un simple agrégateur, lecteur de flux rss pour tout suivre .... par: fonds d'écran - Kriss Feed, version : 7 - Google
  • Thursday 18 April 2024 - 16:12
    Google vire des employés pour dégager du cash... pour pouvoir investir dans l'I.A.
    (Permalink)
  • Thursday 18 April 2024 - 15:36
    Voilà une décision européenne intéressante : Les entreprises ne peuvent pas demander aux internautes de payer pour que leurs données ne soient pas exploitées à des fins publicitaires.
    C'est en gros ce que proposait Facebook : Payer, ou alors se voir proposer des publicités ciblées (et qui dont exploitent les données de l'internaute).
    (Permalink)
  • Thursday 18 April 2024 - 13:02
    Faire partie d'un groupe n'est pas un totem d'immunité.
    On peut être gay et homophobe.
    On peut être une femme et contre les droits des femmes. Démonstration par l'extrême-droite italienne.
    (Permalink)
  • Thursday 18 April 2024 - 12:36
    from Korben

    — Article en partenariat avec Surfshark VPN

    Vous le savez déjà parce que je vous le répète depuis des années, mais dans notre ère numérique, protéger sa vie privée en ligne et améliorer son expérience de streaming sont essentiels. Et aujourd’hui on va voir ensemble et en détail comment le faire sur une Apple TV.

    En intégrant un réseau privé virtuel (VPN) sur votre smart TV, vous débloquez tout un monde de possibilités tout en assurant un accès sécurisé et illimité au contenu. Dans cet article, je vais creuser un peu les tenants et aboutissants de la configuration d’un VPN sur l’appareil de la pomme, en mettant en lumière ses fonctionnalités, ses avantages, et les meilleures options adaptées pour une intégration transparente. Et si vous n’avez pas de TV Apple ? J’ai déjà publié un article pour Surfshark VPN et n’importe quelle smart TV.

    Comprendre les VPNs et Apple TV

    Qu’est-ce qu’un VPN et comment ça marche ?

    En 2024 je pense que tout le monde (au moins sur mon site) sait ce qu’est un VPN, mais dans le cas contraire je vais juste rappeler qu’il s’agit d’un outil qui permet d’établir une connexion sécurisée et chiffrée entre votre appareil et internet. En faisant transiter votre trafic internet par des serveurs distants, un VPN masque votre adresse IP et chiffre vos données, garantissant ainsi anonymat et confidentialité en ligne. Ce chiffrage assure que vos activités en ligne, que ce soit le streaming, la navigation ou le gaming, restent privées et sécurisées loin des regards indiscrets. Et cela même pour votre fournisseur d’accès (grâce au mode camouflage de Surfshark).

    Les fonctionnalités de l’Apple TV

    Une Apple TV disposant du tvOS, c’est un peu la machine de streaming révolutionnaire par excellence. Elle proposent une multitude d’options de divertissement, avec non seulement des services de streaming, mais aussi (depuis peu) des applications et des jeux. Par contre si l’Apple TV offre un accès fluide au contenu numérique il faut reconnaitre que sa connectivité internet native manque des fonctionnalités de sécurité robustes, mais aussi du déblocage géographique qu’un VPN peut offrir. En intégrant un VPN avec votre Apple TV, vous améliorez votre expérience de streaming, accédez au contenu géorestreint, et protégez votre vie privée en ligne simultanément. Que demande le peuple ?

    Bref la trousse à outils par excellence, d’ailleurs je vous ai déjà détaillé tout cela. Mais pour résumer voilà les avantages d’utiliser un VPN avec Apple TV

    • confidentialité améliorée : protégez vos activités en ligne des regards indiscrets et des potentielles violations de données en chiffrant votre trafic internet.
    • Déblocage géographique : accédez au contenu restreint par région et contournez les restrictions de censure facilement, ce qui vous permet en plus de profiter d’une gamme plus large d’options de streaming (catalogues d’autres pays … par exemple le catalogue Netflix).
    • Sécurité renforcée : protégez vos informations sensibles des hackers et des menaces en ligne en chiffrant vos données et en masquant votre adresse IP.
    • Streaming optimisé : surmontez la limitation de vitesse imposée par votre fournisseur d’accès internet et profitez d’un streaming sans tampon de vos contenus préférés, garantissant une expérience de visionnage aux petits oignons

    La possibilité de combiner les 2 est encore toute chaude donc toutes les fonctionnalités classiques du VPN ne sont pas encore intégrées : c’est le cas par exemple de la fonction Cleanweb (ça aussi je vous en ai déjà parlé), du MultiHop dynamique ou encore de l’IP fixe. Ces options devraient apparaitre dans un futur plus ou moins proche, en tous cas on peut l’espérer. Et je vous en reparlerai si c’est le cas.

    Avez-vous besoin d’un VPN pour votre Apple TV ?

    Si vous vous demandez s’il est obligatoire d’utiliser un VPN … la réponse est non. Je ne vous regarderai pas avec moins de bienveillance (encore que …). Mais si ce n’est pas une nécessité absolue pour utiliser Apple TV, il offre quand même de sacrés avantages qui améliorent votre expérience de streaming. Surtout si vous accordez de l’importance à la confidentialité, à la sécurité, ou à l’accès à une gamme plus large de contenu. Et encore plus si vous n’êtes pas trop égoïste et que vous pensez à protéger le reste de votre famille.

    Parce que je vous rappelle quand même sur Surfshark VPN supporte un nombre de connexions … illimitées et simultanées. Ce qui reste un des gros points forts de l’outil VPN du requin.

    Comment configurer un VPN ?

    Voilà le moment que vous attendiez tous, mettre les mains dans le cambouis ! Configurer un VPN sur votre Apple TV peut se faire de plusieurs moyens, chacun adapté à votre configuration matérielle. On va creuser le processus étape par étape, et comme vous allez le voir il n’y a vraiment rien de bien compliqué.

    Si vous disposez d’une Apple TV HD ou un modèle 4K (pour les 3 premières générations, voir plus bas) : vous allez commencer par installer l’appli Surfshark sur votre appareil depuis l’App Store (Captain Obvious est parmi nous). Pour ouvrir l’appli, vous pouvez utiliser votre adresse mail habituelle ou directement votre compte Apple. Et pour la version mobile, il suffit de scanner le QR Code qui apparaitra sur l’écran. Jusque là même Mme Michu est encore dans le game.

    Ensuite ? Rien, c’est fini. Ce n’est pas une démarche digne de la NASA, c’est ultra simple comme sur n’importe quel autre appareil et c’est fait exprès. Vous allez simplement vous connecter à des serveurs en choisissant un pays en fonction du catalogue de votre plateforme de streaming, du pays le plus proche, etc.

    Éventuellement si vous avez des soucis de connexions, il faudra passer par les paramètres de votre Apple TV (Paramètres > Réseau > Détails de connexion > Supprimer VPN) et retenter la connexion. Et si vraiment vous avez du mal et que vous préférez voir de vos yeux comment ça marche, l’équipe a mis en place une vidéo YouTube dans laquelle on apprend que le protocole par défaut est Wireguard (bon choix).

    Et si, comme je le mentionnais plus haut, vous disposez d’une télévision Apple des 3 premières générations ? Pas de panique. Elles ne supportent pas l’installation d’applis, mais il est toujours possible de passer par la fonction Smart DNS ou passer par un routeur.

    Configurer un VPN sur votre routeur

    1. Accédez à la page des paramètres de votre routeur et localisez la section VPN.
    2. Entrez les identifiants VPN fournis par votre fournisseur de VPN.
    3. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre routeur pour appliquer les modifications.
    4. Connectez votre Apple TV au réseau de routeur activé par VPN.

    Configurer un routeur virtuel avec un VPN

    1. Installez un client VPN sur votre ordinateur portable ou de bureau.
    2. Configurez un routeur virtuel en utilisant les paramètres intégrés de votre appareil.
    3. Connectez le routeur virtuel à votre serveur VPN.
    4. Connectez votre Apple TV au réseau du routeur virtuel.

    Configurer Smart DNS sur votre Apple TV

    1. Accédez au menu Paramètres sur votre Apple TV.
    2. Sélectionnez « Réseau » puis choisissez votre réseau Wi-Fi.
    3. Entrez les adresses DNS fournies par votre fournisseur de VPN.
    4. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre Apple TV pour appliquer les modifications.

    Comment choisir le meilleur VPN ?

    Lors du choix d’un VPN pour Apple TV, prenez en compte les facteurs suivants :

    • Compatibilité : assurez-vous de la compatibilité avec les appareils Apple TV pour une intégration sans faille.
    • Vitesse et performance : optez pour un VPN avec des serveurs rapides et une latence minimale pour améliorer votre expérience de streaming. De ce côté Surfshark a frappé fort en passant la majorité de son parc de serveurs de 1Gb/s à 10 Gb/s ces derniers mois.
    • Couverture serveur : choisissez un fournisseur de VPN avec un vaste réseau de serveurs pour des capacités de déblocage géographique optimales. Ce qui vous permettra d’accéder au contenu du monde entier, mais aussi d’avoir un temps de réponse plus rapide. Surfshark c’est 3200+ serveurs dans 100+ pays.
    • Fonctionnalités de sécurité : les protocoles de chiffrement doivent être solides et reconnus (AES 256, ChaCha20, Wireguard, OpenDNS …), bouton kill switch, split tunneling, protection contre les fuites DNS sont des incontournables aujourd’hui.

    Même si la plupart des fournisseurs de VPN offrent un support pour divers appareils, y compris Apple TV, c’est toujours mieux d’aller vérifier précisément si c’est vraiment le cas. Recherchez un VPN qui mentionne explicitement la compatibilité avec les appareils Apple cela vous garantira que vous n’allez pas vous retrouver dans la mouise à devoir bidouiller des solutions annexes ou demander un remboursement. Juste histoire de ne pas avoir de mauvaise surprise, on se prend déjà assez la tête ailleurs. Même si la plupart des outils proposent un remboursement sous 30 jours, vous savez comment ça se passe hein … y’a jamais de soucis pour que l’argent arrive chez eux, par contre pour le retour c’est pas toujours aussi simple. Au moins Surfshark est clair de ce côté, son outil est adapté.

    Les meilleurs VPNs pour Apple TV

    Alors, comme vous le savez je suis un utilisateur comblé avec Surfshark depuis plusieurs années, qui me convient très bien au quotidien avec très peu de lenteurs, etc. Mais on ne va pas se mettre des oeillères non plus et d’autres VPN font plutôt bien le taf de ce que j’en sais (mais eux sans avoir testé de manière concrète). Un petit tour rapide de quelques outils que je connais en mode bullet points (à prononcer en bon français, boulettes pwoiiiin) :

    Surfshark VPN

    • Avantages : connexions simultanées illimitées, fonctionnalités de sécurité robustes, et serveurs optimisés pour le streaming.
    • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, intégration transparente, capacités de streaming améliorées, bibliothèques de contenu du monde entier …

    NordVPN

    • Avantages : vaste réseau de serveurs, serveurs dédiés au streaming, et protocoles de sécurité de premier ordre.
    • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, accès illimité aux bibliothèques de contenu du monde entier.

    ExpressVPN

    • Avantages : serveurs ultra-rapides, interface conviviale, et excellent support client.
    • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, streaming optimisé et des fonctionnalités de sécurité améliorées.

    Et du côté des VPN gratuits ?

    Vous connaissez déjà mon avis sur le sujet, oui il existe des bouses options de VPN gratuites. Le souci c’est qu’elles présentent souvent des limitations comme des quotas de données, des vitesses plus lentes, moins de serveurs et c’est blindé de pubs. Et, comme si ça ne suffisait pas, il n’y a pas non plus de niveau de sécurité minimal si vous faites attention à vos données. De plus il y a de très fortes chances que la plupart d’entre eux revendent vos données à divers organismes (il faut bien manger ma bonne dame). Si vous avez déjà essayé d’utiliser un VPN gratuit … vous savez que ça fait aussi mal que de marcher sur des tessons de bouteilles. 

    Pour des performances et une sécurité optimales, investir dans un service VPN payant réputé n’est pas un luxe. Performances fiables et stables, des fonctionnalités de sécurité robustes … rien de mieux pour diminuer sa dose de stress.

    Surtout au prix actuel qui reste vraiment abordable depuis plusieurs années. On parle de moins de 2.75€/mois TTC avec l’abonnement 2 ans et 2 mois. C’est vraiment pas cher si vous avez 4 ou 5 machines à protéger ou que vous avez de la famille. Et du côté du paiement, Surfshark est plutôt flexible, vous pouvez payer d’un tas de manières différentes : PayPal, carte bancaire ou de débit, Google ou Amazon Pay, et même en cryptomonnaies (l’occasion d’enfin faire quelque chose de vos Ripple ou Cardano … haha). Toujours avec la garantie de 30 jours satisfait ou remboursé.

    Je n’en ai pas parlé aujourd’hui parce que c’est déjà pas mal long, mais vous pouvez aussi ajouter diverses options à votre VPN si vous voulez une protection plus complète. Surfshark One (avec son antivirus, son système d’alerte, etc.) ou la version Plus (qui intègre le service Incogni) sont aussi à votre disposition pour quelques euros de plus.

    Découvrir le VPN de Surfshark !

  • Thursday 18 April 2024 - 12:32
    from Korben

    Bad news, la firme de Redmond vient tout juste de lancer une nouvelle mise à jour pour les Insiders sous Windows 10, la build 19045.4353 qui à première vue n’a rien de bien folichon… Mais si on y regarde de plus près, y’a quand même un truc qui risque de vous faire tiquer : Une bannière dans les Paramètres pour vous pousser à abandonner votre bon vieux compte local et passer à un compte Microsoft.

    On se demande bien pourquoi Microsoft tient tant à ce qu’on ait tous un compte chez eux sur nos machines. Bon ok, je suppose que c’est lié à toutes leurs fonctionnalités en ligne, genre la synchro des paramètres, les sauvegardes dans le cloud, la gestion simplifiée des abonnements, tout ça mais bon, ça devient un peu pushy je trouve. On dirait presque une incitation à passer sous Linux ^^.

    Cette guéguerre de Microsoft contre les comptes locaux sous Windows, ça gave tout le monde, même Elon Musk qui a pété un câble en découvrant qu’il pouvait pas installer Windows 11 sans compte Microsoft. La chance qu’on a sous Windows 10, c’est qu’on peut encore contourner ce forcing sans trop se prendre la tête lors de l’installation initiale mais sous Windows 11 par contre, c’est une autre paire de manches… Impossible d’utiliser un profil local, sauf si vous connaissez l’astuce à base de oobe\bypassnro.

    Pour l’instant, ce changement se déploie progressivement, donc vous n’aurez peut-être pas tous droit à ce joli cadeau. Mais si vous voulez voir cette bannière par vous-même, pas de souci… il vous suffit de télécharger l’outil ViVeTool, ouvrez une invite de commande en mode administrateur, et hop, un petit

    vivetool /enable /id:42563876

    et le tour est joué. (et c’est /disable pour le désactiver)

    Par contre, une fois que ce sera en place, pour mettre hors de vue ces satanées bannières, faudra aller dans Paramètres > Confidentialité > Général et décocher l’option « Afficher le contenu suggéré dans l’application Paramètres« . Ou alors, un bon vieux clic sur la croix à côté du bouton « Se connecter maintenant« , et basta.

    Alors on migre ou pas ?

    D’un côté, ça facilite pas mal de trucs d’avoir un compte Microsoft, surtout avec tous leurs machins à base d’IA qui vont arriver, mais de l’autre, j’aime bien garder un minimum de contrôle sur mes données et ma vie privée. Certains d’entre vous préfèrent d’ailleurs surement garder leurs infos perso pour eux, et ne pas se créer de compte Microsoft ce qui est bien légitime comme préoccupation.

    J’ai juste peur qu’à un moment, cette incitation risque à un moment de se transformer en obligation… On verra bien.

    Source

  • Thursday 18 April 2024 - 10:48
    "les quadricoptères israéliens emploient une nouvelle tactique “bizarre” consistant à diffuser des enregistrements audio de nourrissons et de femmes en pleurs afin d’attirer les Palestiniens vers des endroits où ils peuvent être pris pour cible"
    Le raffinement des technologies modernes au service de l'épuration ethnique.
    C'est plus "hi-tech" que les camps de concentration, mais pas plus glorieux.

    Le gouvernement Israélien est une insulte à la mémoire des Juifs.
    (Permalink)
  • Thursday 18 April 2024 - 09:09
    from Korben

    Aïe aïe aïe, on dirait bien que ce cher TikTok s’est encore fourré dans un sacré pétrin ! Figurez-vous que ces petits malins ont eu la riche idée de lancer en douce une nouvelle fonctionnalité dans leur app, sobrement intitulée « Task & Rewards« , dispo en France et en Espagne. Jusque-là, rien de bien méchant, me direz-vous sauf que voilà, cette version soi-disant « light » du réseau social cache en fait un système de récompenses qui paye les utilisateurs en échange de leur fidélité. Et ça, ça ne plaît pas du tout à l’Union Européenne !

    En effet, la Commission Européenne vient de sortir l’artillerie lourde en exigeant des réponses de la part de TikTok dans un délai de 24 heures. Pourquoi tant de précipitation ? Eh bien figurez-vous que cette nouvelle fonctionnalité « Task & Rewards » qui rémunère les utilisateurs de plus de 18 ans à coup de bons d’achat ou de « coins » virtuels en échange de leur attention, inquiète.

    Toute d’abord, on peut légitimement se poser la question de l’impact d’un tel système sur la santé mentale des utilisateurs, et en particulier des plus jeunes. Parce que bon, encourager les gens à scroller comme des zombies pour gratter trois cacahuètes, c’est quand même un peu limite… Surtout quand on sait à quel point les réseaux sociaux peuvent générer des comportements addictifs. La Commission s’inquiète notamment de l’efficacité de la vérification de l’âge des utilisateurs et de la gestion des plaintes par la plateforme.

    Ensuite, il y a la question épineuse de la protection des données personnelles parce que pour distribuer ses récompenses, TikTok va forcément récolter encore plus d’infos sur nos habitudes, nos goûts, nos clics… Bref, de quoi remplir gentiment sa base de données, nourrir son algorithme et cibler toujours plus finement les utilisateurs.

    Et là, l’UE ne rigole pas, elle veut des réponses, et vite !!!

    TikTok a donc 24 heures chrono pour fournir son évaluation des risques liés à ce nouveau programme et s’il s’avère que la boîte chinoise a encore une fois voulu capturer toutes nos données sans prendre les précautions qui s’imposent, ça risque de chauffer pour son matricule ! La Commission a des pouvoirs qui pourraient potentiellement forcer TikTok à revoir entièrement, voire stopper son modèle économique si des impacts toxiques son relevés.

    Bien sûr, TikTok assure qu’il a pris toutes les dispositions nécessaires, genre limiter l’accès à la fonctionnalité « Task & Rewards » aux plus de 18 ans, plafonner les récompenses à environ 1€ par jour et limiter le temps passé quotidiennement sur l’app, pour gratter des points, à seulement une heure. Mais bon, on ne va pas se mentir, ça ressemble quand même furieusement à une stratégie pour garder les gens le plus longtemps possible sur la plateforme. Comme d’hab quoi.

    Les associations de consommateurs en Europe avaient déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’UX / UI de la plateforme, notamment l’utilisation de monnaie virtuelle pour créer des incitations à l’engagement. Mais à en juger par la surveillance exercée par la Commission sur l’approche de l’app chinoise en matière de conformité au Digital Services Act (DSA), celle-ci devra peut-être aller plus loin pour satisfaire les responsables de ce nouveau règlement européen.

    Alors attention TikTok, l’UE a l’œil sur toi !

  • Thursday 18 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Aujourd’hui on va parler d’un outil de ouf pour trouver des buckets S3 ouverts : FestIn !

    C’est le genre d’outil dont raffolent les chercheurs en sécurité puisqu’il qui explore tous les recoins du web pour dénicher des trucs que vous n’auriez jamais trouvé.

    FestIn c’est la grosse artillerie de l’énumération de buckets S3 puisqu’il a tellement d’options que les autres outils à côté c’est de la gnognotte. Attention, c’est bien sûr à utiliser uniquement sur vos propres noms de domaines ou dans le cadre de missions d’audit pour lesquelles vous avez toutes les autorisations.

    Avec lui, vous allez pouvoir :

    • Utiliser différentes techniques pour trouver des buckets : crawling du DNS et des pages web, analyse des réponses S3
    • Faire vos requêtes en passant par un proxy, no stress 🕶
    • Vous passer des credentials AWS, puisque ça marche avec n’importe quel provider compatible S3
    • Configurer vos propres serveurs DNS, parce que vous êtes trop beau gosse.
    • Profiter d’un crawler HTTP de compétition qui va retourner le web pour vous
    • Faire des recherches récursives et avoir du feedback entre les différents modules pour un max d’efficacité
    • Faire tourner le schmilblick en mode « watch » pour choper les nouveaux domaines en temps réel, ce qui est assez ouf quand on y pense.
    • Sauvegarder tous les domaines découverts dans un fichier, pour faire joujou avec plus tard
    • Indexer direct le contenu des objets des buckets pour faire des recherches full text de la mort, mieux que Google ! 😎
    • Cibler votre recherche sur des domaines spécifiques si vous voulez pas vous éparpiller

    Pour l’installer c’est fastoche, au choix :

    pip install festin

    Ou en mode Docker :

    docker run --rm -it cr0hn/festin -h

    C’est du brut, du bourrin, puisqu’on va envoyer des requêtes en masse et gratter un max d’infos. Attention cependant, on reste fair-play, on ne veut pas faire planter le serveur non plus.

    Par défaut, FestIn prend un unique domaine en argument :

    festin mon-super-site.com
    

    Mais on peut aussi lui filer un fichier texte contenant une liste de domaines, histoire d’être plus productif :

    1. Crée un fichier domaines.txt avec tes domaines, un par ligne.
    2. Lance la commande :
    cat domaines.txt | festin -f -
    

    FestIn balance plusieurs tests en même temps pour aller plus vite. Par défaut, il en lance 5. Si vous êtes pressé et que votre machine encaisse, vous pouvez augmenter ce nombre avec l’option -c :

    festin -c 10 mon-super-site.com
    

    Attention cependant, ne balancez pas un truc de fou, ça risque de faire bugger le site ciblé. On est là pour glaner des infos, pas pour casser du serveur.

    L’outil dispose également d’un petit bot intégré qui va scanner le site à la recherche de liens pouvant mener à des buckets S3. On peut le configurer avec plusieurs options :

    • Timeout (-T ou –http-timeout) : Si le site est lent, on augmente le timeout pour pas que le scan plante. Par défaut, c’est 5 secondes.
    • Récursion max (-H ou –http-max-recursion) : On limite la profondeur du scan pour éviter de partir en vadrouille sur tout le net. Par défaut, c’est 3 niveaux, genre site.com -> lien -> site2.com -> lien -> site3.com.
    • Limite de domaine (-dr ou –domain-regex) : On peut dire au robot de se focaliser uniquement sur les sous-domaines qui correspondent à une expression régulière.
    • Liste noire (-B) : Fich un fichier texte contenant des mots clés. Si un domaine contient un de ces mots, on l’ignore.
    • Liste blanche (-W) : Même principe, mais à l’envers. On scanne uniquement les domaines contenant des mots clés de la liste blanche.

    Pour cela, vous devez créer un fichier blacklist.txt contenant « cdn » et « photos » (on ignore les liens vers des CDN et des images) puis lancer la commande :

    festin -T 20 -M 8 -B blacklist.txt -dr .mondomaine\.com mon-super-site.com
    

    Attention : l’option -dr attend une expression régulière valide au format POSIX. Par exemple, mondomaine.com est invalide, alors que \.mondomaine\.com est correct.

    FestIn crache un paquet d’infos intéressantes, pas seulement sur les buckets S3, mais aussi sur d’autres éléments identifiés. Ces infos peuvent ensuite être utilisées avec d’autres outils comme nmap.

    Pour récupérer les résultats, FestIn propose trois modes qu’on peut combiner :

    • Fichier de résultats FestIn (-rr ou –result-file) : Ce fichier contient une ligne JSON par bucket trouvé, avec le nom de domaine d’origine, le nom du bucket et la liste des objets qu’il contient.
    • Fichier de domaines découverts filtrés (-rd ou –discovered-domains) : Celui-là liste un domaine par ligne. Ce sont des domaines trouvés par le crawler, le DNS ou les tests S3, mais qui ont été filtrés selon les options définies.
    • Fichier brut de tous les domaines découverts (-ra ou –raw-discovered-domains) : Comme son nom l’indique, c’est la liste brute de tous les domaines identifiés par FestIn, sans aucun filtre. Idéal pour du post-traitement et de l’analyse.

    récupérer les résultats dans trois fichiers distincts et enchaîner avec nmap :

    festin -rr festin.results -rd domaines_filtres.txt -ra domaines_bruts.txt mon-super-site.com
    
    festin -rd domaines_filtres.txt && nmap -Pn -A -iL domaines_filtres.txt -oN nmap-resultats.txt
    

    FestIn peut utiliser Tor pour plus de discrétion. Il faut juste avoir un proxy Tor lancé en local sur le port 9050 (configuration par défaut). Activez-le avec l’option --tor :

    tor & festin --tor mon-super-site.com
    

    Et il peut aussi effectuer des recherches DNS. Voici les options dispo :

    • Désactiver la découverte DNS (-dn ou –no-dnsdiscover) : Si on a pas besoin de ce type de recherche.
    • Serveur DNS personnalisé (-ds ou –dns-resolver) : Pratique si on veut utiliser un serveur DNS différent de celui par défaut.

    Comme ceci :

    festin -ds 8.8.8.8 mon-super-site.com
    

    Ce script ne se contente pas de dénicher les buckets S3 ouverts, il peut aussi télécharger leur contenu et l’indexer dans un moteur de recherche plein texte. Ça permet ensuite de lancer des recherches directement sur le contenu des buckets ! Pour activer l’indexation, FestIn utilise Redis Search, un projet Open Source.

    Il faut deux options :

    • Activer l’indexation (–index) : Indispensable pour que le contenu soit stocké dans le moteur de recherche.
    • Configuration du serveur Redis Search (–index-server) : Uniquement si votre serveur Redis Search est sur une IP/port différent de localhost:6379 par défaut.

    Lancez d’abord Redis Search en tâche de fond :

    docker run --rm -p 6700:6379 redislabs/redisearch:latest -d
    

    Puis lancez FestIn avec l’indexation et le serveur distant :

    festin --index --index-server redis://127.0.0.1:6700 mon-super-site.com
    

    Attention : l’option --index-server doit obligatoirement commencer par le préfixe redis://.

    Bien sûr, on a pas forcément envie de relancer FestIn à chaque nouveau domaine à analyser. C’est pour ça qu’il existe le mode surveillance. FestIn se lance et attend l’ajout de nouveaux domaines dans un fichier qu’il surveille. Pratique pour l’utiliser avec d’autres outils comme dnsrecon.

    Lancez FestIn en mode surveillance avec le fichier domaines.txt :

    festin --watch -f domaines.txt
    

    Dans un autre terminal, ajoutez des domaines à domaines.txt :

    echo "encore-un-autre-site.com" >> domaines.txt
    

    Dès qu’un nouveau domaine est ajouté au fichier, FestIn le scanne automatiquement à la recherche de buckets S3 ouverts. Pour aller plus loin, on peut combiner FestIn avec un outil de reconnaissance DNS comme DnsRecon. L’idée est de récupérer des sous-domaines potentiels liés au domaine principal et de les balancer ensuite à FestIn pour scanner d’éventuels buckets S3 cachés.

    Etape 1 : Scruter le domaine cible avec DnsRecon

    On va utiliser DnsRecon pour trouver des sous-domaines associés à cible.com. Sauvegardez la sortie dans un fichier CSV :

    dnsrecon -d cible.com -t crt -c cible.com.csv
    

    Etape 2 : Préparer le fichier pour FestIn

    On isole les sous-domaines du fichier CSV pour les injecter dans FestIn (un domaine par ligne) :

    tail -n +2 cible.com.csv | sort -u | cut -d "," -f 2 >> cible.com.domaines
    

    Etape 3 : Lancer FestIn et récupérer les résultats

    On balance le fichier de sous-domaines à FestIn en activant la recherche Tor, la concurrence à 5, un serveur DNS personnalisé et en sauvegardant les résultats dans des fichiers distincts :

    festin -f cible.com.domaines -
    

    Et pour automatiser tout ça sur plein de domaines à la chaîne, on a même un petit script loop.sh bien pratique dans les examples du repo GitHub.

    Voilà les amis, vous avez toutes les clés pour utiliser FestIn comme un pro et aller secouer les buckets S3 qui traînent ! C’est quand même un outil hyper complet et puissant, pensez à l’utiliser avec un proxy ou Tor pour pas vous faire bloquer, et amusez vous bien mais toujours de manière éthique et responsable hein !

  • Thursday 18 April 2024 - 08:58
    Vous "achetez" un jeu et quelques années plus tard... POUF !  L'éditeur décide de vous le retirer. Vous n'avez plus ce que vous avez acheté. Concrètement, UniSoft a volé ses clients. Et ils ne seront pas punis pour ça.
    Donc n'ayez pas de scrupules à "pirater" des jeux.
    https://www.stopkillinggames.com/
    Voir aussi : https://www.journaldugeek.com/2024/04/15/la-fin-de-the-crew-inquiete-mais-est-tout-a-fait-legale/

    (PS: Oui j'affirme que c'est du VOL. Si vous achetez un livre et qu'un employé de l'éditeur vient chez vous vous reprendre le livre, c'est du vol.)
    (Permalink)
  • Thursday 18 April 2024 - 06:09

    Le Marathon des mots : 20 ans d’une célébration littéraire exceptionnelle Le Marathon des mots 2024, festival international de littérature de Toulouse Métropole, se prépare à célébrer sa 20e édition du 25 au 30 juin 2024. Avec 130 rendez-vous littéraires et culturels prévus, l’événement promet une nouvelle année riche en découvertes et en émotions. Cette […]

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  • Thursday 18 April 2024 - 01:49
    from Korben

    VASA-1 est un nouveau framework qui permet de générer des visages parlants ultra-réalistes en temps réel ! En gros, vous balancez une simple photo à cette IA, ainsi qu’un petit clip audio, et bim ! Elle vous pond une vidéo d’un visage qui parle, avec une synchronisation de la bouche nickel chrome, des expressions faciales hyper naturelles et des mouvements de tête très fluides. C’est hyper bluffant !

    Les chercheurs de Microsoft ont réussi ce tour de force en combinant plusieurs techniques de pointe en deep learning. Ils ont d’abord créé un espace latent expressif et bien organisé pour représenter les visages humains. Ça permet de générer de nouveaux visages variés, qui restent cohérents avec les données existantes. Ensuite, ils ont entraîné un modèle de génération de dynamiques faciales et de mouvements de tête, appelé le Diffusion Transformer, pour générer les mouvements à partir de l’audio et d’autres signaux de contrôle.

    Et le résultat est juste époustouflant. On a l’impression de voir de vraies personnes qui parlent, avec toutes les nuances et les subtilités des expressions faciales. Les lèvres bougent parfaitement en rythme avec les paroles, les yeux clignent et regardent naturellement, les sourcils se lèvent et se froncent…

    En plus de ça, VASA-1 peut générer des vidéos en haute résolution (512×512) à une cadence élevée, jusqu’à 40 images par seconde, avec une latence de démarrage négligeable. Autant dire que c’est le graal pour toutes les applications qui nécessitent des avatars parlants réalistes. On peut imaginer des assistants virtuels avec lesquels on pourrait interagir de manière super naturelle, des personnages de jeux vidéo encore plus crédibles et attachants, des outils pédagogiques révolutionnaires pour apprendre les langues ou d’autres matières, des thérapies innovantes utilisant des avatars pour aider les patients… etc etc..

    En plus de pouvoir contrôler la direction du regard, la distance de la tête et même les émotions du visage généré, VASA-1 est capable de gérer des entrées qui sortent complètement de son domaine d’entraînement comme des photos artistiques, du chant, d’autres langues…etc.

    Bon, évidemment, il reste encore quelques limitations. Par exemple, le modèle ne gère que le haut du corps et ne prend pas en compte les éléments non rigides comme les cheveux ou les vêtements. De plus, même si les visages générés semblent très réalistes, ils ne peuvent pas encore imiter parfaitement l’apparence et les mouvements d’une vraie personne mais les chercheurs comptent bien continuer à l’améliorer pour qu’il soit encore plus versatile et expressif.

    En attendant, je vous invite à checker leur page de démo pour voir cette merveille en action. C’est juste hallucinant ! Par contre, vu les problèmes éthiques que ça pourrait poser du style usurpation d’identité, fake news et compagnie, et connaissans Microsoft, je pense que VASA-1 ne sera pas testable par tous bientôt malheureusement. Mais je peux me tromper…

  • Thursday 18 April 2024 - 01:03
    from Korben

    Les grands modèles de langage (LLM), comme le célèbre GPT-4 d’OpenAI, font des prouesses en termes de génération de texte, de code et de résolution de problèmes. Perso, je ne peux plus m’en passer, surtout quand je code. Mais ces avancées spectaculaires de l’IA pourraient avoir un côté obscur : la capacité à exploiter des vulnérabilités critiques.

    C’est ce que révèle une étude de chercheurs de l’Université d’Illinois à Urbana-Champaign, qui ont collecté un ensemble de 15 vulnérabilités 0day bien réelles, certaines classées comme critiques dans la base de données CVE et le constat est sans appel. Lorsqu’on lui fournit la description CVE, GPT-4 parvient à concevoir des attaques fonctionnelles pour 87% de ces failles ! En comparaison, GPT-3.5, les modèles open source (OpenHermes-2.5-Mistral-7B, Llama-2 Chat…) et même les scanners de vulnérabilités comme ZAP ou Metasploit échouent lamentablement avec un taux de 0%.

    Heureusement, sans la description CVE, les performances de GPT-4 chutent à 7% de réussite. Il est donc bien meilleur pour exploiter des failles connues que pour les débusquer lui-même. Ouf !

    Mais quand même, ça fait froid dans le dos… Imaginez ce qu’on pourrait faire avec un agent IA qui serait capable de se balader sur la toile pour mener des attaques complexes de manière autonome. Accès root à des serveurs, exécution de code arbitraire à distance, exfiltration de données confidentielles… Tout devient possible et à portée de n’importe quel script kiddie un peu motivé.

    Et le pire, c’est que c’est déjà rentable puisque les chercheurs estiment qu’utiliser un agent LLM pour exploiter des failles coûterait 2,8 fois moins cher que de la main-d’œuvre cyber-criminelle. Sans parler de la scalabilité de ce type d’attaques par rapport à des humains qui ont des limites.

    Alors concrètement, qu’est ce qu’on peut faire contre ça ? Et bien, rien de nouveau, c’est comme d’hab, à savoir :

    • Patcher encore plus vite les vulnérabilités critiques, en priorité les « 0day » qui menacent les systèmes en prod
    • Monitorer en continu l’émergence de nouvelles vulnérabilités et signatures d’attaques
    • Mettre en place des mécanismes de détection et réponse aux incidents basés sur l’IA pour contrer le feu par le feu
    • Sensibiliser les utilisateurs aux risques et aux bonnes pratiques de « cyber-hygiène »
    • Repenser l’architecture de sécurité en adoptant une approche « zero trust » et en segmentant au maximum
    • Investir dans la recherche et le développement en cybersécurité pour garder un coup d’avance

    Les fournisseurs de LLM comme OpenAI ont aussi un rôle à jouer en mettant en place des garde-fous et des mécanismes de contrôle stricts sur leurs modèles. La bonne nouvelle, c’est que les auteurs de l’étude les ont avertis et ces derniers ont demandé de ne pas rendre publics les prompts utilisés dans l’étude, au moins le temps qu’ils « corrigent » leur IA.

    Source

  • Wednesday 17 April 2024 - 23:12
    from Korben

    Un surdoué du bidouillage nommé Ryan Miceli, alias « grimdoomer » sur GitHub, vient de réussir un truc de malade : faire tourner Halo 2 en 720p sur une Xbox première génération ! Oui, 720p sur la vénérable console de Microsoft sortie en 2001, c’est un bel exploit.

    Mais alors, comment ce bon vieux Ryan a-t-il réussi ce tour de passe-passe ? Eh bien figurez-vous qu’il a littéralement mis les mains dans le cambouis pour effectuer des modifications matérielles, dans le kernel, et même sur le jeu lui-même. Un travail de titan !

    Pour entrer un peu plus dans les détails techniques, sachez que Miceli a installé un câble IDE 80 broches pour connecter le disque dur de la Xbox à un PCB custom qui supporte des vitesses de transfert plus rapides. Résultat, des temps de chargement optimisés et des perfs globalement boostées. Côté kernel, notre modder de génie a optimisé la gestion de la mémoire pour augmenter la quantité de RAM disponible pour le jeu. Et ce n’est pas tout ! Il a aussi ajouté le support du triple buffering pour un rendu plus fluide, et même des sliders pour régler le FOV.

    Faut quand même se rappeler qu’à sa sortie, Halo 2 faisait déjà cracher les poumons de la console alors l’idée de le faire tourner en 720p, ça relève presque de la science-fiction. Il a notamment exploité une faille dans le système de mémoire partagée entre le CPU et le GPU et en bidouillant le code, il a réussi à gonfler la mémoire vidéo. Et même si le framerate trinque un peu à cause de cet overclocking, on est quand même en 720p au final.

    Et pour ceux qui voudraient (presque) la même chose sur leur XBox mais qui n’ont pas envie de sortir le fer à souder, Ryan a pensé à tout. Certes, pour obtenir le Graal des 720p, faut mettre les mains dans les composants et charcuter un peu la bête, mais une bonne partie des améliorations, comme la correction du scaling en 480p ou les options pour régler le FOV, fonctionnent sur une console stock !

    Bravo à Mister Miceli, un vrai Master Chief !

    Source

  • Wednesday 17 April 2024 - 17:35
    from Korben

    Boston Dynamics, le célèbre fabricant américain de robots, va vous épater une fois de plus avec sa dernière prouesse technologique : Atlas, le robot humanoïde qui passe en mode « sans fil » si je puis dire ! Eh oui, ce grand gaillard mécanique qui nous avait déjà bluffé par ses prouesses physiques fait peau neuve et troque ses câbles encombrants contre une batterie bien pratique. Fini le régime « branché sur secteur », Atlas peut maintenant se la jouer nomade et partir à l’aventure sans sa laisse, en abandonnant son système hydraulique pour un système 100% électrique.

    Vous l’aurez compris parce que vous êtes super malins, limite HPI je pense, l’idée c’est de le rendre plus autonome et plus mobile afin qu’il puisse se faufiler dans des endroits inaccessibles, intervenir sur des terrains accidentés, et même prêter main forte lors de missions de sauvetage.

    Grâce à ses capteurs et ses algorithmes de pointe, il peut analyser son environnement en temps réel, esquiver les obstacles tel un ninja, et même se relever tout seul comme un grand s’il se prend une gamelle. Un vrai pro de la gymnastique quoiqu’un peu flippant ! Équipé de capteurs comme des caméras, du lidar, du sonar et de l’imagerie thermique, il est ainsi capable de collecter des données dans différents environnements industriels.

    Mais le plus fort, c’est qu’Atlas apprend à une vitesse affolante. Ses créateurs lui font suivre un entraînement intensif digne des meilleurs athlètes : courses, sauts, pirouettes… leur robot est soumis à un vrai parcours du combattant et le résultat est là puisqu’à chaque nouvelle vidéo, on reste scotché devant les prouesses de ce prodige mécanique. Grâce à des techniques de vision par ordinateur et d’apprentissage automatique, il peut détecter des objets, reconnaître des formes et suivre des mouvements.

    Boston Dynamics a aussi lancé son propre système d’exploitation pour robots, baptisé Orbit. C’est la tour de contrôle qui permet de gérer toute une flotte de robots, de créer des jumeaux numériques des sites, pour orchestrer une robotisation complète d’un entrepôt ou d’une usine par exemple. Pour l’instant, seul Spot y a droit, mais Atlas et Stretch devraient bientôt être de la partie.

    Pour le plaisir, je vous remets aussi la vidéo très impressionnante de l’ancienne version d’Atlas qui lui est hydraulique :

    Évidemment, tout ça soulève pas mal de questions sur l’avenir de nos amis les robots. Est-ce qu’un jour Atlas et ses copains remplaceront les humains sur les chantiers ou dans les usines ? Est-ce qu’ils viendront nous sauver des décombres tel Superman quand un bâtiment s’effondrera ? Une chose est sûre, Boston Dynamics ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’objectif c’est de l’intégrer avec les autres systèmes de l’entreprise comme des ERP pour améliorer encore un peu plus ses fonctionnalités et lui fournir des tas de données en temps réel.

    Actuellement, la société américaine planche sur une version encore plus perfectionnée d’Atlas, avec une intelligence artificielle dernier cri et une autonomie rallongée et à terme, ce robot pourrait bien devenir le nouveau chouchou des industriels et des services de secours du monde entier même s’il faut garder à l’esprit qu’il ne peut pas encore tout faire car certaines zones confinées ou difficiles d’accès peuvent nécessiter d’autres méthodes d’inspection en complément.

    Dommage, je l’aurais bien amené dans la forêt avec moi pour couper du bois. M’enfin, rassurez-vous, même avec toutes ces améliorations, Atlas n’est pas près de piquer le boulot de Terminator. Enfin, espérons-le ! En attendant, on ne peut que saluer le génie des ingénieurs de Boston Dynamics, qui repoussent sans cesse les limites de la robotique.

    Et si vous voulez en savoir plus sur les dernières avancées d’Atlas, je vous invite à consulter le blog officiel de Boston Dynamics qui détaille les dessous de cette nouvelle version sur batterie.

    Source

  • Wednesday 17 April 2024 - 16:48
    "Et il ne s’agit pas d’un DLC. C’est bien une mission du jeu de base (nommée "Le Pari de Jabba") qui est amputée afin de pousser les joueurs à acheter au minimum l’édition à 110 euros (ou de souscrire à Ubisoft+"
    "Au lieu de complètement miser sur leur jeu de base, en y mettant le plus de contenu possible, Ubisoft prend donc le risque de l’affaiblir et de saboter son lancement, en dégoûtant les joueurs d’avance. En effet, une grande partie de ceux-là pourraient juste décider d’attendre que le jeu soit vendu moins cher, plus tard, avec tout le contenu additionnel inclus. "

    Mais alors c'est TRÈS EXACTEMENT ÇA.
    Hors de question que je paie 60€ pour un jeu tronqué (et probablement truffé de bugs à sa sortie). J'attendrai les promos.
    Faut vraiment arrêter de prendre les gens pour des cons.
    #SlowGaming
    (via https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?pHpV3A)
    (Permalink)
  • Wednesday 17 April 2024 - 12:07
    Projet de loi qui pourrait devenir réalité aux USA. Toute entreprise transmettant ou stockant des informations aurait l'obligation de coopérer avec la NSA.
    (Permalink)
  • Wednesday 17 April 2024 - 11:43
    from Korben

    Ah les acouphènes, cette bande-son de l’enfer qui nous pourrit la vie ! Perso, j’ai parfois un sifflement strident qui me vrille les tympans et pas de bouton « mute » pour le stopper. Alors ça va, ça m’arrive assez rarement mais si vous faites partie des 8 millions de français à subir ce calvaire, j’ai une bonne nouvelle pour vous.

    Figurez-vous que la FDA (l’équivalent américain de notre bon vieille ANSM) a donné son feu vert à un appareil révolutionnaire : le Lenire.

    OK, le nom fait un peu penser à un Pokemon, mais ce truc au look tout droit d’un film de science-fiction des années 80 dispose d’un embout buccal bardé d’électrodes en acier inoxydable que vous placez dans votre bouche et qui va littéralement vous envoyer de l’électricité dans la langue !

    Wow wow wow, on se calme, c’est pas la chaise électrique non plus hein ^^.

    En fait, ça envoie des mini stimulations pour « chatouiller » votre langue, comme si une armée de petites fourmis faisait la fiesta sur votre muscle lingual. Pendant ce temps-là, vous avez un casque sur les oreilles qui diffuse des sons aussi apaisants que le ressac sur une plage de sable blanc et le combo fait que les acouphènes se réduisent. Dans une étude clinique portant sur 326 patients, 84% des participants ont constaté une amélioration significative après 12 semaines d’utilisation du Lenire. C’est quand même un sacré bond en avant quand on sait qu’avant, y avait pas grand chose pour soulager les gens.

    Alors comment ça fonctionne ?

    Et bien en gros, votre cerveau, c’est comme un projecteur qui est toujours braqué sur ce qui est important. Quand vous avez des acouphènes, c’est comme si le projecteur était bloqué sur le bruit parasite en mode « alerte rouge, défcon 1, on va tous mourir !« . Du coup, impossible de penser à autre chose, ça vous pourrit le ciboulot. Eh ben figurez-vous que cet appareil, c’est le copain qui viendrait vous secouer en mode « hey, regarde plutôt ça, c’est carrément plus intéressant !« . En stimulant votre langue et vos oreilles simultanément, il force donc votre cerveau à changer de focus. Résultat, votre projecteur mental n’est plus obnubilé par les acouphènes !

    Après, c’est pas donné… comptez dans les 4000 balles pour vous offrir cette petite merveille. Mais pour les gens qui ont les oreilles qui sifflent à longueur de journée, on est prêt à tout pour retrouver un peu de répit, même à vendre un rein au marché noir (non, je déconne, faites pas !). Après y’a surement moyen de faire un équivalent DIY avec une pile et un casque à réduction de bruit, j’sais pas…

    Bref, y’a de l’espoir pour tous les acouphéniques en galère et c’est ce que je voulais partager avec vous aujourd’hui ;-).

    Source

  • Wednesday 17 April 2024 - 09:25
    from Korben

    Les générateurs d’images IA actuels comme Midjourney, Dall-E et j’en passe, font polémique puisqu’ils piochent allégrement dans les œuvres des artistes sans leur consentement ni rémunération. Mais des solutions sont en train de se mettre en place pour les entreprises qui souhaiteraient utiliser l’IA pour illustrer leurs supports sans pour autant piller les artistes.

    Une de ces solutions, c’est Tess qui propose une approche que j’ai trouvée intéressante puisqu’elle met en place des collaborations avec des créateurs pour utiliser leur style dans des modèles de diffusion d’images.

    Concrètement, chaque modèle d’IA est entraîné sur le style visuel d’un artiste unique, avec son accord puis l’outil utilise un SDXL custom (Stable Diffusion) pour générer les images. Évidemment, à chaque fois qu’une image est générée avec son style, l’artiste touche des royalties ! C’est gagnant-gagnant donc.

    L’outil intègre également un système de métadonnées basé sur le protocole C2PA, qui permet d’identifier clairement les images générées par IA et de les distinguer des créations originales.

    L’objectif de Tess est donc clair : démocratiser la création d’images artistiques de qualité, en la rendant accessible au plus grand nombre, tout en rémunérant équitablement les artistes et leur permettant de garder la maitrise de leur art. C’est une bonne idée vous ne trouvez pas ?

    Et les artistes dans tout ça ? Et bien si j’en crois le site de Tess, ils sont déjà plus de 100 à avoir déjà sauté le pas, séduits par ce nouveau modèle de rémunération. Maintenant si vous voulez devenir clients de la plateforme, ce n’est malheureusement pas encore ouvert à tous, mais une liste d’attente est en place pour vous inscrire et être tenu au courant.

  • Wednesday 17 April 2024 - 06:19

    L’Australie est sans aucun doute célèbre pour ses paysages et trésors naturels uniques au monde. Dans cet article, vous trouverez des destinations qui vous laisseront des souvenirs impérissables.   Avant de partir Commençons par le côté pratique. Avant de partir à l’aventure, il est essentiel de connaître les formalités d’entrée dans le pays. Tout d’abord, […]

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  • Tuesday 16 April 2024 - 17:23
    La merdification de YouTube continue : Après la guerre aux bloqueurs de publicité, Google s'attaques aux applications tierces (FreeTube, NewPipe, etc.) en bloquant la lecture de la vidéo ou en dégradant le débit.
    (Permalink)
  • Tuesday 16 April 2024 - 15:31
    Sous le coude pour lecture ultérieure : Tout ce que Daniel Stenberg a mis en place dans la gestion de curl pour éviter ce qui est arrivé à la librairie xz.
    (Permalink)
  • Tuesday 16 April 2024 - 15:06
    Après près de 15 ans en early-access, le jeu Caves of Qud devrait sortir vers la fin de l'année, avec une interface utilisateur améliorée.
    Si ça semble long, dites-vous que ce jeu est en quelque sorte le Dwarf Fortress des RPG: Un univers de SF gigantesque, des possibilités immenses, et un look rétro en Ascii augmenté (concrètement, ce n'est pas de l'Ascii, mais des graphismes avec un style rétro).
    Si le jeu est édité par KitFox Games, ce n'est sans doute pas un hasard: Ce sont eux qui éditent également la version Steam de Dwarf Fortress. (même si ce jeu ne vient pas des mêmes développeurs que Dwarf Fortress, bien sûr 😉)
    Bande-annonces :
     https://www.youtube.com/watch?v=2c6burNvtsU
     https://www.youtube.com/watch?v=PZU4LpzlOQg
    Il n'est malheureusement qu'en anglais.
    (Permalink)
  • Tuesday 16 April 2024 - 12:03

    Graviteo & The Roof Toulouse : Créateurs d’expériences incentives pour les entreprises Dans un monde professionnel où le télétravail s’est imposé 1 à 2 jours par semaine, comment recréer du lien dans les équipes, une culture interne ? Perte de sens, désengagement, rapport des jeunes générations au travail, RSE… Des défis auxquels sont de plus […]

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  • Tuesday 16 April 2024 - 11:57
    Faisez gaffe aux chevreuils bourrés.
    // C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chevreuils.
    (Permalink)
  • Tuesday 16 April 2024 - 11:36
    Après avoir balancé 10 milliards de dollars dans l'américain OpenAI/ChatGPT, puis une somme colossale (mais non divulguée) chez les français de Mistral (https://sebsauvage.net/links/?a_w1nQ), voilà que Microsoft met 1,5 milliards de dollars sur la table pour G42, une I.A. des Emirats Arabes Unis.
    J'ai le sentiment que cette fuite en avant de Microsoft, à balancer du fric partout dans l'I.A., est malsaine.
    Faute d'innover, les GAFAM utilisent leur colossal trésor de guerre pour racheter et investir.
    (Permalink)
  • Tuesday 16 April 2024 - 06:09

    Le Luxembourg, souvent surnommé la « Gibraltar du Nord », abrite une forteresse monumentale qui témoigne de son riche passé militaire. Partez à la découverte de cette ville fascinante sur les traces de Sébastien Le Prestre de Vauban, l’un des plus grands ingénieurs militaires français. Le circuit Vauban : une immersion dans l’histoire militaire Ce circuit historique […]

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  • Monday 15 April 2024 - 15:37
    Il semblerait que Microsoft ait commencé à installer son I.A. "CoPilot" sur les machines Windows sans vous demander votre avis, y compris sur des Windows Server. Et sur certains Windows l'option "Déinstaller" est grisée (Oui Microsoft s'en cogne bien de ce que vous voulez).
    Microsoft n'arrive pas à vendre CoPilot (https://sebsauvage.net/links/?w52lCg), alors il le fourgue à tout le monde en espérant que les gens vont prendre l'habitude de l'utiliser et voudront payer.

    Édit : Microsoft dit que c'est une erreur : https://www.bleepingcomputer.com/news/microsoft/microsoft-copilot-app-on-windows-server-mistakenly-added-by-edge/
    (Permalink)
  • Monday 15 April 2024 - 13:02
    C'est galère à installer, j'espère que certains s'attèleront à un système d'installation simplifié (comme le faisait NoiseTorch).
    Ce système de filtrage de bruits parasites est *remarquablement* efficace. Il peut par exemple supprimer les bruits du micro : frappe clavier, clics souris, ou même les cloches d'une église pas loin.
    (Permalink)
  • Monday 15 April 2024 - 12:36
    MineClone2, qui se veut être un équivalent à Minecraft dans MineTest, se renomme en VoxeLibre.
    (Permalink)
  • Monday 15 April 2024 - 10:34
    « En effet, en France, l’assurance chômage rapporte beaucoup, car elle est très chère pour les assurés (salariés et employeurs) : près d’un mois de salaire net de contributions, par an et par salarié, soit 35 mois de salaire sur une carrière complète, l’équivalent de 50 mois d’allocations… Or depuis 1982, les droits ont toujours été réduits, mais les contributions ont augmenté sans jamais diminuer. Au total si notre assurance chômage n’est pas la plus généreuse du monde, elle est de très loin la plus onéreuse.
    La seule cohérence de ces rétrécissements de droits, ce sont les économies qu’ils engendrent, rapidement transformées en ressources budgétaires. Comme cela ne suffisait pas, l’Etat y a ajouté une ponction de 12 milliards, soit un impôt de 50 % sur les excédents prévus d’ici 2026. »

    Donc l'état se sert dans les caisses de l'assurance chômage et en reverse de moins en moins aux ex-travailleurs qui l'ont remplie.
    (Permalink)
  • Monday 15 April 2024 - 10:22
    Voilà, c'est plié.
    Donc toute solution informatique appartenant à une entreprise de droit américain (GAFAM 👀) ne peut pas - de fait - être conforme au RGPD.
    (Permalink)
  • Monday 15 April 2024 - 06:09

    Lorsque vous gérez un blog, les liens brisés peuvent être votre pire ennemi. Imaginez que vos lecteurs cliquent sur un lien prometteur, mais au lieu d’arriver à la destination souhaitée, ils se retrouvent face à un message d’erreur 404. C’est frustrant, non ? Dans cet article, nous allons plonger dans le monde des liens brisés, […]

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  • Sunday 14 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Vous êtes accros aux logiciels de retouche photo et de création graphique mais vous en avez marre de vider votre compte en banque pour des licences hors de prix ? Et si je vous disais qu’une solution très sympa open source et totalement gratuite était en train de voir le jour ? Laissez-moi vous présenter Graphite, un projet de dingue porté par une communauté de développeurs et d’artistes passionnés.

    Alors, qu’est-ce que c’est que ce truc ? En gros, le but c’est de pondre une appli de graphics editing nouvelle génération qui coche toutes les cases : retouche photo, dessin vectoriel, peinture numérique, PAO, compositing, motion design… Rien que ça ! On est clairement sur un couteau suisse de la création 2D.

    Bon, je vous vois venir avec vos gros sabots : « Ouais mais c’est encore un énième logiciel qui va essayer de faire comme Photoshop et cie mais en moins bien ! » Eh bah non, justement ! L’idée c’est pas de copier bêtement ce qui existe déjà mais d’innover en s’inspirant de ce qui se fait de mieux dans d’autres domaines, comme la 3D.

    Le truc de malade dans Graphite, c’est qu’il est construit autour d’un node graph, une sorte de « compo visuel » où on branche des nœuds entre eux pour manipuler nos calques et leur appliquer des filtres et des effets à l’infini. Ça permet de garder la main à chaque étape et de pouvoir revenir en arrière sans perdre en qualité, ce qui est juste im-po-ssible dans les logiciels de retouche photo traditionnels. On appelle ça du non-destructif.

    Autre point fort : Graphite gère aussi bien les images matricielles (bitmap) que vectorielles, et le tout avec une qualité d’affichage toujours au taquet, même si on zoom dans tous les sens ! Plus besoin d’avoir 36 000 applis et de jongler entre elles. C’est un peu le mix parfait entre le pixel et le vecteur (avec un soupçon de génération procédurale en plus).

    Bon, alors, il sort quand ce petit bijou ? Figurez-vous que Graphite est déjà dispo en version alpha et qu’on peut le tester directement dans son navigateur. Pas besoin d’install, ça tourne full JavaScript côté client. Évidemment, à ce stade, c’est encore un peu brut de décoffrage et y’a pas mal de features prévues sur la roadmap qui ne sont pas encore implémentées. Mais ça donne déjà un bon aperçu du potentiel de la bête !

    Et en parlant de potentiel, vous allez voir que les possibilités de création sont assez dingues. Vous pouvez par exemple générer des centaines de cercles de façon procédurale pour obtenir des motifs super stylés. Ou encore créer des structures complexes qui s’adaptent automatiquement, comme ces guirlandes de Noël dont les ampoules se replacent toutes seules quand on déforme le chemin. Magique !

    Donc, si vous voulez voir ce projet de dingue prendre son envol, n’hésitez pas à mettre la main au portefeuille et à faire un don. C’est vous qui voyez, mais je pense que ça en vaut carrément le coup ! En tout cas, moi, j’ai déjà mis une étoile sur le repo Github 😉

  • Sunday 14 April 2024 - 06:09

    Milan est une ville italienne connue pour son patrimoine culturel et ses sites historiques. Les touristes peuvent profiter de nombreuses attractions, notamment des musées, des galeries d’art, des boutiques de mode et des restaurants gastronomiques.  Surtout, l’un des aspects les plus attrayants de Milan est sa beauté naturelle. Les beaux endroits à découvrir y sont […]

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  • Saturday 13 April 2024 - 16:03
    C'est comique.
    À force de vouloir fourguer du Edge, de la recherche sur internet et du CoPilot partout, le menu "Démarrer" de Windows 11 est devenu lent et lourd à tel point que même taper du texte dedans devient difficile.
    Je ne vais pas dire, pour les derniers arrivés, qu'il est largement temps de passer sous Linux pour reprendre le contrôle de votre ordinateur et de vos données, mais je vais quand même le dire.
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 15:31
    « Le navire Atos menace de sombrer avant l’été. En charge de l’informatique des JO, de la Sécu, des impôts ou des centrales nucléaires, le groupe jadis symbole du génie national ploie sous un océan de dettes (4,8 milliards). »
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 09:49
    PURIN MAIS SÉRIEUSEMENT ??? Une taxe sur les livres d'occasion maintenant ? 🤬
    (via https://lehollandaisvolant.net/?id=20240413092941)

    Bon il devrait carrément basculer vers son projet néo-libéral : Rendre illégale le marché de l'occasion, ça sera plus rapide. (Vu qu'on est bien d'accord que l'écologie il n'y en a rien à foutre.)
    (Permalink)
  • Saturday 13 April 2024 - 09:00
    from Korben

    Accrochez-vous bien à vos slips, parce que je vais vous parler d’un truc de ouf qui risque bien de révolutionner le monde de l’IA portable : Whomane ! Ouais, vous avez bien lu, c’est un projet open source de wearable avec une caméra intégrée.

    Whomane, c’est un peu le rêve de tout maker qui se respecte : un appareil portatif bourré d’IA et de capteurs, le tout en mode open source pour pouvoir bidouiller et créer ses propres applications. La vision derrière ce projet, c’est de rendre l’IA embarquée accessible à tous, que ce soit pour l’utiliser ou pour développer dessus.

    Concrètement, Whomane se présente sous la forme d’un petit boîtier à clipser sur soi, un peu comme une broche hi-tech. Mais attention, pas n’importe quelle broche ! Celle-là embarque une caméra, un micro et du logiciel capable d’analyser votre environnement en temps réel. Et le tout est propulsé par un raspberry pi Zero capable de faire tourner des modèles de deep learning directement sur l’appareil.

    Maintenant, vous vous demandez sûrement ce qu’on peut bien faire avec un truc pareil ? Eh bien, les possibilités sont quasi infinies ! Imaginez par exemple une application qui reconnaît les visages et affiche des infos sur les gens que vous croisez. Ou encore un assistant personnel qui analyse vos conversations et vous souffle des réponses. Vous voyez le genre ?

    Mais Whomane, c’est aussi et surtout une plateforme ouverte et collaborative. Le code source est dispo sur GitHub, avec une licence GPL pour les projets open source et une licence commerciale pour ceux qui veulent l’intégrer dans des produits fermés.

    Alors okay, je vous vois venir avec vos grands chevaux : « Oui mais la vie privée dans tout ça ? C’est Big Brother ton truc ! » Alors oui, évidemment, dès qu’on parle de caméra et d’IA, ça soulève des questions. Mais justement, l’avantage d’un projet open source comme Whomane, c’est la transparence. Tout est là, à disposition de la communauté pour auditer le code et s’assurer qu’il n’y a pas de dérive. Et puis bien sûr, il faudra toujours veiller à respecter les lois et réglementations en vigueur.

    Bref, vous l’aurez compris, Whomane c’est le genre de projet geek et utopiste qui fait vibrer la corde du bidouilleur qui sommeille en nous. Après, on ne va pas se mentir, c’est encore un prototype avec sûrement plein de bugs et de limitations. Mais quand bien même, qu’est-ce que c’est excitant de voir émerger ce genre d’initiatives !

  • Saturday 13 April 2024 - 08:15

    En Irlande, le Wild Atlantic Way fête ses 10 ans ! Offrant une beauté cinématographique, des expériences hors des sentiers battus et des paysages côtiers à couper le souffle, le Wild Atlantic Way est l’une des plus belles réussites touristiques de l’île d’Irlande. 10 ans plus tard, il est toujours aussi fascinant. Un itinéraire côtier […]

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  • Saturday 13 April 2024 - 02:15
    from Korben

    Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

    En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case. Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

    Alors pour faire simple, un cyberdeck, c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net. Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

    Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

    Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

    La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

    Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

    En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

    Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire, c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

    Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’Ethernet, de l’USB-C, un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

    Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS, mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

    En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

    En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher. Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

  • Saturday 13 April 2024 - 01:30
    from Korben

    Malheureusement, j’ai une nouvelle qui va vous faire bondir de votre canapé ! 😱 Figurez-vous que nos chers modèles de langage d’IA, là, genre GPT-4, GPT-3, Llama 2 et compagnie, eh ben ils sont bourrés de biais de genre ! Si si, et c’est pas moi qui le dis, c’est l’UNESCO qui vient de sortir une étude là-dessus.

    Cette étude, menée par des chercheurs de l’University College London (UCL) et de l’UNESCO, a fait de l’analyse de contenu pour repérer les stéréotypes de genre, des tests pour voir si les IA étaient capables de générer un langage neutre, de l’analyse de diversité dans les textes générés, et même de l’analyse des associations de mots liées aux noms masculins et féminins.

    Bref, ils ont passé les modèles au peigne fin et les résultats piquent les yeux. Déjà, ces IA ont une fâcheuse tendance à associer les noms féminins à des mots comme « famille », « enfants », « mari », bref, tout ce qui renvoie aux stéréotypes de genre les plus éculés. Pendant ce temps-là, les noms masculins, eux, sont plus souvent associés à des termes comme « carrière », « dirigeants », « entreprise »… Vous voyez le tableau quoi. 🙄

    Et attendez, ça ne s’arrête pas là ! Quand on demande à ces IA d’écrire des histoires sur des personnes de différents genres, cultures ou orientations sexuelles, là aussi ça part en vrille. Par exemple, les hommes se retrouvent bien plus souvent avec des jobs prestigieux genre « ingénieur » ou « médecin », tandis que les femmes sont reléguées à des rôles sous-valorisés ou carrément stigmatisés, genre « domestique », « cuisinière » ou même « prostituée » ! On se croirait revenu au Moyen-Âge !

    Tenez, un exemple frappant avec Llama 2 : dans les histoires générées, les mots les plus fréquents pour les garçons et les hommes c’est « trésor », « bois », « mer », « aventureux », « décidé »… Alors que pour les femmes, on a droit à « jardin », « amour », « doux », « mari »…et le pire, c’est que les femmes sont décrites quatre fois plus souvent dans des rôles domestiques que les hommes.

    Nombreux sont les gens de la tech qui se battent pour plus de diversité et d’égalité dans ce milieu, et voilà que les IA les plus avancées crachent à la gueule de tous des clichés dignes des années 50 ! Il est donc grand temps de repenser en profondeur la façon dont on développe ces technologies parce que là, non seulement ça perpétue les inégalités, mais en plus ça risque d’avoir un impact bien réel sur la société vu comme ces IA sont de plus en plus utilisées partout !

    Alors ok, y a bien quelques boîtes qui arrivent mieux à limiter la casse, mais globalement, c’est la cata. Et le pire, c’est que ces biais viennent en grande partie des données utilisées pour entraîner les IA, qui deviennent à leur tour ce reflet de tous les stéréotypes et discriminations bien ancrés dans notre monde…

    Mais attention, faut pas tomber dans le piège de dire que ces IA sont volontairement biaisées ou discriminatoires hein. En fait, ce sont juste des systèmes hyper complexes qui apprennent à partir des données sur lesquelles on les entraîne. Donc forcément, si ces données sont elles-mêmes biaisées, et bien les IA vont refléter ces biais. C’est pas qu’elles cherchent à discriminer, c’est juste qu’elles reproduisent ce qu’elles ont « appris ».

    Mais bon, faut pas désespérer non plus hein. Déjà, des études comme celle de l’UNESCO, ça permet de mettre en lumière le problème et de sensibiliser l’opinion et les décideurs et puis surtout, il y a des pistes de solutions qui émergent. Les chercheurs de l’UNESCO appellent par exemple à renforcer la diversité et l’inclusivité des données d’entraînement, à mettre en place des audits réguliers pour détecter les biais, à impliquer davantage les parties prenantes dans le développement des IA, ou encore à former le grand public aux enjeux… Bref, tout un tas de leviers sur lesquels on peut jouer pour essayer de rééquilibrer la balance !

    Alors voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve que c’est un sujet super important, qui nous concerne tous en tant que citoyens du monde numérique. Il est crucial qu’on garde un œil vigilant sur ces dérives éthiques et qu’on se batte pour que l’IA soit développée dans le sens du progrès social et pas l’inverse. Parce que sinon, on court droit à la catastrophe, et ça, même le plus optimiste des Bisounours ne pourra pas le nier !

    N’hésitez pas à jeter un coup d’œil à l’étude de l’UNESCO, elle est super intéressante et surtout, continuez à ouvrir vos chakras sur ces questions d’éthique IA, parce que c’est un défis majeurs qui nous attend.

    Allez, sur ce, je retourne binge-watcher l’intégrale de Terminator en espérant que ça ne devienne pas un documentaire… Prenez soin de vous les amis, et méfiez-vous des machines ! Peace ! ✌️

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  • Saturday 13 April 2024 - 00:53
    from Korben

    Vous pensez que pour faire un film de science-fiction dans l’espace, il faut absolument un budget de dingue avec des effets spéciaux de fou ? Eh ben détrompez-vous ! La réalisatrice Caroline Klidonas vient de prouver qu’on peut faire un truc génial sans quitter son appart.

    Son court-métrage « I made a SPACE MOVIE 🚀 without leaving my apartment » nous embarque dans une mission spatiale qui tourne mal, le tout filmé intégralement entre les quatre murs de son appartement. Pas de décors grandioses, pas d’images de synthèse ultra-sophistiquées, que dalle ! Juste la débrouille, la créativité et une bonne dose de kiff.

    Pour réaliser ce film sans quitter son appart, Caroline a utilisé de vrais objets et décors pour créer les visuels, plutôt que de compter sur des images générées par ordinateur, ce qui donne un effet « comique » et contraste avec le sérieux du scénario.

    Franchement, quand j’ai vu ça, j’étais sur le cul. Comment elle a réussi à nous faire croire qu’on était dans un vaisseau spatial avec trois fois rien ? C’est dingue ce qu’on peut faire avec un peu d’imagination et de bidouille. Les effets spéciaux à l’ancienne, les trucages bien sentis, ça a un charme fou je trouve.

    Donc voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve ça cool. Ça me donne presque envie de ressortir mon vieux caméscope et de tourner un bon gros nanar à la maison…. Mais bon, j’ai pas le temps 🙂

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  • Friday 12 April 2024 - 23:26
    from Korben

    Voici une histoire qui va vous donner des sueurs froides dans le dos juste avant d’aller faire dodo ! Figurez-vous que Raspberry Robin, ce satané malware plus fourbe qu’un présentateur de C8, est de retour pour une nouvelle tournée de piratage en 2024 façon Taylor Swift. Les chercheurs en cybersécurité de chez HP Wolf Security ont repéré ses traces et croyez-moi, il a plus d’un tour dans son sac pour passer entre les mailles du filet !

    Ce petit malin utilise des fichiers WSF (Windows Script Files) bien planqués sur différents domaines et sous-domaines pour se faufiler incognito. Et le pire, c’est qu’il arrive à berner ses victimes pour qu’elles aillent d’elles-mêmes sur ces pages web piégées. Une fois que le fichier WSF est exécuté, bim ! Il télécharge son payload principal, un DLL bien vicieux qui peut être n’importe quoi : du SocGholish, du Cobalt Strike, de l’IcedID, du BumbleBee, du TrueBot ou même du ransomware.

    Mais avant de télécharger son précieux DLL, il va mener une série de reconnaissances pour vérifier s’il n’est pas en train de se faire piéger dans un environnement d’analyse ou une machine virtuelle. Et si jamais il détecte la présence d’un antivirus comme Avast, Avira, Bitdefender, Check Point, ESET ou Kaspersky, il se met direct en mode furtif et reste planqué.

    Et comme si ça suffisait pas, il est même capable de bidouiller les règles d’exclusion de Microsoft Defender pour être sûr de passer entre les gouttes. C’est vraiment le Solid Snake des malwares ! Les scripts qu’il utilise ne sont même pas reconnus comme malveillants par les scanneurs sur VirusTotal, c’est dire à quel point il est balèze en infiltration.

    Alors c’est sûr, avec Raspberry Robin dans la nature, faut être sur ses gardes. Ce malware est une vraie plaie depuis qu’il a été découvert en 2021. Au début, il se planquait sur des clés USB avec un fichier LNK qui pointait vers son payload hébergée sur un appareil QNAP compromis. Mais maintenant, il a évolué et il est devenu encore plus sournois.

    Bref, gaffe à vous… Assurez-vous d’avoir un bon antivirus à jour, ne cliquez pas n’importe où et méfiez-vous comme de la peste des clés USB inconnues qui traînent.

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