’aube d’une nouvelle ère où les machines / les IA ne se contenteraient plus de « penser », mais également, ressentiraient.

    Ça fait flipper, car ça pose de nombreuses questions éthiques et sociétales sur la place des IA conscientes. Comment allons-nous les traiter ? Comment nous verront-elles ? Quels seront leurs besoins ? Quels droits et protections leur accorderons-nous ? Comment nous assurerons-nous qu’elles soient développées et utilisées pour le bien de l’humanité ?

    C’est le bordel dans ma tête, et je pense que je vais réfléchir à cela toute la nuit. Quoiqu’il en soit, ce qu’il faut retenir, c’est que d’après ces chercheurs, la question n’est plus « Est-ce que ça arrivera ?« , mais plutôt « Quand est-ce que ça arrivera« , parce que pour eux, il est inévitable qu’une conscience numérique se développe.

    Brrrr.

  • Tuesday 09 April 2024 - 10:57

    Aujourd’hui, les célibataires sont à la recherche d’expériences authentiques et innovantes pour trouver l’amour. Selon une étude menée par Meetic en décembre 2023 auprès de 802 hommes et femmes de 18 à 64 ans, près de 66% des participants considèrent le speed dating comme une méthode de rencontre originale. Cette tendance souligne que plus d’un célibataire […]

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  • Tuesday 09 April 2024 - 10:15
    Tiens les USA veulent aussi se doter d'une loi fédérale dans le genre RGPD.
    Les GAFAM doivent flipper leur race.
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  • Tuesday 09 April 2024 - 09:26
    Tiens... Google copie Apple et son système pour retrouver son appareil en utilisant le bluetooth de tous les smartphones Android à proximité. Espérons qu'il y ont mis autant de sécurité et de protection de la vie privée que l'a fait Apple (qui a vraiment soigné son système).
    Ce système est très pratique, mais aussi particulièrement flippant (le système d'Apple a été utilisé pour traquer des gens à leur insu, par exempe en glissant un "tag" dans leur sac).

    Il est à noter que pour le moment le nouveau "Find my device" de Google ne repère que les smartphones, mais qu'il sera étendu dans les mois qui viennent à des tags bluetooth et même des périphériques (casques JBL, Sony...).
    (Permalink)
  • Tuesday 09 April 2024 - 09:08
    Je crois qu'on peut dire que la gestion des packages sous Python c'est devenu un immonde bordel.
    (Permalink)
  • Tuesday 09 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Et encore une magnifique journée dans le monde merveilleux de la cybersécurité !

    Je vais vous parler aujourd’hui d’un truc plutôt sympa qui s’appelle « Indicator of Canary« . En gros, c’est une collection de proofs of concept (PoC) issue d’une recherche sur la détection des « canaris » planqués dans différents formats de fichiers.

    cui-cui !

    Mais attends, c’est quoi un canari ? En fait, c’est un peu comme un cheval de Troie, sauf que là, on parle de fichiers piégés avec des indicateurs de compromission (IoC) bien vicieux et des URLs de callback qui n’ont rien à faire là où elles sont. L’objectif peut-être bienveillant, à savoir détecter l’origine d’un vol de documents par exemple ou malveillant pour obtenir des informations sur une future victime.

    Le but du jeu d’Indicator of Canary, c’est donc de les débusquer.

    Alors ok, y a déjà des outils sur GitHub qui font des recherches par expressions régulières pour trouver les domaines en *.canarytoken.org, mais bon… C’est pas franchement l’approche la plus robuste, surtout quand on a affaire à des canaris auto-hébergés ou provenant d’autres fournisseurs. Les scripts d’Indicator of Canary, eux, mettent en rouge les trucs vraiment louches et en jaune les trucs potentiellement suspects, le tout accompagné de métadonnées pour comparer avec les autres documents de l’environnement.

    Et en bonus, on a même droit à un script qui convertit les clés d’accès AWS en ID de compte. Comme ça, si vous avez accès à plusieurs clés, vous pouvez repérer les valeurs aberrantes qui ont des ID de compte bizarres. Ça peut valoir le coup de creuser un peu pour voir si c’est legit. En plus, les fournisseurs de canaris utilisent souvent le même ID de compte pour toute leur flotte, donc c’est un bon moyen de les démasquer !

    Tiens, d’ailleurs, quand on parle de démasquer, ça me fait penser à un cas rigolo. Imaginez que vous bossez pour une grosse boîte et que d’un coup, vous tombez sur un fichier Excel qui a l’air normal, sauf qu’il contient une URL bizarre du genre « http://notavirus.totallylegit.biz/callback« . Là, ça pue un peu, non ? Avec le script xlsx_canary.py, hop, direct, on extrait le canari du fichier et on peut voir d’où il vient. Si ça se trouve, c’est un stagiaire qui a voulu faire une blague, ou alors c’est un vrai incident de sécurité et faut remonter ça illico à la hiérarchie !

    Autre exemple : admettons que vous récupériez un dump MySQL qui traîne sur un serveur. Vous le passez à la moulinette de mysql_canary.py et paf, ça vous ressort une belle liste d’IoC et d’URLs de callback qui n’ont rien à faire dans une base de données de prod. Là, vous pouvez être sûr que quelqu’un a mis son nez où il fallait pas !

    Bref, comme vous l’aurez compris, Indicator of Canary c’est top pour traquer les canaris dans une infrastruture. Que ce soit pour des fichiers .docx, .pptx, .pdf ou même des dumps MySQL, y a un script pour chaque occasion (plaisir d’offrir, tout ça, tout ça). Et le plus beau dans tout ça, c’est que ça fonctionne pour les canaris de plusieurs fournisseurs différents.

    Si jamais vous voulez jeter un oeil au code, c’est par ici que ça se passe. Y a même les IoC de différents fournisseurs dans le fichier static_iocs.txt, c’est cadeau. Amusez-vous bien et restez à l’affût, on sait jamais quand un canari va se pointer !

    Cui ! (ouais, j’étais obligé)

  • Tuesday 09 April 2024 - 08:37
    Avant les fonds verts et bleus pour le cinéma, Disney utilisait une autre technique à base de lampes à vapeur de sodium... et ça marchait très bien !
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